jolan a écrit:Beaucoup d'excellents films dans cette liste du 21ème siècle débutant.
J'en remplacerais bien certains que j'aime moins par d'autres qui me semblent oubliés (peu de films français par exemple), mais globalement on a affaire ici à du bon cinéma.
Déjà sa sélection me surprend mais alors devant d'autres films c 'est risible69 Paddington 2 (2017)
jolan a écrit:Beaucoup d'excellents films dans cette liste du 21ème siècle débutant.
J'en remplacerais bien certains que j'aime moins par d'autres qui me semblent oubliés (peu de films français par exemple), mais globalement on a affaire ici à du bon cinéma.
Mr Degryse a écrit:Déjà sa sélection me surprend mais alors devant d'autres films c 'est risible69 Paddington 2 (2017)
Cooltrane a écrit:j'avais oublié: Double shot précédent le dernier:
Son choix:
The Rider:
Un western moderne où les Indiens jouent aux Cowboys. Réalisé par une cineaste chinoise et tourné avec des acteurs jouant leur propre rôle (du moins la famille du héros"), le film oscille entre un biopic (mais d'un inconnu) et une docu-fiction, où pourtant la dénonciation que l'on pouvait attendre d'un tel film ne se passe pas: étrangement pas de racisme entre les indigènes et les occupants. Un jeune Lakota tombe et se fracture le crâne dans un rodéo, et manque de mourrir. De retour dans son bled natal avec une interdiction médicale formelle de remonter sur un cheval, une réserve juste au sud des Badlands (on les voit au loin) dans le Dakota, il essaie de se remettre en selle d'abord au figuré (en travaillant dans d' autres domaines), puis plus littéralement en remontant et dressant des chevaux, seile chose qu'il sait faire, pour finir. Dans un cadre familial démoli (frère totalement handicappé par une chute similaire, mère morte et soeur attardée), avec un père assumant comme il peut, le film est lent et montre les obstacles quand un accident de parcours intervient, a fortiori encore plus pour les plus démunis. Sans pour autant rentrer dans un misérabilisme trop profond, le film entretient une lueur d'espoir (entraide apparemment inter-raciale), même si le souvent magnifique (Badlands oblige) horizon semble bouché, par manque d'autres débouchés que les cheveaux et les bovins du coin. On s'ennuie un peu quand même: 6/10
Un western moderne où les Indiens jouent aux Cowboys
Un jeune Lakota
frère totalement handicapé par une chute similaire
Croaa a écrit:Roubaix, une lumière.
Je n'ai pas vu la lumière tant ce film est sombre. beau mais sombre. une ambiance pesante du début à la fin, pas un temps pour respirer, pour reprendre un peu d'air. Mais d'une justesse incroyable.
On en sort vidé. et Roubaix prend une sacré claque...
Mais alors Roschdi Zem est magistral. Quel acteur ! En fait, si, je l'ai vu la lumière, c'est lui. il illumine le film.
Il joue tellement juste. dans la retenue. Magnifique.
Un polar du quotidien d'une ville presque morte...
Anianka a écrit:Personne ne semble parler de Ad Astra, qui sort la semaine prochaine, pourtant ça a l air prometteur.
Pomponazzo a écrit:En attendant, un joli interviou du réalisateur ici :
https://next.liberation.fr/cinema/2019/ ... te_1751269
Pomponazzo a écrit:Ah je suis navré. J'ai pensé que ça te ferait plaisir. Si tu trouves mieux, n'hésite pas à partager.
Pomponazzo a écrit:Anianka a écrit:Personne ne semble parler de Ad Astra, qui sort la semaine prochaine, pourtant ça a l air prometteur.
En attendant, un joli interviou du réalisateur ici :
https://next.liberation.fr/cinema/2019/ ... te_1751269
nexus4 a écrit:
C'est très étonnant comme lecture du film parceque tout ce qui est en gras de ton résumé n'est pas dans le film.Un western moderne où les Indiens jouent aux Cowboys
Ce n'est pas dans le film.Un jeune Lakota
Ce n'est pas dans le film
Le seul moment ou on pourrait deviner que le personnage principal est amérindien, c'est vers la fin du film quand l'assistante sociale visiblement indienne lui dit "j'ai bien connu votre mère, vous lui ressemblez". C'est court pour en faire le thème principal d'un film qui dure 1h40.
Du coup, toute la lecture raciale que tu peux faire du film est totalement hors-sujet. Ce n''est pas étonnant que tu sois déçu. Ce n'est pas le propos du film. Il décrit un mode de vie au fin fond du trou du cul des états unis et montre la dureté d'une réalité qui ne fait aucune concession aux rêves et aux illusions. Exotisme du rodéo mis à part, ca me fait plus penser à Y aura-til de la neige à noel ?frère totalement handicapé par une chute similaire
Non, c'est un ami.
Et pour ma part j'ai trouvé ça dur mais très bien.
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