Cinéma : Films vus en DVD ou à la télévision

[e m]

Message précédent :

C'était le truc qui se finissait par une bataille entre bateaux volants ? La même sorte de came pour moi.

Oui c'est ça
C'est tellement gros et n'importe quoi

[Julien Despreux]

On a continué la filmo de Guy Ritchie hier avec The Ministry of Ungentlemanly Warfare (Le Ministère de la Sale Guerre).

Et encore Eiza Gonzales...

Oh tiens, je crois que je m'en vais le regarder aussi

Tiens, celui-là m'avait échappé. A voir comment il se situe entre Snatch, les Sherlock Holmes et The Man from UNCLE !

[nexus4]

Flow.

J'ai un mal fou avec le coté basse def du film. Je sais que c'est une licence artistique mais j'y arrive pas.
Peut-être que ca a un rapport avec ma dyslexie ou ma myopie.

[rahoul]

J'ai eu du mal aussi au début. Ils n'ont même pas été foutus de mettre des vibrisses au chat.

Et puis je me suis laissé porter comme dans un Love de Brrémaud/Bertolucci

[fanche]

Et puis je me suis laissé porter comme dans un Love de Brrémaud/Bertolucci

Voilà

Nan mais au cinoche l'animation est assez spectaculaire

[HOCHET Gabriel]

Bien aimé dans l’ensemble, même si j’ai trouvé le bouzin un peu zarb….

[roboris 45]

J'ai adoré au point d'écouter le soundtrack en boucle depuis 3 jours... J'hésite entre le revoir très vite ou non... de peur de briser la magie du premier visionnage

[Thierry_2]

rattrapé hier. Au départ, je m'attendais à un film plus léger, alors que c'est plutôt un drame intime et social qui tourne autour de la question du déterminsme de classes et des racines. Thibault, un chef d'orchestre prestigieux, est atteint d'une leucémie. Il apprend alors qu'il est adopté et qu'il a un frère dont la vie est à 1000 lieues de la sienne. En effet, Jimmy galère entre son travail dans une cantine et une vie compliquée dans une ville sinistrée du Nord. Mais la passion de la musique les rapproche. L'intelligence du film est d'éviter le piège de la condescendance, si facile lorsqu'il s'agit d'opposer les milieux sociaux. Et, surtout, Benjamin Lavernhe et Pierre Lottin sont impeccables.

sinon, je suis retombé par hasard sur le chagrin et la pitié de Marcel Ophuls.



quelle claque à chaque vison

[Olaf Le Bou]

sinon, je suis retombé par hasard sur le chagrin et la pitié de Marcel Ophuls.



quelle claque à chaque vison

le témoignage de Mendes France est particulièrement intéressant, on sent un type d'une grande probité et plutôt chaleureux.

mais mon chouchou c'est Alexis Grave, le paysan résistant. Quel bonhomme !

(et j'aime assez bien l'aristo également, qui révèle plus de profondeur que ce que la surface détestable pourrait laisser augurer)

[Thierry_2]

(et j'aime assez bien l'aristo également, qui révèle plus de profondeur que ce que la surface détestable pourrait laisser augurer)

celui qui faisait partie de la division Charlemagne ?
c'est assez troublant de voir qu'il justifie son adhésion au fascisme parce qu'il n'y avait que deux alternatives: le fascisme ou le communisme. En gros, le même discours que l'on entend maintenant avec RN contre LFI. Le bégaiement de l'histoire en marche

[Brian Addav]

Pour comprendre ça, et cette histoire de choix, faut relire Aragon et Drieu La Rochelle...

[euh... si vous le dites]

[parce qu'il n'y avait que deux alternatives: le fascisme ou le communisme.

Ca fait une alternative et pas deux.

[rahoul]

[parce qu'il n'y avait que deux alternatives: le fascisme ou le communisme.

Ca fait une alternative et pas deux.

Marche ou crève.
Ou:
Marche ou crève.

[Thierry_2]

Pour comprendre ça, et cette histoire de choix, faut relire Aragon et Drieu La Rochelle...

la guerre d'espagne a pas mal polarisé les positions. le cheminement du type est assez clairement expliqué et il présente cet étrange mélange de lucidité et de naïveté, du moins rétrospectivement.
perso, je retiens aussi le témoignage de la coiffeuse, qui assume encore complètement son admiration pour Pétain. En fait, on retrouve une terrifiante banalité du mal chez les différents intervenants.

[HOCHET Gabriel]

C’est Brassens je crois qui disait : Quand on est con on est con….

[Thierry_2]

pas vu celui-là



mais le pitch rappelle vaguement "Atlas Shrugged" (les mulimilliardaires qui se réunissent pour créer un monde meilleur, sans cette racaille de profiteurs communistes, ce gouvernement qui fait rien que d'empêcher les honnêtes entrepreneurs de faire touner une société plus juste et plus efficace)

et le titre, un autre roman de Ayn Rand



satire opportune en cette année, même si les avis ont l'air assez mitigé

[Morti]

Tu n'aurais par hasard pas une piste pour trouver les 3 téléfilms de Atlas Shrugged ???
J'ai crâmé mon disque backup et je les ai perdus...déjà que pour les trouver, c'était la galère...
Impossible à trouver et impossible à acheter...

[jolan]

J'ai une piste si tu veux, mais en VO

[Morti]

J'ai une piste si tu veux, mais en VO

Ouch, non là ça va pas le faire...je parle Anglais mais pas au point de suivre une série pareille (plutôt bavarde) sans sous-titres.

Mais merci quand même...

[Thierry_2]

c'est dispo sur youtube, tu apus activer les sous-titres anglais, ça facilite


https://www.youtube.com/watch?v=ABjK0Qp6IRg

https://www.youtube.com/watch?v=fBn72UwYmQI

https://www.youtube.com/watch?v=HAOzT2_oxVU

[euh... si vous le dites]

Après qu'on ait parlé de John Carpenter il y a quelque temps, je me suis lancé dans une intégrale de ces longs-métrages pour le cinéma. J'ai pris beaucoup de plaisir.
Dans l'ordre de préférence ça donne (avec une cote sur 5) :

1. The Thing (4.5)
2. Prince of darkness (4.5)
3. In the mouth of madness (4)
4. Assault on precinct 13 (4)
5. Halloween (4)
6. Escape from New York (4)
7. Starman (4)
8. Christine (4)
9. The fog (3.5)
10. Village of the damned (3)

Au-delà du top 10 :

11. They live (3)
12. Big trouble in Little China (2.5)
13. Ghosts of Mars (2.5)
14. Vampires (1.5)
15. Memoirs of an invisible man (1.5)
16. Escape from L.A. (1)
17. Dark star (1)
18. The ward (0.5)

J'ai aussi regardé ses deux épisodes de la série Masters of horror, qui sont nuls, et son téléfilm Someone's watching me qui ne vaut pas grand chose non plus.