Elle couche à droite à gauche, elle est contaminée, rien de plus normal.
Par contre, le fait qu'elle continue à coucher sans que l'auteur n'insiste sur les précautions utilsées peut effectivement se discuter. Mais n'est-ce pas aussi la vraie vie
Sinon, pour les effets de la tri-thérapie, ils sont relativement discrets. J'ai un camarade de club séropositif depuis 4 ans, sous tri-thérapie qui s'entraîne quand même 15 heures par semaine, qui fait 2 Ironman/an, qui participe aux championnats de France et de Belgique sans aucun problème
Je ne trouve pas que cela soit "normal" que d'attraper le Sida. Si tu couches à gauche et à droite en te protégeant tu n'attrapes rien. Et coucher à droite et à gauche ne me choque pas en revanche...
Si nos héros (ceux qui alimentent notre inconscient collectif) ne nous montrent pas l'exemple pourquoi devrions-nous nous protéger ?
Et puis, et c'est important de ne pas l'oublier ni de le banaliser, le malade meurt.
Pourquoi un héros devrait-il montrer l'exemple
A ma connaissance, ça fait un bout de temps qu'avec la tri-thérapie la mortalité aà régressée, non
D'après ce qu'ils disents, il n'y a plus aucune trace du virus dans le sang après 1 ou 2 ans de traitement même si celui-ci est toujours présent
Et je n'ai jamais vu aucun des signes secondaires que tu dis chez mon copain. Lorsqu'on passe 6 heures à vélo, ça devrait se remarquer
Pourquoi un héros devrait-il montrer l'exemple
"Ils" ??? Qui ça "ils" ???
Les traces de virus disparaissent oui... Puis reviennent... Puis disparaissent encore... Et le virus fini toujours vainqueur !
Si on ne mourrait plus du Sida ça se saurait...
Et le docteur Bruno Pellegrin de constater une lassitude des personnes séropositives : "Des milliers de gens vivent aujourd'hui avec le virus grâce aux médicaments adaptés au génotype de chacun. Et leur espérance de vie s'allonge toujours... Du coup, ils en oublient leur situation, qui devient banale, et ont l'impression d'être proches de la guérison. c'est un effet pervers de l'amélioration des traitements. Car le sida est jugulé, mais pas guéri, et continue de se transmettre."
De fait, le sida tue encore. Et plus que jamais. Le graphique de l'évolution des nouveaux cas ces 15 dernières années forme d'ailleurs un "V" : baisse dans les années 90 et remontée depuis 1998. 1 600 nouveaux cas sont répertoriés en France depuis début 2002. L'année dernière, on en comptait moitié moins (800) sur la même période. "Le sida, on connaît, on sait comment ça s'attrape, explique Olivier Maguet, responsable des programmes de prévention au sein de l'association Aides, pourtant, malgré tout, ça reste lointain, virtuel." Ça n'arrive à nouveau qu'aux autres.
Juste pour citer un article du Canard Enchainé...
Et le docteur Bruno Pellegrin de constater une lassitude des personnes séropositives : "Des milliers de gens vivent aujourd'hui avec le virus grâce aux médicaments adaptés au génotype de chacun. Et leur espérance de vie s'allonge toujours... Du coup, ils en oublient leur situation, qui devient banale, et ont l'impression d'être proches de la guérison. c'est un effet pervers de l'amélioration des traitements. Car le sida est jugulé, mais pas guéri, et continue de se transmettre."
De fait, le sida tue encore. Et plus que jamais. Le graphique de l'évolution des nouveaux cas ces 15 dernières années forme d'ailleurs un "V" : baisse dans les années 90 et remontée depuis 1998. 1 600 nouveaux cas sont répertoriés en France depuis début 2002. L'année dernière, on en comptait moitié moins (800) sur la même période. "Le sida, on connaît, on sait comment ça s'attrape, explique Olivier Maguet, responsable des programmes de prévention au sein de l'association Aides, pourtant, malgré tout, ça reste lointain, virtuel." Ça n'arrive à nouveau qu'aux autres.
C'est le contraire, genre Jessica Blandy, qui devrait plutôt choquer, non
Juste pour citer un article du Canard Enchainé...
Et le docteur Bruno Pellegrin de constater une lassitude des personnes séropositives : "Des milliers de gens vivent aujourd'hui avec le virus grâce aux médicaments adaptés au génotype de chacun. Et leur espérance de vie s'allonge toujours... Du coup, ils en oublient leur situation, qui devient banale, et ont l'impression d'être proches de la guérison. c'est un effet pervers de l'amélioration des traitements. Car le sida est jugulé, mais pas guéri, et continue de se transmettre."
De fait, le sida tue encore. Et plus que jamais. Le graphique de l'évolution des nouveaux cas ces 15 dernières années forme d'ailleurs un "V" : baisse dans les années 90 et remontée depuis 1998. 1 600 nouveaux cas sont répertoriés en France depuis début 2002. L'année dernière, on en comptait moitié moins (800) sur la même période. "Le sida, on connaît, on sait comment ça s'attrape, explique Olivier Maguet, responsable des programmes de prévention au sein de l'association Aides, pourtant, malgré tout, ça reste lointain, virtuel." Ça n'arrive à nouveau qu'aux autres.
Et de Caroline dans tout ça qu'est-ce que tu penses ?
je côtoie moi aussi une personne séropositive, sous trithérapie, et avant que cette personne me l'annonce, je n'aurais pas imaginé que elle était malade ou sous traitement.
Donc vie normale ++++
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