Moi je veux bien, 5 ventes pour fixer une estimation de cote, mais est-ce vraiment représentatif :
1) qui a relevé ces ventes ?
2) où ont-elles été faites ?
3) dans quel pays ?
4) de quel relevé parle-t-on ?
1) si c'est un gars qui a fait quelques librairies à Paris (ou ailleurs), est-ce vraiment représentatif et suffisant ?
2) si c'est chez en spécialiste en ancien ayant pignon sur rue ou simplement dans une librairie qui fait neuf-occase-collection, ça peut varier ?
3) si c'est en France, est-ce représentatif du marché belge et vice-versa ?
4) relevé en librairie ou en vente aux enchères ou sur e-Bay ?
D'où l'intérêt, si on veut vraiment faire quelque chose de professionnel donnant de vraies informations fiables, de faire ça avec une équipe plus étendue que simplement un ou deux bénévoles dans leur quartier.
Reste à savoir si ça intéressera(it) quelqu'un d'investir pour ce genre de travail.
Autre problème...pour le neuf, la Bel bien alimentée peut être réactive mais pour le vrai ancien ?
Il n'y a quasi pas de transactions sur les vraiment vieux albums si ce n'est en ventes aux enchères où on sait bien que suivant les personnes présentes, ça peut varier d'un jour à l'autre.
De plus sans transactions ou ventes, les prix affichés n'ont aucune raison de changer donc on va se traîner une vieille cote qui n'intéresse personne : soit il n'y a pas d'acheteur soit on trouve ça trop cher aujourd'hui.
Ne pas oublier non plus que les marchés français et belges ne sont pas identiques et qu'à part pour des pièces remarquables, les tendances peuvent différer d'un pays à l'autre et dans ce cas, quelle cote sera représentative ?
Le manque de sérieux et de professionnalisme des "experts" belges a fait qu'ils ne participent plus aux cotes, cela ne veut pas dire qu'on peut calquer les tendances du marché français pour la Belgique...
Il faudrait une équipe qui soit aussi réactive que le marché et ça, ça demande du personnel, du temps et de l'argent...