antoineozanam a écrit:Moi ce qui me plait dans Jerry Spring, outre le dessin (d'ailleurs Franz avez fait un boulot remarquable - dans la ligné mais avec son style), c'est la richesse de la lecture. J'ai quand même l'impression que les bds "classique" mettaient plus de temps à lire. D'où sans doute un lien plus fort entre le lecteur et le héros...
HOCHET Gabriel a écrit:Quand même contant de constater qu’il n’y a pratiquement rien — d’ailleurs, rien — que j’ai acheté dans tout ce qui a été cité jusqu’ici.....
pistash a écrit:HOCHET Gabriel a écrit:Quand même contant de constater qu’il n’y a pratiquement rien — d’ailleurs, rien — que j’ai acheté dans tout ce qui a été cité jusqu’ici.....
Je me suis fait la réflexion inverse Pas mal de truc dans ma bibli
Tu as au moins le Major de Moebius quand même
Sinon moi ça me plait de pas toujours comprendre toutes les ficelles , j'en ai une autre à citer :
nexus4 a écrit:Et ca j'ai le droit de le citer ?
Je me souviens de l'avoir expliqué en long et en large à l'époque à un copain tout en me disant "Nexus t'exagères, c'est qd même assez fumeux ce truc". Je crois qu'à l'époque, un peu intello, je me suis forcé a trouver une explication pour me persuader que j'étais pas trop neuneu mais avec le recul ca tient pas la route.
Mais y a de jolis dessins.
lobo a écrit:Tiens, un truc auquel j'ai rien bité que j'ai lu (enfin essayé...) hier soir, c'est le nouvel épisode de la Ligue des Gentlemen extraordinaires, Century 1969, de Moore et O'Neill.
le moine a écrit:Coldo3895 a écrit:Moi j'avoue sans honte... Il y a dans ma collection UN album que je n'ai pas réussi à finir...
Je n'y comprend rien...
Alors il paraît que c'est un chef d'oeuvre, mais moi j'y arrive pas... désolé tout ça.
Tu peux être désolé, parce que, oui, c'est un chef d'oeuvre et c'est parfaitement compréhensible.
Qu'on le trouve chiant, pas intéressant, trop triste ou je ne sais quoi, je comprendrais, mais il n'y a rien de difficile à comprendre (ou alors, t'as du mal avec les flashbacks du père, je ne sais pas...)
Alors que Century : 1969, je le trouve assez limpide, voire linéaire : deux enquêtes en parallèle, un éclaircissement des enjeux posés dans le précédent, une évolution au sein du groupe… Même les références, que ce soit à Get Carter, aux Stones ou à Rosemary's Baby, sont plutôt accessibles. Mais même en dehors de ça, je reste convaincu que le récit se comprend tout seul, sans avoir besoin de connaître les références.
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