DamBDfan a écrit:Le début de ce tome était super mais la fin a bousillé mon plaisir. Je n'ai rien compris même après avoir relu et relu!
Si quelqu'un a une explication je l'en remercie d'avance.
lulu1508 a écrit:DamBDfan a écrit:Le début de ce tome était super mais la fin a bousillé mon plaisir. Je n'ai rien compris même après avoir relu et relu!
Si quelqu'un a une explication je l'en remercie d'avance.
j'en ai pas trouvé, comme toi ! je n'ai rien compris à la fin ...
j'ai un pote qui est dingue de cette série, m'a expliqué ... et ça en m'a touché une sans bouger l'autre ....
Blueskin Pierre a écrit:lulu1508 a écrit:DamBDfan a écrit:Le début de ce tome était super mais la fin a bousillé mon plaisir. Je n'ai rien compris même après avoir relu et relu!
Si quelqu'un a une explication je l'en remercie d'avance.
j'en ai pas trouvé, comme toi ! je n'ai rien compris à la fin ...
j'ai un pote qui est dingue de cette série, m'a expliqué ... et ça en m'a touché une sans bouger l'autre ....
J'ai le même soucis avec "La Tour"...
Je n'ai que 2 Cités Obscures, le second étant "La Fièvre d'Urbicande" qui pourtant emporte toute mon adhésion. Alors qu'on ne sait rien de la structure (ni d'où elle vient, ni où elle va, ni... etc), la situation est claire dès le départ: on ne sait rien, on observe, on fait des hypothèses... bref une vraie démarche scientifique, magnifiée par les réflexions sur le pouvoir, le contrôle, les personnages ambigüs et les dessins sublimes.
Mais pour "La Tour", je ne sais que penser des 3-4 dernières planches, avec l'apparition des tableaux. Certes, je comprends que l'histoire se passe dans la Tour de Babel du tableau de Brüghel, mais passer d'une telle quête à cette fin, j'ai râté une étape... Mais bon, un bouquin que je garde pour les 90% précédents que j'ai aimé
nexus4 a écrit:Peeters et Schuiten ont en général un mal fou a conclure leurs histoires. Souvent la folie est la pirouette finale.
rahoul a écrit:
J'ai rien contre un bon gros délire de temps en temps, mais quand c' est du n' importe quoi à chaque sketch sur tout l' album, non...
Olaf Le Bou a écrit:je l'ai relu pendant les vacances, le Samaris, je ne vois pas trop ce qu'il peut y avoir d'imbitable là-dedans. Onirique, poétique, merveilleux, voire surréaliste, tout ce qu'on veut, mais mon imbitabilomètre ne frémit même pas.
rahoul a écrit:
J'ai rien contre un bon gros délire de temps en temps, mais quand c' est du n' importe quoi à chaque sketch sur tout l' album, non...
Cooltrane a écrit:
effectivement... samaris, c'est pas le meilleur CO de S&P, mais c'était le premier (et pas le moins bon)
Olaf Le Bou a écrit:je l'ai relu pendant les vacances, le Samaris, je ne vois pas trop ce qu'il peut y avoir d'imbitable là-dedans. Onirique, poétique, merveilleux, voire surréaliste, tout ce qu'on veut, mais mon imbitabilomètre ne frémit même pas.
rahoul a écrit:
J'ai rien contre un bon gros délire de temps en temps, mais quand c' est du n' importe quoi à chaque sketch sur tout l' album, non...
Olaf Le Bou a écrit:bin Samaris est comme une métaphore de la part d'attirance qui réside dans l'inconnu. Attirance qui vire à l'obsession, puis à la folie, dans le cas de Franz. La ville y est représentée comme une plante carnivore se nourrissant des visiteurs qui se perdent en elle. Et bien qu'ayant déjoué le leurre, et s'être échappé de la ville, Franz demeure sous l'emprise de Samaris, et son retour vers Xysthos ne peut être qu'un échec. On n'échappe pas à ses démons, en quelque sorte...
Olaf Le Bou a écrit:alors oui, la fin est un peu abrupte, et les auteurs reconnaissent eux-même que le retournement de situation est un peu maladroit. mais c'est pas vraiment génant, non ?
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