Olaf Le Bou a écrit:bin Samaris est comme une métaphore de la part d'attirance qui réside dans l'inconnu. Attirance qui vire à l'obsession, puis à la folie, dans le cas de Franz. La ville y est représentée comme une plante carnivore se nourrissant des visiteurs qui se perdent en elle. Et bien qu'ayant déjoué le leurre, et s'être échappé de la ville, Franz demeure sous l'emprise de Samaris, et son retour vers Xysthos ne peut être qu'un échec. On n'échappe pas à ses démons, en quelque sorte...
Vouaaaalaaa ! Pour ceux qui cherchaient une définition d'imbitable, c'est ca.
Olaf Le Bou a écrit:alors oui, la fin est un peu abrupte, et les auteurs reconnaissent eux-même que le retournement de situation est un peu maladroit. mais c'est pas vraiment génant, non ?
Si.