




Cabarezalonzo a écrit:Purée, Tchernia (grand copain de Gosc, qu'il tutoyait en privé) avait réuni le gratin, sur son plateau, ce jour-là !


bone a écrit:Cabarezalonzo a écrit:Purée, Tchernia (grand copain de Gosc, qu'il tutoyait en privé) avait réuni le gratin, sur son plateau, ce jour-là !
Quel plateau![]()
Tu as entierement raison




Le Complot a écrit:Et l'histoire dit si Franquin en a placé une ? J'imagine que oui, mais quelle modestie légendaire.

zourbi le grec a écrit:Le Complot a écrit:Et l'histoire dit si Franquin en a placé une ? J'imagine que oui, mais quelle modestie légendaire.
Faut dire qu'entre Hergé qui jouait les grands seigneurs de la bd et Goscinny/Uderzo qui cabotinaient avec talent, cela devait être dur d'exister même pour un génie comme Franquin

nexus4 a écrit:En lisant le Griffon, je repensais à cet échange entre Hergé et Goscinny, rencontre au sommet, où ce dernier disait (de mémoire) : "La différence entre nous c'est que vous avez une histoire autour de laquelle vous greffez des gags et que moi au contraire j'ai des gags dont je fais une histoire". La formule est courtoise et élégante, à l'image de son locuteur, mais elle me semble assez fausse quand on voit le travail de ses successeurs. Ferri trouve la situation de départ, la met en place avec talent mais une fois arrivé ne sait plus quoi en faire. On enchaine des trucs sans vraiment de liens pour tenir les 40 pages restantes. Ce qui me fait penser que Goscinny savait très bien où il allait de bout en bout. Et si il fallait faire des ellipses pour se concentrer sur l'histoire, l'ellipse devenait un gag en elle même. Ca vaut pour les Lucky Luke aussi je trouve.



L'Ombre Jaune a écrit:Sans aucun doute, selon moi.

Cabarezalonzo a écrit:Non, tu ne radotes pas et nous sommes plusieurs à faire ce constat.![]()


Cabarezalonzo a écrit:Non, tu ne radotes pas et nous sommes plusieurs à faire ce constat.![]()

Monsieur Jean a écrit:Je sais que je radote, mais Ferri est meilleur quand il fait court : le retour à la terre, DeGaulle.
Quand ça s'allonge, il se perd

nexus4 a écrit:En lisant le Griffon, je repensais à cet échange entre Hergé et Goscinny, rencontre au sommet, où ce dernier disait (de mémoire) : "La différence entre nous c'est que vous avez une histoire autour de laquelle vous greffez des gags et que moi au contraire j'ai des gags dont je fais une histoire". La formule est courtoise et élégante, à l'image de son locuteur, mais elle me semble assez fausse quand on voit le travail de ses successeurs. Ferri trouve la situation de départ, la met en place avec talent mais une fois arrivé ne sait plus quoi en faire. On enchaine des trucs sans vraiment de liens pour tenir les 40 pages restantes. Ce qui me fait penser que Goscinny savait très bien où il allait de bout en bout. Et si il fallait faire des ellipses pour se concentrer sur l'histoire, l'ellipse devenait un gag en elle même. Ca vaut pour les Lucky Luke aussi je trouve.



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