ptifrise a écrit:ubr84 a écrit:Pour que l'on parle de vous, il faut être tué par un musulman
Bel amalgame.... un terroriste islamiste pas un musulman, la différence est importante.
La violence envers les personnels de l'éducation nationale est récurrente mais là on parle d'un acte terroriste.
Si on fait la liste de tous les faits établissement que les directeurs font remonter, il y en a un paquet.
Pour être clair, (je pensais qu'on savait à peu près d'où je parle désolé), l'amalgame je le mets dans la bouche des médias, des politiques ... Cette phrase est censé montrer l'absurdité de la situation. Désolé si elle entraine une mauvaise lecture de mon message, l'ironie est compliquée à l'écrit
.
On parle de meurtre tout de même, je pense que les cas sont assez similaires pour être rapprochés.
En tout cas l'objet de mon message est justement de dire qu'on ne parle pas assez de l'EN (il sort pas de nul part, il suit une discussion, esprit d'escalier
).
Tout le monde de fout de l'EN apparemment car justement un meurtre dans un établissement en février est passé sans médiatisation, est oublié aujourd'hui. Une violence comme une autre ?!? Sérieusement ...
Là dessus on est d'accord je pense, il faudrait en parler plus.
@Degryse : on parle aussi de sécurité dans les écoles non ? En tout cas c'est ce que j'entends à la radio ce matin, par exemple Wauquiez veut mettre de la reconnaissance faciale devant les établissements
Et surtout on parle aussi éducation, pas que terrorisme. Le débat s'élargit vite. xof, Franck juste là au-dessus mais presque tous les posts des dernières pages.
Je n'arrive pas à comprendre pourquoi personne sur ce forum n'a rapporté ce meurtre de février. Même en février...
Par ailleurs c'est le premier exemple qui me vient : quand on fait un hommage aux militaires morts au combat, on n'enlève pas celui mort à l'exercice et celui mort dans un accident de voiture sur le terrain de ceux tués par l'ennemi.
Elle est morte parce que prof, l'invisibiliser me parait très contestable, et assez cynique. Une mort au travail, à cause de son travail, reste digne d'hommage à mon sens dans le cadre actuel.