biborax a écrit:Un peu d’humour dans ce climat anxiogène, la cour des comptes vient de mettre de nouveau son nez dans les comptes de la RATP, et c’est folklorique au niveau des primes.
Prime de machine à écrire, prime d’usure anormale des chaussures, prime de soudure pour les soudeur, prime pour nettoyage de fin de chantier, prime de non perte d’outils…![]()
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Un peu de bonheur dans ce monde brut, merci la RATP
Ce sont souvent des primes liées aux conditions de travail d'avant, que tu n'as peut être pas connus (par exemple la prime de machine à écrire correspondait au temps où il pouvait y avoir 60 dactylos dans le même local, et où elles étaient pénalisées si elles abîmaient l'outil de travail. J'ai vu ça au siège d'une très grosse Cie d'assurance parisienne)
Ces primes spécifiques pouvaient correspondre à des travaux supplémentaires hors horaire, comme le nettoyage pour fin de chantier. Et à l'époque le prix des chaussures ça comptait dans le budget des ménages.
Un jour le Fondé de pouvoir de la boîte où je bossais à la fin des années 60 m'a convoqué pour me dire qu'il fallait mettre une cravate dans le job...je lui ai répondu "OK, vous me payez une prime cravate, et je la porterai !"

Il a pas aimé du tout, mais il m'a foutu la paix ensuite.
C'était une autre époque...