Je vais sûrement me faire incendier et écrire un truc qui sera vu comme une grosse connerie (et j'avoue, c'est pas toutes les grosses conneries de l'histoire de l'humanité qui ont un jour eu le bol d'être le progrès vers un nouveau paradigme), mais soit, on ne vit qu'une fois :
Pourquoi ne laisserions nous pas tous les scolarisés, de la maternelle aux hautes études universitaires, en "roue libre" (avec les solutions d'un minimum de taff pour leur bien, tel que dispensé ou incité à s'auto-former par les parents qui sont intervenus ci-dessus) jusque fin août, sans nouvelle matière vue, sans examen de fin d'année.
Et là, tadaaaaa
![joie intense [youpi]](./images/smilies/joieintense.gif)
, en septembre, on reprend (ça devrait aller mieux quand même, niveau Covid) pour terminer les quasi 3 mois et demi d'interruption scolaire, avec en vue le changement révolutionnaire du calendrier scolaire : fin d'année juste avant les congés de Noël, début de l'année scolaire suivante en janvier, et on pérennise le système.
On en profite pour répartir un peu mieux leurs congés scolaires (sans leur en piquer un jour, quoique, pourquoi pas quelques uns tout de même) en accolant parfois leurs jours de congé à des périodes déjà existantes (Noël, Pâques, etc..) pour leur donner tout de même au moins une période de un mois d'interruption (limite on le programme justement entre deux années scolaires, soit Noël-Nouvel an). (ou pas, si on n'aime vraiment pas les vacances en hiver, il y a d'autres périodes possibles)
Du coup, cela serait simplement en adéquation avec le calendrier normal, et cela pourrait aider les parents à ne plus devoir gérer deux longs mois de congé en été (c'est quand même un peu fini depuis longtemps, la majorité des familles qui avaient besoin de jeunes bras pour les moissons). C'est pas vraiment les préparer aux réalités du marché du travail que de les habituer à plus de deux mois de congé d'affilée.
Voilà, fin de connerie, allez-y, déchaînez-vous.
