Je ais pas moi le gamin est il le sien ?,
...
encore merci a vous auteurs de venir échanger avec nous ici et d'accepter nos critiques.
normalement un chroniqueur ne doit pas lire les avis des autres forumeurs avant de faire sa chronique, je crois
Continuez à divaguer sur le fin de la Bd, vraiment c'est du petit lait .
Ca devient un peu n'importe quoi...
Ayant été déçu à la lecture de l'album, je voulais le dire et expliquer pourquoi. C'est ce que j'ai fait quelques posts plus haut.
Je ne veux pas faire du mal, salir ou manquer de respect aux auteurs.
Je sais très bien le temps, le travail et la passion que vous mettez dans cette activité et que cela représente des mois, voire des années de votre vie "professionnelle".
Maintenant, parlons plutôt BD
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Pour rebondir sur le pourquoi qu'elle pleure la fille
Premièrement, je doute fortement que l'enfant sur la plage soit le sien. En effet, elle a un regard empli de regret et non d'amour maternel, et pis elle fond en larme sitôt le regard tourné, comme une mélancolie. Elle regrette certainement d'avoir avorté et de ne pas pouvoir être la mère qu'elle aurait pu devenir
Maintenant, en supposant que l'enfant soit bien le sien, elle pleure peut-être d'avoir perdu le père de l'enfant, qu'elle aimait malgré qu'il soit un démon. Elle pleure aussi pour l'avenir de son enfant et de sa vie. Le démon a du la mettre au courant avoir de se voir infliger le statut d'esprits errants
Concernant la phrase "Et je me dis que notre existence ne tient parfois qu'à un fil". Elle est interpretable de différentes manières :
-Le fil de la vie, la mère et le cordon ombilical. La naissance d'un être ne tient à rien.
-Le fil du sursis. MM et la fille sont en sursis pour le moment, tout comme le patron. Leur vie et leur mort sont liés. Si l'un d'entre eux meurt, les autres mourront imméridiablement. Si la fille meurt, MM sera poursuivi par des tueurs, et le patron sera tué par le diable prévenu par MM. C'est une spirale infernale et incassable. Leur destin tient dans les fils que manient Dieu et le Diable.
-Le fil invisible, celui qui joint les Anges et les Démons, le Paradis et l'Enfer. Un fil qui n'est intact que grâce à l'équilibre des forces dans le monde. Là aussi, si les forces se déséquilibrent, le fil se casse et le sort du monde sombre dans le chaos.
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Pour répondre au message de Mr Nouhaud (là en haut...), il est bien entendu évident que je respecte son choix d'auteur et de ne vouloir faire qu'un one shot de son album mais le problème est que je n'ai appris qu'en venant ici que c'en était un. A la lecture de l'album, je m'attendais à une suite et comme je l'ai apprécié, je me retrouve frustré.
Effectivement je préfère un auteur qui annonce la couleur que celui qui vu le succès va se raccrocher à ça et nous pondre des suites sans intérêt mais je trouve dommage qu'un album de qualité ne trouve pas de continuation alors que d'autres nous pompent l'air avec leurs suites interminables (je sais, je me répète mais il faut le dire...).
Voilà voilà...on verra le prochain album avec intérêt...c'est déjà ça de gagné...
y a de sacres coups de scie, par ici... :demon:
car j’ai du pain sur la planche,
Tu sais Morti, je ne l’ai pas caché que c’était un one-shot :
-dès que je suis intervenu sur ce site je l’ai dit
-sur la bd j’ai souhaité qu’il ne soit pas écrit « Tome1 », et qu’il n’y ai pas de sous titre.
-sur le site Delcourt la question a été posée plusieurs fois dans la rubrique prévue à cet effet, et la réponse a été donnée : non, c’est un one shot (même l’éditeur n’essaye pas de le cacher)
-à la dernière page, j’ai bien écrit le mot « Fin. » (et non « fin de l’épisode », comme je l’ai dis plus haut)
-en dédicace, je l’ai confirmé et en expliquant que je voulais m’attaquer à un projet perso
-il me semble aussi que sur la préview du site, c’est aussi écrit « one-shot » (faut que j’aille vérifier tiens)
…malheureusement Morti, je comprends ta frustration, mais à mon petit niveau j’ai fais ce que je pouvais pour que les lecteurs en soient informés avant l’achat.
Morti, le rendez-vous est pris : si tu n’achètes pas mon prochain album, débrouilles-toi malgré tout pour le lire, qu’on puisse en reparler.
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