Et j'allais oublier, peut-être parce que le sujet incite à une certaine retenue, mais le dessin de James est, je ne sais pas s'il est bienvenu de dire pour accompagner ce récit, mais dans l'absolu

edgarmint a écrit:Lu les 3, ils sont très différents.
Le Collectif sur la violence faite aux femmes édité par Des ronds dans l’eau est sans aucun doute le plus documenté et le plus universel, mais comme c’est souvent le cas dans ce type d’ouvrage, les récits sont inégaux et peinent à trouver une unité de ton. L’intérêt en est donc essentiellement limité au message qu’il véhicule, c’est d’ailleurs son objet.
Inès, édité par Drugstore, se déroule sur une journée. Potentiellement intéressant, ce choix m’a laissé un peu perplexe au final. Ce que j’en retiens, c’est un truc qui se passe trop vite, pas le temps de comprendre ce qui a amené la situation si loin. Maintenant, c’était peut-être justement le but des auteurs, à savoir démontrer le problème que pose la passivité du regard extérieur qui, à force d’attendre pour intervenir, laisse la situation se dégrader. Peut-être aussi confronter le regard extérieur à cette situation fort… embarrassante (j’interviens, je n’interviens pas).(...)[Révéler] Spoiler:Enfin, pour moi, la fin s’engage dans une voie qui n’avait rien d’indispensable.
niavlys a écrit:Tu dois être un des rares à lire ces poèmes...
djaimse a écrit:Sinon, pour le dessin, il y a quand même une petite différence notable... mais je ne dis pas laquelle, ce serait trop facile.
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