Vos films marquants

[Mr Degryse]

Message précédent :

Par contre un film qui m'a marqué de dingue c'est "L'île" de Kim ki duk (Coréen)... le coté glauque, la poèsie, le cadrage, l'ambiance et ses couleurs de fou .

Oui j'ai hésité à mettre lun kim ki duk ( l'île ou bad guy). mais plus de place. comme pour Takeshi Miike qui m'a bien marqué aussi à une époque

[Mr Degryse]

Part 5 : de S à W

83)- SCHLESINGER, John Marathon Man 1976

Bon, il suffit de voir la photo à côté de mon nom pour voir que ce film m'a marqué. Hoffman, Schenider et Olivier en nazi.

84)- SCORSESE, Martin Mean Streets 1973

J'ai hésité avec Casino ou Ragging Bull mais je me souviens de la vision de ce film à une rétrospective Scorsese au métropole à Lille. le chef d'oeuvre annoncé Taxi Driver m'avait bien déçu alors que cz film avec Keitel et de Niro en jeune chien fou m'avait scié.

85)- SCOTT, Ridley Blade Runner 1982

Cela aurait pu être Alien mais je revois avec plus de plaisir et régulièrement Blade Runner. Le film, je l'avais découvert en vidéo bien entendu mais cela fut une éblouissement quand je l'ai vu sur grand écran au cinéma. pour l'esthétique, l'histoire, la musique, les acteurs ( rugter Hauer) et ce superbe final.

86)- SINGER, Bryan Usual suspect 1995

Belle claque au ciné. Cette construction et cette révélation finale. Un superbe Kevin Spacey. le film fonctionne encore très bien même quand on connait la résolution.

87)- SPIELBERG, Steven Indiana Jones et le temple maudit 1984

Les cinéphiles diraient la liste ou les dents de la mer. Mais moi, je suis Indy et celui là m'a plu dès mon plus jeune âge et je revois ces films avec grands plaisirs à l'âge adulte.

88)- SOLLIMA , Sergio Le Dernier Face à face 1967

Le 3 ème Sergio. Parce qu'il fallait un Tomas Milian et surtout un Gian Maria Volontè

89)- TAKAHATA, Isao Le tombeau des lucioles 1988
L'autre génie de Ghibli. J'ai hésité avec souvenir gouttes à gouttes ou son dernier magnifique mais l'émotion l'a emporté. Un film qui me fait pleurer, c'est rarissime.

90)- TAMAHORI, Lee l' âme des guerriers 1990
Un coup de poing dans l'estomac. Un film fort sur les violences conjugales, sur l'arrière de l'image d’Épinal de la nouvelle zélande, les laissés pour compte =. on ne voit plus les haka de la m^me façon après

91)- TAVERNIER, Bertrand Que la fête commence 1975

Le film français que j'ai le plus vu. De mon réalisateur français préféré ( j'aurais pu nommé une dizaine de ces films). Pour Mr Noiret en régent, LE génial Rochefort en Dubois et l' inénarrable Marielle en Pontcallec. Sans oublier la sublime Christine Pascal et les petits soupers. Pour les dialogues ciselés et même la réalisation. j'adore ce film

92)- TARANTINO , Quentin Django Unchained 2012

Génie pour les uns, fossoyeur et arnaqueurs pour les autres. Western oblige, c'est à mon sens le Tarantino le plus distrayant. Grâce à Waltz, à l’apparition d'un Do,n Johnson ridicule. pour le plaisir de voir dégommer des esclavagistes ( après le plaisir d'avoir vu dégommer des nazis dans inglourious basterds). Même le mauvais Di Caprio me plait bien dans ce film.

93)-TOURNEUR, Jacques La griffe du passé ( pendez moi haut et court) 1947

Je vous ai déjà dit que j'aimais Kirk Douglas. et là en plus il y a Mitchum. Une perle du film noir.

94)- VERHOEVEN, Paul La chair et la sang 1985
Un grand film. pour l'aspect cradingue de l'europe de 1501. Parce que chez Paulo tout le monde il est méchant à défaut d'être moche. Pour le charismatique Rugter Hauer. Pour la magnifique Jennifer Jason Leigh qu'on voit sous toutes les coutures.

95)- VERNEUIL, Henri Une singe en hiver 1962

Pour les dialogues et le coté depressif derrière les délires alcoolisés. Pour Belmondo quand il était grand et Gabin égal à lui même.

96)- VIDOR, King L'homme qui n'a pas d'étoile 1955

Kir douglas for ever !!!! Pour l'aspect fin d'un monde. le fin des hommes libres face aux modernismes ( la société clôturée). Un grand western d'un grand réalisateur

97)- WEIR, Peter Master and commander 2003
Fan des romans maritimes, je désespérais de trouver un bon film sur le genre. c'est chose faite avec ce très beau film de Peter Weir

98)-WOO ,John The killer 1989

J'ai découvert ce film en thailande lors d'un voyage? j'avais moins de 10 ans. C'était dans une version pirate. je ne comprenais rien à la langue mais mon frère et moi avions été subjugué par les images. Ce ballet de la violence. pour la classe de Chow Yun fat. Le film a révolutionné la façon de filmer l'action ( pour le pire diront certains)

99)- WYLER, William Ben- Hur 1959

Car il fallait un Charlton Heston et que je pense que plus jamais on ne fera un film comme çà. On n' a plus les moyens

100- ZEMECKIS, Robert Retour vers le futur 1985

Film pop corn parfait. un rythme endiablé. Il fonctionne toujours aussi bien maintenant qu'à l'époque. qu'est ce que j'ai pu usé la vhs en le mattant chez un pote.



Voilà c'est fini. Exercice pas facile. Ou on est obligé de se limiter à un film de nos réalisateurs préférés pour laisser de la place aux autres. Ou certains chefs d'oeuvres ont été oubliés ( je me dirais certainement plus tard : quel con, j'ai oublié celui là) mais ils ont laissé place aux films madeleine de proust. les films plaisir qui me viennent en tête immédiatement.
On voit bien que je suis né en 1981

[pabelbaba]

Je l'ai aussi vu il y a quelques semaines, j'ai été un peu déçu, j'ai préféré Le Flic Ricanant réalisé l'année suivante sur le quotidien des flics plus "normaux".

Je ne connais pas.
Va falloir que je voie ça.
Je doute que je le préfère au Fleischer mais tu me donnes envie.

Alors c'est une enquête bien précise avec une timeline bien plus réduite que celle des Flics ne dorment pas la Nuit. En plus on ne suit pas de simples flics de patrouille, mais bien une bande d'inspecteurs. Cependant ça se rapproche du Fleischer dans la mesure où les gars ne sont pas des supers héros, ont la trouille, se font insulter et ça semble plus correspondre au quotidien des flics que, au hasard, L'Inspecteur Harry. Et puis avec Walter Matthau et Bruce Dern, c'est très sympas à mater.

Sinon j'ai regardé Les Poulets hier soir (Fuzz en VO), c'est encore le même concept avec le quotidien d'un commissariat de quartier à Boston, mais sur le ton de l'humour et avec Yul Brynner comme méchant qui a l'air de sortir d'un James Bond. C'est particulier...

[Karzak]

Part 5 : de S à W

84)- SCORSESE, Martin Mean Streets 1973

J'ai hésité avec Casino ou Ragging Bull mais je me souviens de la vision de ce film à une rétrospective Scorsese au métropole à Lille. le chef d'oeuvre annoncé Taxi Driver m'avait bien déçu alors que cz film avec Keitel et de Niro en jeune chien fou m'avait scié.

J'aime beaucoup aussi. Quelle performance de De Niro
Après, je pense pas que ça serait mon Scorsese numéro 1, s'il ne fallait en choisir qu'un.

87)- SPIELBERG, Steven Indiana Jones et le temple maudit 1984

Les cinéphiles diraient la liste ou les dents de la mer. Mais moi, je suis Indy et celui là m'a plus ès mon plus jeune âge et je revois ces filsma vec grands plaisirs à l'âge adulte.

Celui-là c'est exactement la madeleine de proust que tu évoques en conclusion, je crois ... tellement marquant quand on le voit jeune ...

92)- TARANTINO , Quentin Django Unchained 2012

Génie pour les uns, fossoyeur et arnaqueurs pour les autres. Western oblige, c'est à mon sens le Tarantino le plus distrayant. Grâce à Waltz, à l’apparition d'un Do,n Johnson ridicule. pour le plaisir de voir dégommer des esclavagistes ( après le plaisir d'avoir vu dégommer des nazis dans inglourious basterds). Même le mauvais Di Caprio me plait bien dans ce film.

Dans le genre western, The hateful eight c'est quelque chose aussi quand même, je trouve.

97)- WEIR, Peter Master and commander 2003
Fan des romans maritimes, je désespérais de trouver un bon film sur le genre. c'est chose faite avec ce très beau film de Peter Weir

L'époque choisie y est pour quelque chose !
Après j'ai trouvé qu'il trainait plutôt en longueur tout de même ...

99)- WYLER, William Ben- Hur 1959

Car il fallait un Charlton Heston et que je pense que plus jamais on ne fera un film comme çà. On n' a plus les moyens

Pour le coup, je trouve que ça n'a pas super bien vieilli ...

[Le Complot]

Oui, je préfère the hateful 8 également.

[Mr Degryse]

Pour le coup, je trouve que ça n'a pas super bien vieilli ...

Peut être. Pas revu depuis au moins 20 ans

[euh... si vous le dites]

Par contre un film qui m'a marqué de dingue c'est "L'île" de Kim ki duk (Coréen)... le coté glauque, la poèsie, le cadrage, l'ambiance et ses couleurs de fou .

Oui j'ai hésité à mettre lun kim ki duk ( l'île ou bad guy). mais plus de place. comme pour Takeshi Miike qui m'a bien marqué aussi à une époque

Je déteste viscéralement les films de Kim Ki-Duk. Je les trouve ignobles. Bad guy est pour moi un film abject.
Takashi Miike, c'est une blague qui a trop duré.

[Mr Degryse]

Takashi Miike, c'est une blague qui a trop duré.

Je peux comprendre. mais j'y vois un côté potache qui me plaisait bien. Pas vu un de ses films depuis 20 ans.

Je déteste viscéralement les films de Kim Ki-Duk. Je les trouve ignobles. Bad guy est pour moi un film abject.

C'est le but pour moi

[euh... si vous le dites]

87)- SPIELBERG, Steven Indiana Jones et le temple maudit 1984

Les cinéphiles diraient la liste ou les dents de la mer. Mais moi, je suis Indy et celui là m'a plus ès mon plus jeune âge et je revois ces filsma vec grands plaisirs à l'âge adulte.

Celui-là c'est exactement la madeleine de proust que tu évoques en conclusion, je crois ... tellement marquant quand on le voit jeune ...

Madeleine, oui.
Mais je n'ai pas du tout aimé quand je l'ai revu avec des yeux d'adulte.
Surtout la scène finale avec Indy qui revient au village avec une partie des enfants.
J'y ai trouvé un racisme colonialiste très déplaisant.
Et tu ne vois pas un seul parent triste que son enfant à lui n'est pas revenu. Juste une joie plaquée et indifférenciée, complètement artificielle et qui n'intéresse pas du tout Spielberg. Tout ce qui l'intéresse, c'est le baiser d'Indy avec la femme blanche.
C'est le genre de trucs auxquels tu ne penses pas du tout quand tu es gosse, sans doute parce que c'est ça que tu attends, mais avec des yeux d'adulte, j'ai trouvé ça très bof.

[euh... si vous le dites]

Je déteste viscéralement les films de Kim Ki-Duk. Je les trouve ignobles. Bad guy est pour moi un film abject.

C'est le but pour moi

Oui, sans doute.
Mais, en ce qui me concerne, c'est non merci.

[Karzak]

Je pense surtout que s'il avait fait le film aujourd'hui, il serait très différent dans ce traitement justement ... dans les 80s, c'est plutôt l'état d'eprit ...
Mais je suis d'accord. c'est d'ailleurs pour ça que c'est une madeleine

[euh... si vous le dites]

97)- WEIR, Peter Master and commander 2003
Fan des romans maritimes, je désespérais de trouver un bon film sur le genre. c'est chose faite avec ce très beau film de Peter Weir

L'époque choisie y est pour quelque chose !
Après j'ai trouvé qu'il trainait plutôt en longueur tout de même ...

Pour le coup, j'aime beaucoup les pauses dans le récit.
Grand film, en ce qui me concerne.

[euh... si vous le dites]

100- ZEMECKIS, Robert Retour vers le futur 1985

Film pop corn parfait. un rythme endiablé. Il fonctionne toujours aussi bien maintenant qu'à l'époque. qu'est ce que j'ai pu usé la vhs en le mattant chez un pote.

Revu récemment avec Miss euh... junior et c'est toujours en effet un immense plaisir.
Et elle a adoré aussi.

Voilà c'est fini. Exercice pas facile. Ou on est obligé de se limiter à un film de nos réalisateurs préférés pour laisser de la place aux autres. Ou certains chefs d'oeuvres ont été oubliés ( je me dirais certainement plus tard : quel con, j'ai oublié celui là) mais ils ont laissé place aux films madeleine de proust. les films plaisir qui me viennent en tête immédiatement.
On voit bien que je suis né en 1981

Merci beaucoup pour ta liste et le temps que tu y as consacré.

[Mr Degryse]

Ps : je vois plus la scène du bucher comme un acte de miséricorde que comme un meurtre

Oui mais je ne voyais pas comment dire sans spoiler. Et le bûcher en tant que tel est bien un meurtre. la solution pour y "échapper" en est un eautre

[Mr Degryse]

Sinon personne n'a parlé des goonies ?

Film que j'adorais enfants ado mais qui par compte n'a pas résisté à une nouvelle revison adulte. je me suis fait chié et mes enfants idem

[Le Complot]

Sinon personne n'a parlé des goonies ?

[Thierry_2]

ma madeleine, un truc que je peux revoir 100 fois avec la même jubilation, malgré tous les défauts qu'on peut légitimement lui adresser , l'aspect complètement WTF, bordelique et délirant

[arcarum]

Le post, où, malgré un visionnage intensif de film, on se rend compte que l'on n'a pas vu grand chose.

merci

[Cooltrane]

Stanley Kubrick
Docteur Folamour.
2001, l'Odyssée de l'espace,
Orange mécanique,
Shining,
Full Metal Jacket

Rien qu'à l'idée de devoir un choisir un seul à sortir pour la tranche Kubrick est quasi-impo

Strangelove m'a marqué dès six ou 7 ans, avec ce final incroyable (j'avais pas trop pigé ce qui s'était passé avant) et le cowboy qui tombe avec sa bombe, m'est resté en mémoire pendant des décennies... j'ai encore le poster du film dans mon salon zoollandais
2001 fut mon initiation aux films plus symboliques... je devais avoir 15 ans au moment où je l'ai vu et en sci-fi, seul Bladerunner à fait mieux depuis.
Clockwork Orange, c'est un peu mon adolescence déboussolée, mais le message est passé correctement
Shining, dans le style thriller-horreur, on a jamais fait mieux
Pour finir, seul FMJ est assez dispensable (je lui préfère nettement Platoon)

Pour ce qui est de la case Forman, à choisir entre Coucou (géant) et Amadeus (la nana que j'ai tombé ce soir-là à cause du film ) , je prendrai Haïr , le seul film "musical" que j'ai jamais aimé (ne pas me parler de JCS, RHPS ou Parapluies de Cherbourg, SVP)

[Le Complot]

Si tu préfères Strangelove, c'est que tu as l'âme d'un réal...

[sergent latrique]

Ma liste ne contient pas un nombre déterminé de films, je ne les ai pas compté, c’est un peu au fil de l’eau comme cela me vient, mais je les ai trié par ordre alphabétique du nom du réalisateur. Je n’ai aucune prétention sur la qualité des films qui sont listés, c’est très inégal et on y trouve beaucoup de comédies grand public. J’assume ce choix de films populaires qui n’ont pas révolutionné l’histoire ou la technique cinématographique mais font en quelque sorte partie de mes madeleines.
Se limiter à un seul film par réalisateur est trop contraignant, pire au dessus de mes forces, je déroge donc à la règle, mais pour les années avant 2000, pas de problème.
Dernière précision, j’ai mis les années de mémoire, il y a certainement quelques écarts avec la réalité.
Il y a aussi plein de films qui manquent, oubliés ou tout simplement en devenir, jamais vus, la liste reste ouverte.


Jean Jacques Annaud Le nom de la rose (1986)

Jacques Becker Touchez pas au grisbi (1953)

Roberto Begnini La vie est belle (1997) Le genre de film qu’il fallait oser faire et qui d’un sujet casse-gueule est sublimé par Begnini

Bernard Blier Buffet froid (1979) Calmos (1976) un film totalement déjanté qui part en roue libre puis en vrille totale en seconde partie (on peut s’arrêter au milieu d’ailleurs!)

Luis Bunuel, Le fantôme de la liberté (1968), du surréalisme chimiquement pur et totalement jouissif

Marcel Carné Le jour se lève (1935)

Charles Chaplin, Le cirque (1928), il y en a pléthore de Chaplin, celui me rend hystérique lors de certaines scènes, sans aucune explication.

René Clair La beauté du diable (1954)

Henri-Georges Clouzot Le corbeau (1943) Les diaboliques (1955) Le salaire de la peur (1953) Du Clouzot, c’est comme du Simenon, une mécanique bien huilée et du suspense

Etan et Joel Coen Fargo (1991) The barber 1995. Brun after reading
Les frères Coen sont des sorciers, d’un sujet anodin, d’une histoire banale, ils concoctent des dilms envoûtants, des pépites d’humour noirs avec des personnages plus vrais que nature que tu crois avoir croisé la veille ou le jour même .La psychologie et leurs réactions sont tellemetn bien vus que l’on pourrait en faire une thèse d’exploration clinique

George Cukor My fair Lady (1964) Un rendu chatoyant d’une époque et d’un style avec des acteurs au meilleur de leur forme.

Philippe de Broca L’homme de rio (1963) Le magnifique (1975) Je vous l’ai dit que j’aimais le ciné populaire. Bébel flamboyant et magnifique, des aventures et du rêve, Le diable par la queue (1968) un château sublime où Marthe Keller promène ses petites culottes blanches.

Julien Duvivier La bandera (1935) Gabin en Rambo avant l’heure

Robert Enrico, les grandes gueules (1965), un film qui donne envie de prendre ses bottes et ses chemises à carreaux pour aller humer le bois dans les Vosges.

Federico Fellini I Vitelloni (1954) Amarcord (1973) Roma (1972) Fellini, Roma, la gloire de Rome, dans toute sa décadence, dans toute sa démesure, dans toute sa folie, du Fellini quoi.

Milos Forman, Vol au dessus d’un nid de coucou (1973) Amadeus (1984) la déconstruction joyeuse et magistrale de Mozart,

Jacques Deray Flic story (1975)

Clive Donner Quoi de neuf pussycat (1965) scénario de Woody Allen

Blake Edwards The party (1968) Que celui qui n’a pas ri devant la catastrophe et l’humour loufoque de Sellers me jette la première bobine.

Jacques Feyder La kermesse héroïque (1934) Une vision de la Renaissance absente des livres d’histoire mais très touchante et formidablement vivante, des décors somptueux

Jean-Luc Godard A bout de souffle (1960) Entre cinéma expérimental, exercice de style, et polar de seconde zine, une alchimie parfois agaçante mais qui reste fascinante.

Sacha Guitry La poison (1951) comment faire détester quelqu’un en quelques leçons

Howard Hawks L'impossible M.Bébé (1938)

Alfred Hitchcock : Mort aux trousses (1958), un film qui ne vous lâche pas du début à la fin dans une poursuite folle au travers des plaines des Etats -Unis - Psychose (1960)

Buster Keaton Cops (1927)


Stanley Kubrick Shining (1980)

KurosawaLes sept samouraïs (1954) Je crois bien que c’est le premier film japonais que j’ai jamais vu (pas le dernier mais j’en connais très peu quand même)

Sergio Leone Le bon la brute et le truand (1966) Il était une fois dans l’ouest (1968) les westerns spaghetti qui ont relancé le western

Fritz Lang, Métropolis (1925) pour son avant gardisme et sa vision terrifiante du futur

Georges Lautner : Les tontons flingueurs (1963) Audiard, Ventura, Blier, Dalban, etc.. tout est dit

Ernst Lubistch To be or not to be (1942) La Lubitsch touch, un cinéma comique léché virtuose comme on en fera plus.

Werner Herzog Aguirre ou la colère de Dieu (1972) La colère et la folie d’un conquistador avec uen interprétation de Kinski inoubliable.

Patrice Leconte Les bronzés font du ski (1979) pop corn pour se marrer

Jiri Menzel Trains étroitement surveillés (1966) Un souvenir brumeux d’atmosphère dramatique dans une gare de Tchéquie où tu ne mettrais jamais les pieds tellement c’est le trou

Louis Malle Ascenseur pour l’échafaud (1957) une mécanique bien huilée, un jeu sobre et une musique de M.Davis inoubliable sur la déambulation de J.Moreau

Vincente Minelli Tous en scène (1953) la comédie musicale dans le rétroviseur, le must

Gérard Oury Le corniaud (1964) La grande vadrouille ‘1966) Parce que bon, le duo De Funès et Boruvil, et des seconds rôles parfaits ça fonctionne toujours même 50 ans plus tard.

Jean-Marie Poiré Les visiteurs (1994), encore un film pop-corn

Roman Polanski : La locataire (1975), étrange et dérangeant, comem si on se trouvait à l’intérieur de l’esprit d’un névrosé obsédé par ses visions - Le bal des vampires (1967) : Dracula burlesque

Satiajit Ray, Le lâche (1965) un des rares films indiens que j’ai pu voir et apprécié

Jean Renoir, La règle du jeu (1939), une partie de campagne (1936), Le fleuve (1951)

Dino Risi Le fanfaron (1962) Il fait partie des films vus dans le cine club du forum

Yves Robert Bébert et l’omnibus (1963) un des premiers films vu au cinéma, en tout ca le plus ancien souvenir que j'ai du cinéma. Un éléphant ça trompe énormément (, Le grand blond, des comédies légères à voir et revoir sans modération

Jean Rouch, Petit à petit (1969) Rouch, ethnologue facétieux qui sur un sujet sérieux créé une comédie et décortique mieux la société et l’esprit africains qu’une thèse en 15 volumes.

Ettore Scola Le bal (1983) Un film sans dialogue, dans un même décor qui dit tout par la danse, un ovni dans le cinéma. Une journée particulière (1975)

Jacques Tati Les vacances de M.Hulot (1953), des vacances de rêves Mon oncle (1958) la nostalgie d’un monde humain qui disparaît

François Truffaut Les 400 coups (1959) La mariée était en noir (1969)

Francis Veber Le jouet (1976) Film à la fois tendre et féroce

Henri Verneuil Cent mille dollars au soleil (1964), l’aventure, le désert africain, un film où les camions sont aussi des personnages et une myriade de seconds rôles qui donne tout le charme rugueux de ce film et dans la même vine Un taxi pour Tobrouk de Denys de La Patellière

Orson Welles La soif du mal (1954)

Billy Wilder Sunset boulevard (1950) La garçonnière (1960)

Robert Wise la maison du diable (1963), comment faire un film d’épouvante sans effets spéciaux, sans hémoglobine, juste sur la suggestion

Fred M. Wilcox Planète interdite (1956), une de mes premières rencontres (peut-être le première) avec la science fiction qui n’est pas un genre que j’affectionne en général, mais aujourdh’ui délicieusement désuet avec son robbie le robot.

Robert Zemeckis Retour vers le futur (1985) Le « feel good movie «  des années 80 avec la nostalgie de l’adolescence