danielsansespace a écrit:En tout cas, moi ça me saoule un peu de voir Jacques Martin égratigné au passage. J'ai lu Orion ce week end qui trainait depuis des années dans ma bibliothèque et j'ai retrouvé une qualité de trait de Martin que personne n'a depuis réussi à reproduire parmi ses élèves. Dans le tome 2, quand Simon prend la plume, tout s'évapore (après avoir vu sur quelques page le trait de Martin s'étioler inexorablement, comme dans un miroir déformant). Pour moi c'est le signe d'un grand dessinateur, et c'est un peu mon graal à moi.
Je pense qu'il reste lu par tous les passionnés d'histoire (je n'en suis pas plus que ça) et de classicisme. Alors bien sûr ça fait moins bling bling que l'art contemporain, certains vont trouver ça niais, mais moi je vois un univers particulier, un charme qui continue de résonner et qui s'est quand même bien éteint avec son arrêt au dessin.
J'ai juste dit que c'était pas un génie hein
Hubinon non plus n'est pas un génie et pourtant c'est l'une de mes idoles absolues. Idem pour Mitacq. Ce n'est pas égratigner ...