Il y a quand même un "truc" qui pose problème sur le plan juridique. Trois fois rien.
Un photographe met un aperçu qui ne correspond pas à la réalité. Cela signifie que Cornette assume de prendre le risque de tromper éventuellement le consentement de l'acheteur en lui donnant des informations (ici une image) ne correspondant pas à la réalité du bien proposé à l'achat.
J'invite les juristes de Cornette à revoir leur droit de seconde année de Licence. Il y a 2-3 trucs sur le droit général des obligations contractuelles/valeur des catalogues en matière d'oeuvre d'art qui pourraient les intéresser.
Faut le faire, parce que c'est un GRAND classique des TD et des cours, ces questions là, avec le acs de force majeure et la jurisprudence sur les loteries publicitaires.
Par ricochet, cela indique donc que la réalité de tous les autres lots peut être remise en cause, et que les photos ne correspondent pas forcément à la nature ou à la qualité montrées en apparence.
Par exemple, pour les statues en résine, si ça se trouve, l'image montrée est celle d'un modèle neuf, alors que les statues présentent des défauts (fissures, éraflures). Les photos des autres originaux sont celles peut-être qui représentaient leur état bien avant la date de la vente...
Joker je réponds, les intelligents aussi, les trolls ben en fait comment dire, allez sucer des courgettes.
Fred Dewilde, auteur.