pipthetroll a écrit:Par contre, il faut que je relise ce TOP Ten tome 1, car je ne me souviens absolument plus de l'histoire...
C'est si bien que ça ?
Ah oui.
Mais c'est vrai que ça gagne beaucoup une fois qu'on arrive à la fin, et que tous les fils se rassemblent pour dessiner une vaste tapisserie. La structure chorale du récit fait que l'on se perd parfois dans des digressions ou des histoires annexes. Mais quand on arrive à la fin, c'est la claque.
Et ce qui est fort, c'est que l'histoire est intéressante en tant que polar, mais c'est aussi une enquête qui met en lumière le commentaire sur le genre (ça dépasse le stade de citation, hein…) et avec tout cela, les personnages sont bien travaillés, on a le temps de les connaître.
Alors ouais, c'est l'antithèse de la décompression, on a des épisodes denses et riches, avec plein de choses à lire, donc ça peut paraître étouffant, mais c'est justement cette densité qui permet de faire vivre autant de personnages tout en développant une telle intrigue.
Jim