Papy Boingtone a écrit:Jetjet a écrit:
Et quoi donc ?
La taille...
LOL
Papy Boingtone a écrit:Jetjet a écrit:
Et quoi donc ?
La taille...
cronos59 a écrit:Je m'étais pris le 1er tome lors de la réedition d'Urban en 2012 et j'avais pas accroché tant que ça, étant de base assez hermétique au récit policier et aux superpouvoirs.
Je me suis mis à relire ce tome pour voir si j'étais pas mal luné lors de ma lecture, en vertu de quoi je me serais pris l'intégrale, mais je trouve ça toujours assez saccadé dans la narration avec plein de storylines lancées, plein de protagonistes introduits, en bref plein d'élements qui parasitent un peu l'assimilation et l'évolution du récit qui font que la lecture m'est pas agréable.
Bon bien sur ça s'arrange au bout d'une vingtaine de pages quand tu commences à t'y retrouver dans le bordel, mais à coté de ça, contrairement a d'autres les dialogues font pas souvent mouche chez moi. Tout ça me chagrine.
cronos59 a écrit:Je vois ce que tu pointes, mais c'est un aspect auquel je suis aussi hermétique, j'aime mieux quand un récit sort de la banalité de la vie, car même transposé dans un univers onirique, ça reste pour moi du banal dont j'arrive assez bien a me faire une idée sans lire de bd.
Je me fiche par exemple des coulisses du Daily Planet qui seront probablement assez similaires a celle de Libé, avec un superslip en plus. Je trouve plus intéressant de retranscrire le banal quand on le soumet à un regard un peu analytique a la Clowes,
cronos59 a écrit:J'ai pas tenté Gotham Central. Mais dans dans tous les cas je reste ouvert, qu'un récit soit dans ma zone de prédilection ou non. Difficile de savoir avant lecture si le développement sera dans mes gouts ou pas. Si je commence à partir avec des préjugés a tout bout de champ, je vais finir en Adolf.
onehmouninehl a écrit:Même si on n'accroche pas à l'histoire, le dessin de TOP 10 recèle bien souvent des perles !!!
cronos59 a écrit:Je vois ce que tu pointes, mais c'est un aspect auquel je suis aussi hermétique, j'aime mieux quand un récit sort de la banalité de la vie, car même transposé dans un univers onirique, ça reste pour moi du banal dont j'arrive assez bien a me faire une idée sans lire de bd.
Je me fiche par exemple des coulisses du Daily Planet qui seront probablement assez similaires a celle de Libé, avec un superslip en plus. Je trouve plus intéressant de retranscrire le banal quand on le soumet à un regard un peu analytique a la Clowes,
Bert74 a écrit:En une case de Top Ten, Moore arrive à exprimer 150 fois plus d'analyse et de philosophie de vie que Clowes en 3 chapitres...
cronos59 a écrit:Bert74 a écrit:En une case de Top Ten, Moore arrive à exprimer 150 fois plus d'analyse et de philosophie de vie que Clowes en 3 chapitres...
Trés bien, d'accord. Il est fortiche ce Moore.
Bert74 a écrit:cronos59 a écrit:Je vois ce que tu pointes, mais c'est un aspect auquel je suis aussi hermétique, j'aime mieux quand un récit sort de la banalité de la vie, car même transposé dans un univers onirique, ça reste pour moi du banal dont j'arrive assez bien a me faire une idée sans lire de bd.
Je me fiche par exemple des coulisses du Daily Planet qui seront probablement assez similaires a celle de Libé, avec un superslip en plus. Je trouve plus intéressant de retranscrire le banal quand on le soumet à un regard un peu analytique a la Clowes,
En une case de Top Ten, Moore arrive à exprimer 150 fois plus d'analyse et de philosophie de vie que Clowes en 3 chapitres...
Relisez donc (ou lisez le bon dieu !) l'épisode sur l'accident de télétransport. Le dialogue moral de fin a même été repris mot pour mot pour en faire la conclusion de la saison 1 de True Detective...
Bert74 a écrit:cronos59 a écrit:Bert74 a écrit:En une case de Top Ten, Moore arrive à exprimer 150 fois plus d'analyse et de philosophie de vie que Clowes en 3 chapitres...
Trés bien, d'accord. Il est fortiche ce Moore.
Content que tu le reconnaisses.
Bert74 a écrit:Ah, ce n'est pas moi qui ai amené Clowes sur le tapis, ni qui en ai commencé l'étude comparative en disant qu'il était plus analytique.
Mais quoiqu'il en soit je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas les comparer : ils rédigent des scénarios et inventent des histoires tous les deux et ils ont l'un comme l'autre une pratique narrative basée sur l’enchaînement séquentiel (ouai, ils font de la BD, quoi...).
J'aime bien Clowes, c'est pas la question, mais là où il nous met 20 pages pour exposer un concept ou une réflexion, Moore, grâce à son génie du contexte et des codes culturels, n'a besoin que d'une case.
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