bintz a écrit:Compte tenu du prix de ces bouquins, je me suis un peu penché sur la VO pour comparer. Par contre je ne trouve pas combien de tome il y a en VO, j'en vois 6 mais est-ce que c'est terminé d'éditer? Je parle des softcovers dont la couverture est un fond noir avec grosse modo le visage de Swamp Thing. Et au niveau du contenu, est-ce qu'on a la même chose? J'ai trouvé les numéros de Saga of the swamp thing qui sont dans chaque tome mais par exemple j'ai l'impression que le swamp thing annual du T.1 de Urban n'est pas repris.
S'il y a un expert dans la salle, je suis preneur d'infos
bintz a écrit:Merci pour les liens, ça va être utile!
Effectivement j'avais raté que l'annual était dans le T.2 du coup... Pour le prix en regardant vite fait je les vois en occase à 10€ pièce (les 3 premiers en tout cas) du coup ça fait environ 60-70€ le total au lieu de 100€, c'est quand même pas mal. Bon, c'est du soft cover et je sais pas si la qualité de papier est équivalente à celle d'Urban (+ coût de traduction) mais ça fait réfléchir tout de même.
Genug a écrit:Je n'apprends peut-être pas grand-chose à quiconque, mais il y a quelqu'un qui a entrepris de retranscrire TOUT ce qu'Alan Moore a pu écrire -- scénarios, articles, interviews -- depuis ses tout débuts. Je n'ai plus la date en tête mais la dernière fois que j'ai regardé il en était rendu à quelques années seulement en arrière d'aujourd'hui, si je me souviens bien...
Sunderclock a écrit:Si je m'étais pris une superbe claque en découvrant les 2 premiers volumes (mention spéciale au run avec Constantine qui a été plusieurs fois repris sans originalité comme dans le run de Carey par ex) et bien avec le 3ème c'est plutôt un uppercut au fois qui vous fait vomir trippes et boyaux suivi d'une double biffle.
Les péripéties d'Alba sont fade comme un discours de Dousteblazy mais l'apothéose reste le délire extraterrestre/interdimensionnel sont le co-auteur s'excuse à demi-mot dans la préface. Ces épisodes sont surement truffés de références intéressantes mais cette cuiller de sucre ne fait pas passer le médicament, surtout quand il s'agit d'un suppositoire gros comme l'égo de Stan Lee et enrobé de tabasco (le suppo, pas Stan Lee, suivez un peu).
Quand on est ni familier de ces univers de série Z ni sous LSD, impossible d'adhérer à ce carnaval qui ferait passer les Avengers pour une réunion de conseillers municipaux du canton de Berne.
Et encore heureux que je ne sois pas du genre à exagérer.
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