Oncle Hermes a écrit:Techniquement je ne suis pas sûr que ce que fait Morrison sur Superman / Actions Comics dans le cadre des "New 52" soit vraiment dans une quelconque continuité non plus... Le personnage est très différent de la façon dont il apparaît dans les autres séries comme Justice League par exemple.
L argo06 a écrit:Je trouve quand même le personnage Superman moins intéressant que Batman.
Son invulnérabilité ne laisse pas beaucoup d'intrigues aux auteurs à créer autour du personnage, car Tout lui semble facile. Cela rend l'histoire un peu convenue, et l'émotion lui semble être son seul point faible dans ce récit de Loeb.
L argo06 a écrit:Next step, RED SON...
Ezrea a écrit:Ce que Morrison écrit dans Action comics se sont les débuts du personnage façon 52, pour l'avoir lu je trouve qu'il l'a très bien fait il revient un peu sur les débuts de Siegel et Shuter c'est un peu comme un hommage au golden age et ces auteurs.
Ezrea a écrit:Je pense qu'il la joue aussi comme John Byrne on redefinit les origines pis on continue dans l'époque actuel, sauf que la différence entre eux c'est que Morrison l'insert directement dans la série alors que Byrne avait sortie une mini-série pour présenter le personnage puis attaquer la série dans la continuité de l'univers DC.
À l'opposé (en cela comme en bien d'autres points) de Batman, le Détective qui tire sa supériorité de son aptitude à échafauder toujours des dizaines de plans d'avance pour être paré à toute situation, car il s'attend toujours au pire, Superman est le Boy Scout qui cherche et voit fondamentalement le Bon et le potentiel prometteur en chacun et en chaque situation. Et qui incarne ce potentiel pour l'humanité toute entière, avec pour tâche de l'inspirer, de la pousser à se dépasser pour atteindre cet idéal. Et potentiellement, justement, Superman peut tout. Défoncer un mur d'une pichenette ou regarder des ondes radio, se balader à travers la galaxie, il fut même un temps où il pouvait faire remonter toute la planète d'un jour d'en le passé rien qu'en tournant très vite autour à contre sens.
C'est pourquoi les récits qui ne s'intéressent qu'aux capacités physiques du personnage (l'Homme d'Acier) sont assez limités, car il peut facilement surmonter presque tout obstacle. Quand tu dis que l'émotion est son seul point faible, c'est bien le cœur du problème : comment le personnage doit se positionner en permanence entre l'humanité et la surhumanité / son origine alien, ou encore les limites qu'il doit assigner à ses actions potentiellement toute puissante pour rester une force inspiratrice et non pas écraser l'humanité sous sa domination protectrice (ce que ne cesse de clamer Lex Luthor...).
Ezrea a écrit:Pour demain je l'ai lu lors de sa première sortie j'avais trouvé le récit super confus, mal mis en place, clair que sans les dessins j'aurais lâché l'affaire.
Vu que cela fait longtemps il me faudrait tout de même une relecture pour corroborer.
Ezrea a écrit:Pour demain je l'ai lu lors de sa première sortie j'avais trouvé le récit super confus, mal mis en place, clair que sans les dessins j'aurais lâché l'affaire.
Ezrea a écrit:Personne n'est intéressé par " à terre" ? moi je suis curieux de voir ce que Straczynsky a préparé pour l'homme de demain.
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