Olaf Le Bou a écrit:B DAHAN a écrit:Hello les amis !
Euh, je ne peux plus poster via Imageshack… Que me conseillez vous d'utiliser pour poster des images ici ??
Merci de votre aide.
ici même, dans la fenêtre de réponse, tu as l'option : "ajouter des fichiers joints". Y'a plus qu'à insérer le fichier jpeg de ton ordi. limité à 380 Ko (ou environ).
Le fichier joint PJ.jpg n’est plus disponible.
Genre comme ça Benoît !
J'en profite pour te donner mon avis sur ton œuvre que je n'avais pas encore dévorée !
"Alors là, chapeau les auteurs ! E. Courbier & Benoît Dahan nous font entrer dans un univers aussi passionnant que malsain... Car à la fin de cette génialissime BD, qui ne s'est pas dit : " Waouh, ça serait trop génial d'avoir le don de Simon Radius & de pouvoir ainsi pénétrer dans les souvenirs des gens & de les changer !"
Il faut tout d'abord souligner la superbe édition confectionnée par Physalis : cette couverture découpée à l'emporte-pièce façon puzzle où on voit Simon "entrer" dans la conscience de Dora : c'est superbe !
Quant à l'intrigue, elle est des plus originales et des plus prenantes. Avec pour fil conducteur la propre amnésie de Simon sur le sort de sa bien-aimée, on découvre le don de notre psycho-investigateur au travers d'enquêtes policières somme toutes banales, mais qui permettent à Simon de faire valoir son talent...
Un talent, bien évidemment non reconnu scientifiquement parlant : comment faire comprendre aux plus hautes instances judiciaires qu'on possède la capacité de définir si oui ou non un suspect est effectivement le criminel... Je pense également à un crime commis beaucoup plus intéressant sur le fond car Simon ne devra pas prouver l'innocence de l'accusé mais plutôt justifier l'acte criminel...
Ces différentes intrusions mnémoniques relatées par un dessin chaleureux, agressif, coloré mais surtout délirant donnent un crédit important à B. Dahan dans la réussite de cet album !
Le final en apothéose avec son pire ennemi, John-Loup Bonseigneur, suivi des réponses concernant l'intrigue principale met magistralement un terme à cette histoire des plus addictives !
On n'est pas dans de la "psychologie de comptoir" avec cette œuvre : c'est du lourd, du très lourd ! "