corentin a écrit:Pour les amateurs de Durieux, il y a un artbook qui vient de sortir avec ses illustrations notamment concernant son travail de recréation sur les affiches des grands films hollywoodiens (Il est adoubé par Coppola, les Hitchcock sont magnifiques , le prix aussi est beau ) .
Un beau livre à mettre sous le sapin.
Johnny Fletcher a écrit:La méprise la plus dommageable des amateurs de Jacobs aura été de ne pas voir dans ce singulier album combien il est cent fois plus fidèle à l'esprit du maître que la plupart des imitateurs serviles qui s'évertuent à le singer avec plus ou moins de bonheur.
the frog a écrit:Johnny Fletcher a écrit:La méprise la plus dommageable des amateurs de Jacobs aura été de ne pas voir dans ce singulier album combien il est cent fois plus fidèle à l'esprit du maître que la plupart des imitateurs serviles qui s'évertuent à le singer avec plus ou moins de bonheur.
C'est exactement mon ressenti sur cet album, j'ai pense la meme chose que toi. C'est l'album de la reprise le plus fidele a l'esprit de la serie. C'est ce que j'avais ecrit dans ma critique sur le livre.
Cela signifie donc que ce n'est pas le dessin vintage Marque Jaune qui fait un B&M, il y a aussi le scenario.
Un B&M se déroulant de nos jours ne fonctionnerait pas ; "les 2 formules du professeur Sato" en étant une triste illustration.
Johnny Fletcher a écrit:La force graphique de Jacobs réside dans son extraordinaire capacité à créer des images dont la puissance d'évocation frappe les imaginations. Il n'illustre pas, il invoque des icônes qui anéantissent toutes les autres images similaires produites jusque là.
Erik Arnoux a écrit:Un B&M se déroulant de nos jours ne fonctionnerait pas ; "les 2 formules du professeur Sato" en étant une triste illustration.
t'as paumé une formule, Yann...?
toine74 a écrit:Pour rappel, cette ambiance délicieusement rétro est une décision du département marketing de Dargaud lors du reboot de 1996. Le but étant, évidemment, de maximiser les ventes en caressant le chaland dans le sens de la nostalgie. Jacobs écrivait dans son époque et ses B&M se déroulaient au moment de l'écriture de leurs histoires.
(ça ne veut pas dire que les albums de la reprise sont mauvais, il y en a des intéressants. C'est juste que l'argument B&M = année 50 ne tient pas, car totalement artificiel.)
yannzeman a écrit:Cet argument de la nostalgie ne tient pas :
je n'ai pas lu B&M quand j'étais enfant, et je n'étais pas enfant quand B&M paraissaient.
yannzeman a écrit:Mais autant ces relations de gentlemen aventuriers et scientifiques en costume cravate collent bien aux 50s et 60s, autant elles dénotent à partir des 70s ou un certain désenchantement caractérise la société, ou la crise rend les fictions plus pessimistes, et où les relations humaines se détériorent, où l'autorité perd de son importance.
euh... si vous le dites a écrit:yannzeman a écrit:Cet argument de la nostalgie ne tient pas :
je n'ai pas lu B&M quand j'étais enfant, et je n'étais pas enfant quand B&M paraissaient.
T'es juste nostalgique d'une vision fantasmée et idéalisée d'une époque que tu n'as pas connue, c'est tout.
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