Oncle Hermes a écrit:Nanmé tu sais ce qu'il te dit le blaireau ? Pas ma faute si j'ai pas des connaissances de graphiste moi ! Tu veux qu'on discute des rapports d'interdiscursivité au niveau métatextuel dans le roman du XVIIIe siècle, qu'on rigole ?
Brian Addav a écrit:Journal de Spirou a écrit:Il se pourrait que cette image intéresse certaines personnes ici présentes [/img]
ça se pourrait effectivement...
mais bon, si déjà tu mettais la bonne image en te gourant pas sur le classique pb RGB/CMJN, ça ferait moins mal au yeux.
Et si tu avais lu la page d'avant, tu aurais vu qu'elle y était déjà postée...
Mais c'est gentil de penser à nous, reconnaissons-le.
nexus4 a écrit:thyuig a écrit:pierryves a écrit:le collector
Cette couv-ci me parle beaucoup plus !
Tendu la main gauche quand même. Elle fleurte avec le six doigts.
nexus4 a écrit:thyuig a écrit:pierryves a écrit:le collector
Cette couv-ci me parle beaucoup plus !
Tendu la main gauche quand même. Elle fleurte avec le six doigts.
biborax a écrit:
il y a surtout un problème de proportion, la main est deux fois trop grosse par rapport au bras. Il a les doigts aussi gros que le bras
Tireg a écrit:Tiens, et personne qui ironise sur le titre ?
Parce que je savais pas qu'une vipère avait des griffes !
Croaa a écrit:Tireg a écrit:Tiens, et personne qui ironise sur le titre ?
Parce que je savais pas qu'une vipère avait des griffes !
Les effets des OGM ne sont pas encore tous connus.
Oncle Hermes a écrit:Sauf que dans Vipère au poing ce n'est pas la vipère qui a un poing, mais celui qui la... enfin qui le... enfin qui les serre (la vipère, dans son poing), conjointement.
Après j'avoue que jusqu'à présent le titre ne m'avait pas du tout choqué, partant du principe que la Vipère devait être une organisation criminel et non un animal, et n'allant pas chercher plus loin... mais c'est vrai que maintenant que la remarque est faite... ça fait bizarre (Mais je me demande du coup dans quelle mesure ça ne serait pas un gag volontaire ?...)
On trouve beaucoup de titres de romans qui jouent sur des impossibilités manifestes.*Oncle Hermes a écrit:(Mais je me demande du coup dans quelle mesure ça ne serait pas un gag volontaire ?...)
Pour un roman contemporain dans le vent et dont le titre donnera forcément envie de l’ouvrir, tellement il sera original et incongru, c’est tout simple : accolez avec un complément du nom, donc, deux mots qui a priori n’ont rien à voir l’un avec l’autre. Si en plus ils sont provocateurs et incongrus, vous avez tout gagné. En sus, rajoutez un adjectif pour plus de décalage.
Exemple :
L’autopsie d’un kangourou suicidaire
Biographie de l’escalier à vis plate
Marivaudage des pots de confiture moisie
La manivelle du cul-de-jatte borgne.
gill a écrit:On trouve beaucoup de titres de romans qui jouent sur des impossibilités manifestes.Oncle Hermes a écrit:(Mais je me demande du coup dans quelle mesure ça ne serait pas un gag volontaire ?...)
...ce qui reste à prouver, d'ailleurs ! Car les vipères ont encore un moignon minuscule qui rappelle leur origine de lézards. Et il suffit d'un tout petit accident génétique pour qu'une patte réapparaisse. Comme ce qui est arrivé à ce serpent là.
Brian Addav a écrit:mais bon, si déjà tu mettais la bonne image en te gourant pas sur le classique pb RGB/CMJN, ça ferait moins mal au yeux.
Sillage a écrit:Brian Addav a écrit:mais bon, si déjà tu mettais la bonne image en te gourant pas sur le classique pb RGB/CMJN, ça ferait moins mal au yeux.
Ahahah j'adore les gens qui donnent des leçons et qui se plantent eux même sur les modes colorimétriques.
Pour info, c'est RVB / CMJN.
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