Malgré le smiley, je peux pas m'empêcher de répondre sérieusement : César !
Je ne dis pas qu'il faille atténuer systématiquement toutes les nuances de méchancetés ! Juste qu'il est bon que le récit s'appuie sur des éléments un minimum "réalistes". Qu'on puisse créer une histoire plausible autour de cette méchanceté, même la plus noire qui soit. Que ce ne soit pas un simple élément mécanique : il est méchant parce qu'il est né comme ça, parce qu'il en faut un pour contrer le héros, point. De simples "robots-méchants" impersonnels. Avec le rire obligé, la veulerie de ses sujets, la haine concentrée sur le seul héros, etc... Je zappe dès que je vois ce genre de clichés.c'est un peu le malaise actuel, de vouloir absolument humaniser tout le monde, rendre le blanc un peu moins blanc, et le noir un peu moins noir.
Je n'ai pas dit qu'il fallait excuser le méchant, juste qu'il faille donner une raison intéressante à sa monomanie.
Et puis j'y pense : Zantafio a fricoté avec la mafia russe (avec le succès qu'on connaît... auquel M&M ont donné une suite). Pourquoi ne se rachèterait-il pas auprès d'une autre mafia ? Italienne par exemple ? Avec un certain Don Vito Cortizone pourquoi pas ? :siffle:
Chiche !Et puis j'y pense : Zantafio a fricoté avec la mafia russe. Pourquoi ne se rachèterait-il pas auprès d'une autre mafia ? Italienne par exemple ? Avec un certain Don Vito Cortizone pourquoi pas ? :siffle:
Au passage, puisqu'on parle aussi des méchants, on en a oublié un qui aurait pu revenir plus d'une fois et qui est vraiment méchant : Cyanure !
...d'autant que la fin suggérait un possible rebondissement que j'ai été déçu de ne pas voir venir !pourquoi ce personnage n'a pas été réexploité ?
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