toque a écrit:La bonne question c'est : on fait quoi pendant un an ?
C'est qui, ce " on " qui aurait des leviers d'action ? Et pourquoi pendant 1 an et pas au delà ?
Les électeurs ? Macron ? Les différents partis ? Le conseil constitutionnel ...?
toque a écrit:La bonne question c'est : on fait quoi pendant un an ?
toque a écrit:choregraphe a écrit:Pour LFI, il leur reste un an pour faire la promotion de leur programme, juste leur programme et renvoyer aux oubliettes les socialistes version Macron
Il faut aussi qu'ils se remettent un peu en question sur la forme.
C'est pas gagné ...
rahoul a écrit:toque a écrit:La bonne question c'est : on fait quoi pendant un an ?
C'est qui, ce " on " qui aurait des leviers d'action ? Et pourquoi pendant 1 an et pas au delà ?
Les électeurs ? Macron ? Les différents partis ? Le conseil constitutionnel ...?
rahoul a écrit:Donc nommons clairement Macron pour le rappeler à ses responsabilités.
Qu'il nomme un premier ministre, ou relance un dialogue de manière constructive et claire pour fédérer, ou démissionne abdique.
toque a écrit:La conflictualisation de tous les sujets cela n'a aucun sens quand on est en position hégémonique. Et, excellente nouvelle, dans les idées la gauche est hégémonique aujourd'hui.
toque a écrit:Il ne peut rien nommer d'autre qu'un gouvernement technique. Tout premier ministre partisan sautera très rapidement. (minimum en octobre au budget)
Thierry_2 a écrit:en quelques mots, le figaro réussi le bingo parfait
chapeau !
le "bouté" qui renvoie à Jeanne d'Arc... on boute les gitanos hors de la [s]Gaule[/s]Baule
le vocabulaire guerrier: repoussé, envahisseurs... au secours
le devoiement sémantique: envahisseurs illégaux ? ce qui est illégal, c'est l'occupation non autorisée d'un terrain, mais accoler le "illégal" à "envahisseur" (raaah !!! le grand remplacement), c'est surfer sur la peur de l'immigration et des sans papiers... gros amalgame bien moisi. Mal nommer les choses sciemment, c'est mentir éhontément.
toque a écrit:LFI depuis 2017 c'est n'importe quoi sur la forme.
La conflictualisation de tous les sujets cela n'a aucun sens quand on est en position hégémonique. Et, excellente nouvelle, dans les idées la gauche est hégémonique aujourd'hui.
Toujours sur la forme, un peu d'ouverture, un peu de discussion en interne, ça va pas le tuer le vieux. Il a le droit d'écouter ceux qui ne sont pas d'accord avec lui au lieu de les Ostraciser.
Autre point, Les prises de parole complétement déplacé de papy zinzin ça suffit. La dernière en date (l'antisémitisme résiduel) est une honte absolue qui aurait mérité un recadre bien plus violent de toute les forces de gauche.
Et quand on dit une connerie (ça peut arriver), on a le droit de s'excuser.
Mais si tu préfères continuer d'aller dans le mur juste pour une question de forme au détriment des idées que tu défends, grand bien te fasse
Brian Addav a écrit:
C'est pas LFI qui "conflictualise" les sujets. Ce sont les médias. Hier, t'as quand même une grande experte de la vie politique française qu'a réussi à foutre Mélenchon dans les discussions sur la tentative d'assassinat de Trump.
Et si tu regardes avec du recul, LFI n'est pas dans le conflit. LFI refuse de hurler avec la meute, et ça ne plaît pas à la meute qui lui tombe dessus.
Brian Addav a écrit:
C'est pas LFI qui "conflictualise" les sujets. Ce sont les médias. H.
E.
nexus4 a écrit:Ils jouent permanence sur le signifiant et le signifié. Soit c'est volontaire, soit c'est psychiatrique.
"Marche vers Matignon", tout le monde entend "Marche sur Matignon" et ils le savent pertinemment. Surtout avec la réputation sulfureuse qu'ils se trainent et le précédent très très récent du Capitole. C'est inconcevable que Quatennens, intelligent comme il est, n'y ait pas pensé.
toque a écrit:Bien sur que LFI conflictualise tous les sujets, il le revendique ! C'est leur méthode. Ils l'ont théoriser et il la défende. Comment tu peux écrire que c'est n'est pas le cas ?
nexus4 a écrit:Il y a quand même une propension à avoir des mots malheureux, border-line.
Quand c'est si fréquent ca ne peut pas être par hasard. On alors c'est un inconscient collectif très orienté. Ils portent le flan en permanence à la polémique. Mon avis est que les mots sont choisis de manière, non pas à refleter leur pensée mais à présenter comme victimes d'un système :
- Ce n'est pas ce qu'on a dit !
- Peut-être, mais c'est ce que ca veut dire.
Ils jouent permanence sur le signifiant et le signifié. Soit c'est volontaire, soit c'est psychiatrique.
"Marche vers Matignon", tout le monde entend "Marche sur Matignon" et ils le savent pertinemment. Surtout avec la réputation sulfureuse qu'ils se trainent et le précédent très très récent du Capitole. C'est inconcevable que Quatennens, intelligent comme il est, n'y ait pas pensé. Et si il y a pensé il sait parfaitement que ca va faire les gorges chaudes de toutes les rédactions.
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