nexus4 a écrit:Les vols habités reprennent aux USA :
Thomas Pesquet a écrit:Le spectacle de l'année ce soir à 22h33 sur NASA TV : le premier lancement habité de SpaceX , et le retour des vols habités depuis Cap Canaveral !
Après report pour mauvaise météo, c'est pour ce soir à 21h30
Elon Musk, quel Titan. Il a une bonne étoile extraordinaire en plus d'avoir un génie certain. C'est l'Amérique incarnée. Rien que sa dernière rémunération...tout est de l'envergure d'un mythe.
Ceux qui ont investi l'été dernier sur Tesla sont des Bienheureux.
Joker je réponds, les intelligents aussi, les trolls ben en fait comment dire, allez sucer des courgettes. Fred Dewilde, auteur.
Probablement que certains connaissent l'histoire mais moi je l'ai découvert récemment Pas forcément fan de musique progressive, y'a quand même des trucs que j'aime et en particulier Echoes des Pink Floyd Et un pote me parle de cette musique de film qu'ils auraient fait pour 2001 l'odyssée de l'espace. L'histoire (désolé s'il y a des contre vérité) veut que Kubrick ait demandé aux Pink Floyd de composer une musique pour 2001 Refus de Waters et le film sort en 1968 Il dira plus tard que c'est un de ses plus grands regrets Mais en 1971 sort Meddle avec ce fameux morceau Echoes qui dure 23min34, exactement à la seconde près la durée de la dernière partie de 2001 Donc des mecs ont synchronisés la musique et le film et le résultat est incroyable. Impossible que se soit un hasard (c'est flagrant sur toute la partie instrumentale) Et le truc fou c'est qu'ils ne l'ont jamais confirmé ni infirmé Les mecs se sont fait une musique de film rien que pour eux
Et, toujours difficile, impossible à mon sens, pour les jeunes d’imaginer la claque monumentale que fut ce film pour ceux qui l’ont vu à cette époque. Ça fait loin mine de rien....
J'ai bien connu le peintre qui a inspiré Kubrick pour le monolithe noir du film, Georges Yatrides. Un homme étonnant, aussi visionnaire que Kubrick, mais sa toile à lui, c'était celle du peintre.
Et je confirme ce que dit Gaby, le film fut une grande claque à sa sortie, personne n'avait vu de tels effets au service d'une histoire universelle.
HOCHET Gabriel a écrit:Complètement dingue, en effet.....
Et, toujours difficile, impossible à mon sens, pour les jeunes d’imaginer la claque monumentale que fut ce film pour ceux qui l’ont vu à cette époque. Ça fait loin mine de rien....
La seule claque dont je me rappelle, c''est celle de l'ouvreuse du cinéma pour me réveiller...
Je n'aime pas Kubrick et j'ai détesté 2001...mais m'en fous, j'assume...
"Les cons, ça ose tout...c'est même à ça qu'on les reconnaît... (M.Audiard)
HOCHET Gabriel a écrit:Complètement dingue, en effet.....
Et, toujours difficile, impossible à mon sens, pour les jeunes d’imaginer la claque monumentale que fut ce film pour ceux qui l’ont vu à cette époque. Ça fait loin mine de rien....
La seule claque dont je me rappelle, c''est celle de l'ouvreuse du cinéma pour me réveiller...
Je n'aime pas Kubrick et j'ai détesté 2001...mais m'en fous, j'assume...
Pourtant il a touché à tout, c'est juste que chacun de ses films est une redéfinition du genre
"Se vogliamo che tutto rimanga come è, bisogna che tutto cambi".
HOCHET Gabriel a écrit:Complètement dingue, en effet.....
Et, toujours difficile, impossible à mon sens, pour les jeunes d’imaginer la claque monumentale que fut ce film pour ceux qui l’ont vu à cette époque. Ça fait loin mine de rien....
La seule claque dont je me rappelle, c''est celle de l'ouvreuse du cinéma pour me réveiller...
Je n'aime pas Kubrick et j'ai détesté 2001...mais m'en fous, j'assume...
Et ben moi c'est Pink Floyd que je ne peux pas supporter, donc bien content qu'ils n'aient jamais pu souiller le film. Bon, je n'y ai jamais rien compris mais rien que pour le fait que ce soit l'un des rares space operas (le seul?) qui respecte un maximum les règles de l'astrophysique... Par exemple, pas de vaisseaux passant en rugissant avec des réacteurs incandescents (ça passe pour pour Star Wars mais là ça aurait fait tache ).
nexus4 a écrit:Les vols habités reprennent aux USA :
Thomas Pesquet a écrit:Le spectacle de l'année ce soir à 22h33 sur NASA TV : le premier lancement habité de SpaceX , et le retour des vols habités depuis Cap Canaveral !
Après report pour mauvaise météo, c'est pour ce soir à 21h30
et ce sera ici :
Il faut préciser que le live continue.
Joker je réponds, les intelligents aussi, les trolls ben en fait comment dire, allez sucer des courgettes. Fred Dewilde, auteur.
Brian Addav a écrit:On croirait entendre un gars qui sort de la Femis
D'un autre coté c'est pas faux.
Vraie ou fausse l'anecdote donne un autre aspect au film. Je ne me serais peut-être pas endormi à l'époque (je l'ai vu en 84). Mais même là, c'est lonnng. Cependant j'ai redécouvert la s&séquence avec bonheur et au lieu de penser à Clarke j'ai pensé à Van Vogt. Chépa pourquoi.
fanche a écrit:Bon, je n'y ai jamais rien compris mais rien que pour le fait que ce soit l'un des rares space operas (le seul?) qui respecte un maximum les règles de l'astrophysique...
Sauf que ce n'est justement pas du space opera. C'est plutôt un mélange d'Anticipation et de Hard Science.
Brian Addav a écrit:On croirait entendre un gars qui sort de la Femis
D'un autre coté c'est pas faux.
Faut arrêter avec Kubrick... Le gars c'est le Madonna du cinéma, dès qu'il y a une avancée technique, il la prend en avant-première pour faire croire que c'est un génie (et que je te force le trait pour bien pousser au crime )
Le Complot a écrit:Personne n’avait fait un film historique comme ça avant Barry Lindon.. Ni une dystopie comme Orange, ni un film d’horreur comme Shining etc...
Ben oui peut-être mais Barry Lindon m'a fait ch..., Orange mécanique était original mais complètement barré et j'ai détesté Shining, même Nicholson m'a déplu...il surjoue un peu trop...
"Les cons, ça ose tout...c'est même à ça qu'on les reconnaît... (M.Audiard)
Morti, tu me fais penser à un ami qui n'aimait pas...Hergé.
On lui tombait dessus à chaque réunion, on le traînait dans la boue, mais il résistait "J'aime pö" répétait-t-il en boucle. En fait, c'était un prétexte pour rigoler, et ça loupait jamais
Kubrick, Polanski et Leone, reste mon trio majeur des sixties/seventees, (voir eigthies)