zourbi le grec a écrit:+1
Moi, c'est pareil. Le printemps et l'été, c'est le sport et les activités de plein air et lorsqu'il ne fait plus beau, je passe à la bd
xof 24 a écrit:Il faut arrêter de taper sur les éditeurs.Ils sont la pour gagner du fric et payer leurs auteurs.
Le problème c'est que les libraires ne peuvent pas se permettre de garder "en bonne place" des albums pendant longtemps. Il faut faire tourner pour laisser la place aux nouveautés. Et ce qui n'est pas vendu rapidement coute cher en tant que stock. Donc c'est retourné à l'éditeur. Le problème à mon avis ne vient pas du fait que les sorties ne sont pas équilibrées toute l'année mais qu'il y en a beaucoup trop ! Du coup comme tout le monde veut mettre le maximum de chances de son coté en sortant son album en fin d'année et bien on se retrouve avec des milliers de sorties sur 3 mois ! Et le bon album qui sera sorti pendant l'été ne sera plus vendu à l'automne car il sera "invisible" dans des rayonnages non exposés au grand public. Donc il sort en même temps que les autres pour être mis en avant !Lelf a écrit:Mais est-ce que les éditeurs perdraient beaucoup à sortir les trucs un peu plus tôt, pour qu'ils vivent leur vie auprès des fondus avant d'avoir leur temps auprès du public pour les fêtes ?
LEAUTAUD a écrit:La fin d'année est traditionnellement chargé en nouveautés , faut gérer !
Mais si tu veux vraiment avoir le vertige c'est à Angoulème qu'il faut aller , la plus grande foire à la bande dessinée du MONDE !!
Il m'est arrivé d'éprouver un grand sentiment de solitude et d'impuissance face à ces montagnes d'albums...vite surmonté puisqu'à Angoulème il y a aussi le plus grand nombre d'expositions de bande dessinée au MONDE , et la possibilité de rencontrer le plus grand nombre d'auteurs au MONDE !!
yodada a écrit:Je n'aime pas trop les fêtes de fin d'années, c'est quand une période où les dérives commerciales sont nombreuses ! J'aimerai que ça passe vite fait !
Jarnicoton a écrit:C'est certainement de l'apriori mais moi je n'y suis jamais allé et cela ne me tente pas, mais alors pas du tout !
Ce me donne effectivement vraiment l'image d'une industrie de la dédicasse, d'une usine à BD, d'un evenement commercial.....
C'est certainement faux mais c'est l'image que j'en ai.
nexus4 a écrit:Houla ! Pour un fan de BD, passer directement de novembre à Angouleme, je suis pas sur que son portefeuille en sorte vivant.
Parceque vous chouinez octobre novembre... Mais attendez le 15 janvier.
fleur a écrit:xof 24 a écrit:Il faut arrêter de taper sur les éditeurs.Ils sont la pour gagner du fric et payer leurs auteurs.
Je ne fais pas que taper et je leur reconnais leurs qualités.
Et je sais que je n'ai aucun sens commercial mais on peut causer tout de même!
C'est juste que j'ai rarement vu une période où il y avait autant de sorties qui auraient leur place dans ma bibliothèque!
C'est peut-être bon signe puisque je considère que ce que j'achète est bon
Ce qui ne veut pas dire que ce que je n'achète pas est mauvais...
Avez-vous mis de l'argent de côté pendant l'année ?
Tant mieux ! Parce que si les six derniers mois ont
été plutôt maigres en chefs d'oeuvre, les mois de
novembre à janvier connaissent une avalanche de sorties,
dont beaucoup sont de qualité, ou en tout cas sont à
remarquer. Et il est déjà prévu que ce soit pareil en 2010.
ZOO déplore cet état de fait. Car si les grosses locomotives
que sont Astérix, Blake & Mortimer, XIII Mystery et
consorts tireront probablement leur épingle du jeu, quantité
d'autres passeront inaperçus ou ne parviendront pas à
rentrer dans le budget des lecteurs (ni dans les pages de
ZOO). On pourrait croire qu'il s'agit du hasard du calendrier
et que les auteurs profitent de l'été pour terminer
leurs dessins, "libérant" ainsi à la rentrée une flopée d'albums.
Mais les éditeurs sont principalement responsables.
(" On n'a qu'à s'en prendre à nous-mêmes ', disait l'un d'entre
eux). Pourquoi persister dans cette politique éditoriale ?
Apparemment, les gens ne liraient pas ou moins de BD
entre février et septembre. Noël est la période propice.
Souffrant du même travers, mais avec une saisonnalité
différente, l'industrie du cinéma a, pour sa part, compris
depuis quelques années qu'il y avait un intérêt à échelonner
davantage ses sorties. Un exemple à suivre.
OLIVIER THIERRY
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