ubr84 a écrit:
J'en fais que comme souvent c'est un argument qui titille la fibre sensible et qui est majoritairement faux.
D'abord cet article étend aux « locaux professionnel, commercial, agricole ou industriel » et par ailleurs le squat de logement est assez faible. Je cite la fondation abbé Pierre qui connait bien mieux le sujet que moi (excusez moi de me renseigner )Manuel Domergue a écrit: « L’ordre de grandeur [du squat dans des domicile] est faible, le squat se fait dans des locaux vides, ce qui ne lèse personne. En réalité, les personnes squattent des friches industrielles, des hangars, des bureaux vides. Pour nous, les squatteurs sont légitimes dans le cadre du droit au logement, n’importe qui ferait ça pour y dormir et y habiter, il y a un état de nécessité. Plutôt que de sanctionner, l’État devrait s’excuser. »
J'ai plutôt tendance à penser que les gens qui dorment dans la rue sont plus victimes que ceux à qui appartiennent des bureaux vides et des friches industrielles. Mais chacun son idéologie
Chacun son idéologie effectivement, mais ça va être compliqué à expliquer aux personnes qui voit leur logement squatté. Même si c’est minime, des personnes se voient bien déposséder de leur logement, de leur bien, sans pouvoir faire grand-chose….