Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses.
Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses.
Brian Addav a écrit:
Bref, c'est un point de vue qui est acceptable, et qui peut être rassurant.
On peut se dire que 180 000 morts pour un aussi grand pays que l'Inde, c'est pas grand chose. Que de toute façon c'est des pouilleux et que par rapport à la société là-bas, où les vies ne comptent pas, c'est un détail.
Ou on peut se demander comment un si grand pays qui a su contenir la pandémie, car finalement ayant eu peu de morts et de contaminés Covid par rapport à sa population, d'un coup se prend un mur, pas important en absolu, qui n'est pas biaisé par l'échelle, mais qui est un mur anormal par rapport à la situation qui valait jusque là.
Et lire ce que les médecins là-bas en disent. Non pas pour être alarmiste, mais pour ne se voiler la face.
Et lire que ce variant ne répond pas aux tests PCRs, et qu'il incube plus longtemps.
Et s'il se pointe en France, que va-t-il se passer ?
pirotin a écrit:
LEAUTAUD a écrit:Stats de ce lundi ...je reste optimiste
Mirdhynn a écrit:Merci
Au passage : Il n'y a que moi qui bloque un peu en trouvant ça dans la liste des membres du conseil scientifique ?
Laetitia Atlani-Duault, Anthropologue
Marie-Aleth Grard, Milieu associatif
Aymeril Hoang, Spécialiste des nouvelles technologies
Manu85 a écrit:Je ne pense pas que tout le monde ai son avis à donner sur tout.
Chacun intervient suivant son domaine de compétence
La résidente du quartier pauvre de La Mosson, où 58% des 22.000 habitants vivent sous le seuil de pauvreté, au nord-ouest de la capitale de l'Hérault, a voulu alerter Emmanuel Macron sur le manque de mixité dans les quartiers défavorisés. «Les gens ne mettent plus les enfants dans le même quartier, ce qui est vraiment dommage», a continué la membre du conseil de quartier.
La mère de famille a également raconté avoir mis sa fille dans un collège privé, plus loin de chez elle, pour qu'elle y retrouve la mixité «de l'école de la République qu'elle a connu dans son enfance». Le chef de l'État en a haussé les sourcils d'étonnement.
Olaf Le Bou a écrit:La résidente du quartier pauvre de La Mosson, où 58% des 22.000 habitants vivent sous le seuil de pauvreté, au nord-ouest de la capitale de l'Hérault, a voulu alerter Emmanuel Macron sur le manque de mixité dans les quartiers défavorisés. «Les gens ne mettent plus les enfants dans le même quartier, ce qui est vraiment dommage», a continué la membre du conseil de quartier.
La mère de famille a également raconté avoir mis sa fille dans un collège privé, plus loin de chez elle, pour qu'elle y retrouve la mixité «de l'école de la République qu'elle a connu dans son enfance». Le chef de l'État en a haussé les sourcils d'étonnement.
si cet étonnement est feint, c'est assez moche, mais s'il est réel c'est dramatique.
Olaf Le Bou a écrit:La résidente du quartier pauvre de La Mosson, où 58% des 22.000 habitants vivent sous le seuil de pauvreté, au nord-ouest de la capitale de l'Hérault, a voulu alerter Emmanuel Macron sur le manque de mixité dans les quartiers défavorisés. «Les gens ne mettent plus les enfants dans le même quartier, ce qui est vraiment dommage», a continué la membre du conseil de quartier.
La mère de famille a également raconté avoir mis sa fille dans un collège privé, plus loin de chez elle, pour qu'elle y retrouve la mixité «de l'école de la République qu'elle a connu dans son enfance». Le chef de l'État en a haussé les sourcils d'étonnement.
si cet étonnement est feint, c'est assez moche, mais s'il est réel c'est dramatique.
Anianka a écrit:Olaf Le Bou a écrit:La résidente du quartier pauvre de La Mosson, où 58% des 22.000 habitants vivent sous le seuil de pauvreté, au nord-ouest de la capitale de l'Hérault, a voulu alerter Emmanuel Macron sur le manque de mixité dans les quartiers défavorisés. «Les gens ne mettent plus les enfants dans le même quartier, ce qui est vraiment dommage», a continué la membre du conseil de quartier.
La mère de famille a également raconté avoir mis sa fille dans un collège privé, plus loin de chez elle, pour qu'elle y retrouve la mixité «de l'école de la République qu'elle a connu dans son enfance». Le chef de l'État en a haussé les sourcils d'étonnement.
si cet étonnement est feint, c'est assez moche, mais s'il est réel c'est dramatique.
je pense que c est- surtout que le haussement de sourcil c'est pour dire" ouai et alors ?"
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