Message précédent :A propos du phénomène "plus de héros=plus de série", je vais citer un exemple amusant (mais pas tiré de la BD): Conan Doyle, ayant marre de Sherlock Holmes, l'a tué à la fin d'une nouvelle (je crois), pour pouvoir passer à autre chose. Mais les protestations de ses lecteurs (sa mère y compris) l'ont obligé à le faire revivre, d'abord sous la forme de souvenirs du docteur Watson, puis en le ressussitant carrement (son corps avait disparu, en fait, il n'était pas vraiment mort, seulement blessé, et il a fait croire à sa mort...)
En BD, il me semble que Superman a eu droit à un coup similaire (le comic racontant la mort de Superman était vendu avec un foulard noir, mais en fait, le cercueil était vide, un truc dans ce gout là...)
Pour ma part, la mort d'un personnage auquel je suis attaché m'affecterait enormément (je suis une nature sensible...
). Je n'aime pas (en général) les histoires que ne se finissent pas en happy end, ni les histoires trop réalistes...
"Vous ne vous êtes pas demandé si le Temps n'était pas tout bonnement l'Espace qui aurait pivoté de quatre-vingt-dix degrés ?" (L'Econome de l'Université de l'Invisible d'Ankh-Morpork)