Aristochats
Le jeu de mots du titre n'a plus aucun sens en français. Quand j'étais gamin, je me suis longtemps demandé d'où ce titre sortait. Puis j'ai appris l'anglais.
Aristochats
lutindesbois a écrit:Pour apporter une note un peu souriante à ce topic, voici ce qui arrive à mon chat.
Tu te souviens, il faisait partie d'une fratrie de deux chatons sacrés de Birmanie que j'avais trouvés abandonnés en forêt. Sa sœur est morte au printemps.
Missu, le mâle donc, avait une drôle d'attitude face à la notion de câlins : très bavard, sollicitant, se frottant, dès que la main devenait caressante, il cambrait le dos jusqu'à ramper pour éviter la caresse, comme si ma main et son dot étaient deux aimants présentés par leurs mêmes polarités qui se repoussent. (ce qui posaient problème pour le brossage, avec les conséquences sur les nœuds de poils feutrés ) et sur l'enlèvement des tiques.
Jusqu'à mes vacances!
Je suis parti trois semaines, et depuis mon retour, Monsieur est terriblement câlin et pot de colle, et se laisse caresser pendant des heures, et je peux passer du temps à le brosser sans qu'il ne rechigne!
Brian Addav a écrit:Je le savais que c'était un mythe le coup de manger des chats... je le savais...
LeJoker a écrit:Je partage ici, parce que cela peut faire ouvrir les yeux sur l'intelligence animale.
En campagne, un chemin creux, au bas donc d'un terrain pentu, placé plus haut sur le sommet d'un talus abrupt planté sur sa rive d'arbres à distances régulières. Sur le terrain, près du bord, la chèvre du voisin, mangeant tranquillement, et scrutant les gens qui longent son domaine comme d'autres dévisagent tous ceux qui passent sous leur fenêtre dans la rue du bourg.
Je ne sais pas pourquoi, alors que je la connais depuis une dizaine d'années, me vient l'idée de la surprendre comme un enfant avec qui on ferait un cache-cache:
je marche d'abord tranquillement, elle me regarde d'un peu plus loin que le bord du talus, et au moment où elle me perd de vue, c'est-à-dire au moment ou je passe derrière le tronc de l'arbre, je m'accroupis en un éclair.
Et bien.
La chèvre a tilté que les choses qui vont sur le chemin normalement ne font que passer derrière l'arbre avant de réapparaître de l'autre côté du tronc, qu'il serait bizarre que je me sois donc évaporé. Elle s'est donc pointée sur le bord du talus, à côté de l'arbre, le cou tendu et la tête de biais pour en avoir le coeur net sur cette drôle d'histoire de bipède disparu.
Je ne pensais pas une chèvre capable de tenir autant de raisonnements.
Je ne sais pas si elle y a trouvé un amusement, mais j'ai répété le jeu plusieurs fois, et elle venait, avant de sauter en arrière en attendant que je recommence.
lutindesbois a écrit:Le Joker, tu devrais faire attention avant de poster ce genre d'histoires : on pourrait s'attacher...
nexus4 a écrit:Quelle espèce ça peut bien être ?
lutindesbois a écrit:Pour apporter une note un peu souriante à ce topic, voici ce qui arrive à mon chat.
Tu te souviens, il faisait partie d'une fratrie de deux chatons sacrés de Birmanie que j'avais trouvés abandonnés en forêt. Sa sœur est morte au printemps.
Missu, le mâle donc, avait une drôle d'attitude face à la notion de câlins : très bavard, sollicitant, se frottant, dès que la main devenait caressante, il cambrait le dos jusqu'à ramper pour éviter la caresse, comme si ma main et son dot étaient deux aimants présentés par leurs mêmes polarités qui se repoussent. (ce qui posaient problème pour le brossage, avec les conséquences sur les nœuds de poils feutrés ) et sur l'enlèvement des tiques.
Jusqu'à mes vacances!
Je suis parti trois semaines, et depuis mon retour, Monsieur est terriblement câlin et pot de colle, et se laisse caresser pendant des heures, et je peux passer du temps à le brosser sans qu'il ne rechigne!
fancomvous a écrit:Cela peut marcher aussi avec sa gonzesse, pour info.
Ou pas.
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