Tiens pendant que t'es là bookerstreet, t'as pas une idée pour [spoiler]la page 19, 2ième strip, 3ième case par hasard, la neige transformée en bulles [/spoiler]Aujourd'hui je pèse 685 kilo...Ben ,ça me parait pourtant clair,il met en route une annonce pré-enregistrée sur la future representation musicale de Clock.
Ben d'abord la page 19, 2ième strip, 3ième case , je dois avouer que chez moi je n'ai que deux cases sur le second strip, sinon les bulles j'associe cela à un tour de passe passe poetique avec une touche de merveilleux, enfin c'est comme cela que je l'ai ressenti
Erf, on a failli attendre...Et c'est encore Bookerstreet qui gagne une tringle à rideau...
Encore un album que je découvre sur le tard (because je commence à entamer mes 2 mètres de BD en instance de lecture)...
Le sourire du clown est tout simplement magnifique. Rempli de sensibilité, de délicatesse, de poésie, de ce quelque chose qu'on a du mal à mettre sur les BD en ce moment.
Que je vous dise quand même... Cette nuit je me couche, normal, vers 23h30... et je me réveille comme ça à 1h du mat, sais pas pourquoi, sympa. Je me remue dans mon lit, je suis super fatigué mais j'arrive pas à me rendormir... ça fait super chier. Alors dans mon angoisse insomniaque je me dis "tiens, et si tu t'endormais les yeux avec une BD que tu finiras même pas parcequ'en fait t'es super HS ?"... Allé hop, je prends dans le tas... Je lis le titre, le sourire du clown... OK c'est parti... Je lis, je lis, je lis, je lis et je m'endors pas.
Chapeau à Luc, que je connais encore très peu comme scénariste.
Première constation : cette histoire, on accroche direct, on a envie de découvrir la fin et de ne pas s'endormir avant (super bon point ! )
Deuxième constation : même si y'a un mec qui tire la gueule sur la couv, ça veut pas dire que c'est ennuyant.
Troisième constation : quand on a lu la fin, même si c'était pour s'endormir, on n'arrive toujours pas à trouver le sommeil parceque ça sucite plein de question qu'on rumine encore au petit matin. Bravo, me suis rendormi à 5h30 du matin avec ces conneries. Ca par contre c'est pas très très gentil de la part des auteurs
Quatrième constation : Le lendemain tellement on a la tete dans le falzard on arrive plus à écrire correctement CONSTATATION.
Cinquième constatation : ça donne envie de découvrir encore d'autres BD des auteurs (Le Pouvoir des Innocents, dont j'ai beaucoup entendu parler mais pas encore découvert)
Bref, que du bon ! Merci encore une fois aux auteurs de m'avoir procuré autant de plaisir, en ces heures où BD égale souvent à prolifération de n'importe quoi... ça fait un bien fou de relire des choses simples, sans fioritures, et qui traitent d'un véritable sujet. On sent que le projet émane de vos étrailles et qu'il a été muuuuurement réfléchi. C'est super beau et ça met du baume au coeur
Bah de rien ms'ieur (j'ai été bien élevé )
Sinon vous en avez peut etre déjà maintes fois parlé et ça vous casse les bonbons de revenir dessus à chaque nouvel arrivant, mais voilà je vais pas me taper les 10 pages du topic ! Donc dans ma lecture à 4h du mat j'ai quand meme remarqué un ptit truc con qui collait pas : on plante le décor en 94 quand Michel se fait buter, et puis quand son acolyte va sur sa tombe, on y lit que l'année de sa mort est 89...
Deux solutions :
Ou Michel a réscucité en 89 pour s'en venir mourir 5 ans plus tard.
Ou Luc s'est planté à sa relecture.
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