eBry a écrit:Il était déjà fou de prétendre ça il y a huit ans vu que ce sont les actifs qui doivent payer les pensionnés...
"Il faut désormais accepter un taux de croissance faible." Tel est le leitmotiv de Stephen King. "On ne s'est jamais posé la question de savoir si le niveau de l'activité pouvait satisfaire les pressions causées par le vieillissement de la population ou par le coût de l'innovation médicale."
Aujourd'hui, la génération des baby-boomers met la pression sur les jeunes, comme en témoignent la hausse des impôts ou la montée de l'endettement des étudiants. Les décisions sont de plus en plus influencées par la génération Mai 68, à l'exemple des politiques en matière de santé ou de retraite qui leur sont favorables.
Philemon a écrit:Je viens de lire une tribune dans les Echos, assez originale, qui propose de supprimer l'IR !
Assez surprenant, mais la démonstration de l'intérêt d'une telle approche était assez intéressante: coup de booster immédiat pour l'économie, pour un coût final pas si élevé (on perd sur un impôt au rendement très mauvais, et on récupère sur l'activité induite, l'emploi, la TVA...).
Bref, un coup d'électrochoc préférable au train habituel de mesurettes aux effets discutables.
Bon, on peut toujours rêver !
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