ca y est, je l'ai lu ce troisieme 32 ( donc pages 65 a 96) et vraiment, c dommage que le principe de 32 pages tous les 3-4-5 mois n'ait pas marche car maintenant, il va falloir attendre un an avant de connaitre la suite.....
et ca va pas etre facile, car dans le troisieme episode, on a a droit a pas mal d'explication sur les phenomenes paraprychiques qui entourent margaret( et encore mieux, on les comprend ces explications, ca pas du etre facile de rediger ca pour que ce soit clair et facilement comprehensible
).
Donc on comence a comprendre un peu mieux ce qui se passe avec margaret, qui est lucie, ce qu'est la chambre verte que l'on voit chaque fois en debut et fin d'album, bref, on avance bien bien dans ce troisieme episode. 1 an a attendre, ca va pas etre facile...
cote scenar, outre la prouesse d'expliquer avec des mots comprenhensible les phenomenes paraprychiques , on est balancé entre les differents protagonistes, chaque fois des scenes de 2-3-4 pages max, ce qui donne du rythme au recit.
Une autre chose appreciable, c'est que deja quelques scenes mysterieuses du premier album ( notamment la fille aux cheveux bruns qui etrangle un homme dans la chambre verte en debut d'akbum) sont "expliquees", ce qui accentue ce sentiment de "on avance dans le recit". On resout deja des enigmes, le lecteur est pas submerge par 1000 intrigues differentes( meme si on est loin d'avoir tout resolu, au moins, on avance sur une piste)
cote dessin, je suis toujours fan, surtout de la mise en page de certaine scene ( fin de la page 78), de certain gros plans et aussi des pages 87 et 88
).
bon, ben en gros, je suis toujours enthousiasmé par le Monde de Lucie, tellement que je voudrais bein qd mme trouver une petite remarque negative, histoire de pas faire celui qui n'a aucun sens critique. Je relis attentivement le troisieme tome ce soir, et je vous donne un point mois bon demain, promis ( enfin, si je trouve)
Petite note finale, le titre de l'integrale " Et pourquoi pas l'enfer"
il accroche super bien
"Le problème quand on a perdu ses lunettes c'est que l'on est obligé de les retrouver pour pouvoir les chercher." Gustave Parking