La dernière reine - Rochette - Casterman

[Karzak]

LA PREVIEW !



Le nouveau récit alpin de Jean-Marc Rochette, un chef d'oeuvre !
Gueule cassée de 14, Édouard Roux trouve refuge dans l'atelier de la sculptrice animalière Jeanne Sauvage. Elle lui redonne un visage et l'introduit dans le milieu des artistes de Montmartre. En échange, Édouard lui fait découvrir la majesté du plateau du Vercors et l'histoire du dernier ours qu'il a vu tué quand il était enfant. Au cœur du Cirque d'Archiane, il lui dévoile la Dernière Reine et incite Jeanne a créer le chef d’œuvre qui la fera reconnaître.
Dans la veine des grands romans feuilletons du 19e, La Dernière Reine croise les destins du dernier ours du Vercors et d’Édouard Roux gueule cassée de 14.
Comme précédemment dans Le Loup, homme et animal se confrontent dans un récit puissant, mêlant questionnements écologiques, féminisme, histoire d'amour et histoire de l'art.

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Le prochain Rochette mérite bien son petit topic à lui, non ?



Ca s'appelle donc La dernière reine, c'est un peu le troisième volet de la "trilogie alpine" de Rochette, après Ailefroide et Le Loup (deux bijoux, amha).

Le pitch éditeur :

Gueule cassée de 14, Édouard Roux trouve refuge dans l'atelier de la sculptrice animalière Jeanne Sauvage. Elle lui redonne un visage et l'introduit dans le milieu des artistes de Montmartre. En échange, Édouard lui fait découvrir la majesté du plateau du Vercors et l'histoire du dernier ours qu'il a vu tué quand il était enfant. Au cœur du Cirque d'Archiane, il lui dévoile la Dernière Reine et incite Jeanne a créer le chef d’œuvre qui la fera reconnaître.
Dans la veine des grands romans feuilletons du 19e, La Dernière Reine croise les destins du dernier ours du Vercors et d’Édouard Roux gueule cassée de 14.
Comme précédemment dans Le Loup, homme et animal se confrontent dans un récit puissant, mêlant questionnements écologiques, féminisme, histoire d'amour et histoire de l'art.

Une double planche postée par Rochette sur facebook :



Et une petite vidéo de présentation par l'éditeur.

Depuis plusieurs mois l'auteur en donne quelques aperçus par-ci par-là sur facebook, si vous êtes curieux allez regarder. A noter que c'est la première BD où il s'est mis à la tablette pour les couleurs et propose donc une mise en couleur entièrement numérique.

Sortie le 5 octobre chez Casterman - 240 pages - 30 €
(et il y aura une version grand format comme sur Le Loup)

[DimVanJack]

Magnifique. La couverture est superbe et les planches sont incroyables.
J'en serai avec plaisir.
Merci pour la découverte.

[Karzak]

Confirmation d'un tirage grand format, n&b cette fois :

[DixSept]

[ubr84]

A désespérer que l'été traine encore !

Vivement cet automne

[Gaston68]

Drapeau !

[bone]

A désespérer que l'été traine encore !

Vivement cet automne

[Karzak]

Fiche BEL :

[nineinchrem]

Sublime comme d'habitude.
Vivement les dédicaces

[kilfou]

L'office est arrivé en avance, donc lu !

Du grand Rochette, beau et dur à la fois.
Si vous avez aimé Ailefroide et le Loup, aucune chance pour que ça ne vous plaise pas !

[fanche]

Du grand Rochette, beau et dur à la fois.

Pas lu ailefroide, mais si c'est du même acabit que le loup ça risque de m'énerver et donc m'interresser paradoxalement.

[Karzak]

Si vous avez aimé Ailefroide et le Loup, aucune chance pour que ça ne vous plaise pas !

Aaaaah ! Voilà qui est agréable à lire.

[ubr84]

Du grand Rochette, beau et dur à la fois.

Pas lu ailefroide, mais si c'est du même acabit que le loup ça risque de m'énerver et donc m'interresser paradoxalement.

Ailefroide et le loup sont assez différents.

Le premier est auto-biographique sur le milieu de l'alpinisme. Un ton presque documentaire.
La loupe est une fable.

Et les deux sont magnifiques graphiquement.

J'ai hâte de voir dans quelle veine s'inscrit cette dernière reine

[heliogabalus]

Pardon mais je ne vois pas en quoi cela, au final, en fait des livres assez différents.
Le traitement graphique et la narration sont similaires.
Si Le Loup n'est pas autobiographique il est basé sur des faits réels, et Rochette y a mis beaucoup de lui (cf. Vertiges chez Daniel Maghen)
Vous avez peut-être lu Ailefroide comme une autobiographie parce que vous saviez que c'en était une, je ne pense pas que quelqu'un qui n'a jamais entendu parlé de Rochette puisse faire la différence entre les deux bouquins.

[ubr84]

Pardon mais je ne vois pas en quoi cela, au final, en fait des livres assez différents.
Le traitement graphique et la narration sont similaires.
Si Le Loup n'est pas autobiographique il est basé sur des faits réels, et Rochette y a mis beaucoup de lui (cf. Vertiges chez Daniel Maghen)
Vous avez peut-être lu Ailefroide comme une autobiographie parce que vous saviez que c'en était une, je ne pense pas que quelqu'un qui n'a jamais entendu parlé de Rochette puisse faire la différence entre les deux bouquins.

Je ne comprends pas trop ton commentaire.

Le loup se termine avec quasiment du fantastique, 96 planches qui racontent un tête à tête entre un homme et un loup. Quasiment aucun personnages secondaires. Je ne doute pas que Rochette puise dans sa vie et sa connaissance de la montagne pour l'écrire, tout est peut être vrai, mais c'est écrit comme une fable.

Ailfroide c'est l'histoire d'un garçon qui s'appelle Jean-Marc et devient dessinateur, il y a assez peu de suspense sur l'aspect auto-biographique, il croise même des personnalités du monde de l'alpinisme qui sont nommées. De mémoire l'ouvrage se conclue même pas une série de photos en postface (mais à vérifier). 290 planches avec une multitudes de personnages, de situations, une évolution très marquée du personnage principal. Il est évident que Rochette raconte sa vie, même si elle est en partie romancée et que le livre n'a pas valeur documentaire, c'est bien écrit comme un récit initiatique / auto-biographique.

Si tu veux je peux dire : j'ai ressenti une très grande différence à la lecture de ses deux livres

En tout cas j'espère que La dernière Reine me procurera encore autant de plaisir, et d'autant mieux si c'est d'une nouvelle manière.

[heliogabalus]

Qu'à la fin de la lecture on se dise : "Ah ouais c'est autobiographique en fait", là d'accord.
Mais sinon avant lecture il faut savoir qu'il s'appelle Jean Marc (j'avais oublié personnellement), qu'il faisait de l'alpinisme auparavant (je n'en savais rien) et les photos en fin d'ouvrage, biin elles sont en fin d'ouvrage, donc après lecture.
À vrai dire à la lecture du livre je pensais qu'il s'était mis en scène dans une fiction, comme il l'avait fait pour un personnage du Transperceneige (où il y a beaucoup de montagnes aussi).

Quant aux personnalités du monde de l'alpinisme elles me sont aussi familières que celle de la gymnastique rythmique, du water-polo ou du sport hippique.

'fin bon, nous n'avons pas le même ressenti de ces ouvrages, peu importe. Je les vois plutôt comme différents chapitres, pas comme deux livres distincts.

[Nirm]

Pour le côté autobiographique de Ailefroide, on l'écrit dans le premier post du sujet consacré à ce titre et c'est la première phrase de l'éditeur sur la page du bouquin.
Donc même avant la lecture on peut le savoir.

[fanche]

L'ours n'est pas autobiographique, Rassurez moi.

[heliogabalus]

Pour le côté autobiographique de Ailefroide, on l'écrit dans le premier post du sujet consacré à ce titre et c'est la première phrase de l'éditeur sur la page du bouquin.
Donc même avant la lecture on peut le savoir.

C'est vrai, j'avais oublié que tous ses lecteurs fréquentent BdGest' et qu'il rafraichissent la page Casterman plusieurs fois par jour.
Je ne sais pas quelles sont les habitudes des lecteurs de maintenant mais pour moi ou la plupart des gens que je fréquente on n'est pas trop fans (voire pas du tout) des previews, résumés et tout le tintamarre qui parasitent le plaisir de la découverte.
Après le risque est évidemment d'acheter pas mal de bouquins complètement nazes (j'en ai plein).

[Solomon]

Fantastique.

Donc, d’après ce que vous écrivez, les autobiographies n’existent pas (en BD, en littérature...), puisque personne n’est tenu de savoir que celui qui écrit/dessine est en train de raconter sa vraie vie.

Persepolis ? Un fantasy. L’ascension du haut mal ? Pire encore. L’arabe du futur ? On n’en parle même pas.

Franchement, c’est un discours tellement stupide qu’il me semble qu’il n’est fait que pour rechercher la polémique.