nexus4 a écrit:Il faut demander aux experts pour Théa Rojzman. Y a du potentiel à Tranxène aussi.
Mais méfiance, je crois que de le dernier, on rit.
edgarmint a écrit:Autre adepte de la gaudriole...
Étrange abandon qui fait écho à celui, bien des années auparavant, des trois garçons condamnés à survivre de menus larcins dans un camp de réfugiés, attendant le retour du père, exilé, parti chercher du travail. Le jour, les jeunes malfrats pillent les réserves des plus riches, le soir, ils redeviennent des enfants pleurant sur leur mère restée au pays et sur leur père qui les a abandonnés.
Comment mourir ? Nous vivons dans un monde que la question effraie et qui s'en détourne. Des civilisations, avant nous, regardaient la mort en face. Elles dessinaient pour la communauté et pour chacun le chemin du passage. Elles donnaient à l'achèvement de la destinée sa richesse et son sens. Jamais peut-être le rapport à la mort n'a été si pauvre qu'en ces temps de sécheresse spirituelle où les hommes, pressés d'exister, paraissent éluder le mystère (...).
Ce livre est une leçon de vie. La lumière qu'il dispense est plus intense que bien des traités de sagesse. Car c'est moins une pensée qu'il propose qu'un témoignage de la plus profonde des expériences humaines. Sa puissance vient des faits et de la simplicité de leur représentation... Comment mourir ? S'il est une réponse, peu de témoignage peuvent l'inspirer avec autant de force que celui-là.
François Mitterrand.
Olaf Le Bou a écrit:(...) mais attention aux pièges dans cette quête de l'album déprimant. il y a des chausse-trappes, des faux négatifs. (...)
makidoo a écrit:Tu veux parler de ça ?
Edhral a écrit:makidoo a écrit:Tu veux parler de ça ?
Ce livre est loin d'être déprimant même si traitant d'un sujet fort sensible.
[Au cas où certains n'auraient pas vu que ce titre n'était cité qu'en blague en réponse à Cooltrane...]
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