Pour faire suite à ce que je notais
ici (« pour l'anecdote et l'approche historique comparative, on peut voir dans le tome 1 de l'Intégrale Spirou et Fantasio une case représentant un tailleur juif, case que Franquin a eu soin de faire disparaître après la prépublication initiale, en expliquant qu'à l'époque il baignait dans un milieu, une ambiance, qui rendaient ce genre de caricature tout naturel. »), je remets une piécette :
(
La flûte à six trous, 1958)
Ici il y a double détente : non seulement l'accent, mais en plus le caractère particulièrement « coriace »...
Autres temps, autres mœurs, donc...