Cooltrane a écrit:(suite aux coups de boudoir à repetition, ils croyent de CBBDI affaibli)
Cooltrane a écrit: coups de boudoir
tzynn a écrit:Au snacbd, ils ont toujours l'air de tomber des nues, de ne jamais être impliqués à priori. On dirait que personne ne les prend au sérieux. On dira qu'avec leurs 400 adhérents (ils aiment bien le répéter, comme s'ils devaient s'auto-persuader de leur représentativité), ils ne font pas bcp bouger les lignes non plus. Ca fait des années qu'ils plaident, mais à part faire des petites marches et faire des communiqués dans le vide, je ne vois pas l'intérêt.
Rebecca Doppelmeyer a écrit:Cooltrane a écrit: coups de boudoir
ça, c'est drôle
David C a écrit: Même sur la réforme de la Retraite Complémentaire, qui a agité le monde des auteurs ces deux dernières années, il a obtenu des avancées conséquentes...
David C a écrit:Depuis bientôt 10 ans qu'il existe, le Groupement BD du SNAC a fait énormément de choses pour les auteurs, qu'elles soient publiques ou plus discrètes, que vous en ayez eu connaissance ou non. Il est animé par des auteurs bénévoles qui prennent sur leur temps pour se dévouer à la cause commune, qui n'ont pour l'immense majorité d'entre eux, ni formation, ni expérience syndicale, qui sont partis de zéro, dans un pays qui bat des taux mondiaux de non-syndicalisation (oui, la France est tout en bas des classements et ça existe beaucoup de choses sur l'état du rapport de force actuel entre salariés/travailleurs et dirigeants).
Leur plus grand défaut est de ne pas avoir, en plus du temps que prennent les actions, de temps pour communiquer, et c'est la raison pour laquelle certains pensent qu'il ne sert pas à grand chose. Détrompez-vous. Même sur la réforme de la Retraite Complémentaire, qui a agité le monde des auteurs ces deux dernières années, il a obtenu des avancées conséquentes... Et au prix de beaucoup de temps et beaucoup d'acharnement.
Ce n'est donc pas parce qu'ils ne sont pas occupés à communiquer sur tout ce qu'ils font, que ce soit couronné de succès ou non, qu'ils ne servent à rien, loin de là...
Rebecca Doppelmeyer a écrit:Cooltrane a écrit: coups de boudoir
ça, c'est drôle
zourbi le grec a écrit:Rebecca Doppelmeyer a écrit:Cooltrane a écrit: coups de boudoir
ça, c'est drôle
Attention, ne pas confondre les coups de boudoir avec les raclées d'alcôve
David C a écrit:tzynn a écrit:Au snacbd, ils ont toujours l'air de tomber des nues, de ne jamais être impliqués à priori. On dirait que personne ne les prend au sérieux. On dira qu'avec leurs 400 adhérents (ils aiment bien le répéter, comme s'ils devaient s'auto-persuader de leur représentativité), ils ne font pas bcp bouger les lignes non plus. Ca fait des années qu'ils plaident, mais à part faire des petites marches et faire des communiqués dans le vide, je ne vois pas l'intérêt.
Depuis bientôt 10 ans qu'il existe, le Groupement BD du SNAC a fait énormément de choses pour les auteurs, qu'elles soient publiques ou plus discrètes, que vous en ayez eu connaissance ou non. Il est animé par des auteurs bénévoles qui prennent sur leur temps pour se dévouer à la cause commune, qui n'ont pour l'immense majorité d'entre eux, ni formation, ni expérience syndicale, qui sont partis de zéro, dans un pays qui bat des taux mondiaux de non-syndicalisation (oui, la France est tout en bas des classements et ça existe beaucoup de choses sur l'état du rapport de force actuel entre salariés/travailleurs et dirigeants).
Leur plus grand défaut est de ne pas avoir, en plus du temps que prennent les actions, de temps pour communiquer, et c'est la raison pour laquelle certains pensent qu'il ne sert pas à grand chose. Détrompez-vous. Même sur la réforme de la Retraite Complémentaire, qui a agité le monde des auteurs ces deux dernières années, il a obtenu des avancées conséquentes... Et au prix de beaucoup de temps et beaucoup d'acharnement.
Ce n'est donc pas parce qu'ils ne sont pas occupés à communiquer sur tout ce qu'ils font, que ce soit couronné de succès ou non, qu'ils ne servent à rien, loin de là...
Une initiative d'un auteur (Philippe Fenech), à partager et à copier sans modération :
"Salut à tous !
suite au decret signé le 30 Décembre, j'ai demandé rendez-vous au député de ma circonscription (qui plus est, detaché au finances au niveau national), que je savais particulièrement attaché à la BD (aide et soutien au festivals du coin). J'ai eu rendez-vous avec lui le 22 Février, lui ai expliqué notre problème avec le RAAP. Le taux de 8% l'a effectivemment choqué, je lui ai également parlé de la précarisation de notre profession, chiffres des états généraux aidant. Il a promis d'écrire à la ministre (promesse tenue, voir la lettre ci-jointe) mais aussi aimerait poser une question au gouvernement, mais pour cela, il faudrait que d'autres députés se joignent à lui. Une quarantaine serait bien (peu importe l'étiquette)
Hop donc, à vous de jouer! n'hésitez pas à contacter votre député(e), il (elle) est là pour ça! voici le lien pour savoir de qui vous dépendez: http://www.assemblee-nationale.fr/14/qu ... /index.asp
faites tourner! "
Bill Teski a écrit:
Je ne suis ni pour ni contre l'actuelle équipe, je m'en fous totalement, c'est simplement un constat sur notre fonctionnement de société et les critiques sur angoulème un exemple parmi tant d'autres.
POURQUOI M. BONDOUX DOIT PARTIR. POUR LA RECONSTRUCTION D’UN NOUVEAU FESTIVAL D’ANGOULÊME.
Le dernier Festival international de la Bande dessinée d’Angoulême s’est distingué par une série d’incidents très graves.
De nombreux auteurs, la plupart des syndicats d’auteurs et d’éditeurs, des journalistes de média locaux, nationaux et internationaux ont pris la plume pour dire combien ces incidents étaient choquants, mais ils sont tous allés plus loin pour dire leur ras le bol de ce festival sans âme et sans vision. Ce Festival ne plaît plus à personne. Ni aux auteurs, ni aux éditeurs, ni aux amoureux de la BD que nous sommes. Comme l’a dit le Washington Post : « the Angoulême festival needs an intervention ! » Ou comme l’ont dit les éditeurs, prêts à boycotter l’édition 2017 : le festival doit se refonder.
D’où vient cette situation ?
Serait-ce la faute de l’Association du Festival international de la Bande dessinée d’Angoulême ? Certes, elle a oublié pourquoi elle était là. Mais faut-il le rappeler, elle n’est plus qu’une coquille vide depuis qu’elle a confié l’organisation de la manifestation et tous ses pouvoirs par contrat il y a 8 ans à M. Franck Bondoux, PDG et unique actionnaire de la SARL 9eArt+ ?
Car comme l’ont dit de nombreux auteurs rejoints hier encore par un de leurs éminents représentants Joann Sfar : « Le festival a été pris en otage à cause de ce M. Bondoux. »
Ce M. Bondoux qui a oublié que le monde de la Bande dessinée change et qui a fait perdre à notre festival son esprit fédérateur, respectueux de tous, bouillonnant, et qui prévalait à sa prise de fonction.
• Pourquoi les expositions du FIBD sont-elles de si piètre qualité ̶ de vulgaires accrochages de planches mal reproduites ?
• Pourquoi la seule exposition de qualité est-elle chaque année celle de la Cité, financée essentiellement par l’établissement public lui-même ?
• Comment se fait-il qu’un festival d’un budget de plus de 4 M€, dont plus de 2 M€ d’argent public, ne soit pas totalement transparent sur l’utilisation des fonds publics, sur sa fréquentation, sur sa stratégie ?
• Pourquoi une telle évolution des prix des Pass depuis 8 ans (ils ont été multipliés par trois !),
• Pourquoi une telle opacité sur les commissions prélevées par Partnership Consulting (l’autre société de M. Bondoux) sur les apports des sponsors ? Comment se fait-il qu’il n’y ait pas de traces de ces contrats dans le rapport spécial du Commissaire aux Comptes de 9eArt+ alors que c’est une obligation légale ?
• Pourquoi la secrétaire de l’association du FIBD a-t-elle démissionné de son poste ? Est-ce parce que M. Bondoux dirige tous les débats et vote des CA et AG de l’association dont il est à la fois le prestataire et le bailleur et en rédige lui-même les PV ?
• Pourquoi rien n’est-il prévu contractuellement concernant la conservation et l’archivage des festivals de la bande dessinée depuis 2008 ? Pourquoi une telle mission n’est-elle pas confiée à la Cité qui en a pourtant la compétence ?
• Pourquoi M. Bondoux a-t-il tenté de s’approprier les marques du festival l’an dernier ? Dans quel but réel ?
• Pourquoi, alors que le Président de l’association a bien dénoncé le contrat qui la lie à 9eArt+, M. Bondoux réfute-t-il la validité de cette dénonciation ?
• Pourquoi tous les auteurs de la BD sont-ils si peu enclins à venir au Festival d’Angoulême ? Pourquoi disent-ils que ce Festival n’a plus d’âme, qu’ils s’y sentent mal, voire maltraités ?
• Pourquoi n’y a-t-il aucune vision ni innovation éditoriale au festival depuis des années, si peu de prise en compte de la BD numérique, du manga, des autres arts ?
Le Festival d’Angoulême est arrêté depuis 8 ans.
La dégradation des relations avec toutes les parties prenantes (éditeurs-exposants, auteurs, visiteurs, financeurs, etc.), gaffes, bourdes et fautes de communication impardonnables, tout particulièrement à l’occasion de l’édition 2016, ne sont que la goûte qui a fait déborder le vase.
Ce soir, au lendemain de la rencontre entre les syndicats d’auteurs et d’éditeurs et le ministère de la Culture, un Conseil d’Administration de l’Association du FIBD aura lieu pour étudier un projet d’avenant pour le renouvellement de la convention entre 9eArt + et l’Association du FIBD, comme si rien ne s’était passé. De qui se moque-t-on ?
Les principales ressources du prestataire sont locales et régionales. Qu’en pense le contribuable charentais ?
Il appartient aux collectivités territoriales qui siègent à ce Conseil d’Administration de prendre leurs responsabilités.
Nous, les Indignés de la bande dessinée d’Angoulême, sommes prêts à apporter notre aide et nous savons que de nombreux citoyens, auteurs et éditeurs sont prêts à faire de même.
Les Indignés de la bande dessinée d’Angoulême en appellent à toutes les bonnes volontés qui partagent notre ambition pour : « Un nouveau Festival international de la Bande dessinée d’Angoulême »
nexus4 a écrit:D'ailleurs, en parlant de vigipirate, c'est fou comme on est entré de plein pied dans le futur sans même sans rendre compte : T'es pénard en terrasse avec en fond sonore une voix féminine qui te cause de menace terroriste. On se croirait dans Minority Report ou Until the end of the world et tout le monde s'en fout.
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