Et surtout il faut imùpérativement continuer à conspuer ce jury de toccards sans prendre en compte que ce sont des professionnels et qu'ils se doivent donc d'agir comme tels et de récompenser non pas une zolie histoire avec du bôdessin mais surtout des choses innovantes originales tant dans le fond que dans la forme tout en étant bien construites réussissant parfaitement l'alchimie complexe entre les deux.
Les Bidochons innovants :renverse:
Je propose:
Ce qui se vend beaucoup est forcemment bon
Les indés c'est dessiné avec les pieds
C'est pas mes gouts donc c'est pas non plus le gout des autres et c'est de la merde
etc....
Par contre il est interdit de parler de la différence entre un album qui plait et un bon album.
Il ne sert à rien non plus d'admettre que ce qu'on aime n'est pas d'un grand niveau parce que comme 80% de ce qu'on fait dans la vie on le fait pour se distraire et que donc le niveau d'exigence est relativement bas.
.
bon les diatribes habituelles des tenants officiels des deux ecoles se font attendre
pasamonik doit etre en vacances c'est pas possible
bon j'ai bien lu un ou deux reactions rigolotes mais rien d'exceptionnel
et sinon mon petit doigt me dit que zanzibar devrait apprendre le definition de "second degré"
Je trouve cette sélection assez mauvaise en dépit de quelques choix judicieux (Shutter Island, Tout seul, Roi des mouches...). Pourquoi ? Parce que certaines maisons d'éditions et certains genres sont manifestement ostracisés.
Je ne m'explique pas l'absence de "Hautes oeuvres" de Simon Hureau (La boite à bulle), "Walking Dead" de Kirkman et Adlard (Delcourt) ou de la réédition de Battaglia aux éditions Mosquito pour le prix du patrimoine...
A l'inverse je m'étonne de la sur-représentation de l'Association et Cornellius dans le palmares ; comme par hasard ces deux éditeurs sont très proches de Trondheim et Berberian...
Autre curiosité, la présence du dernier Sfar (Le Petit Prince) pourtant fort décrié dans la sélection jeunesse.
Enfin, que penser du jury composé notamment par Monique Younes de RTL (qui a avoué dans le dernier Pilote que entre Hergé et Sfar, elle n'avait pas lu de BD) et un journaliste des Inrocks que l'on connait pour ses sympathies envers l'Asso ?
Bref un jury bling-bling, une sélection bling-bling pour un festival de plus en plus bling-bling.
Si quelqu'un a du temps :
- supprimons les albums dont l'un des auteurs a déjà été primé,
- supprimons les albums dont l'und es auteur a déjà été nominé une fois.
Je serais surppris de connaitre combien il en reste sur 56. Le moitié? peut être moins.
Une autre idée (utopique) serait de rendre les auteurs et les maisons d'éditions anonymes, histoire de lever les a priori inutiles sur les sectorisations indé/mainstream, copinages et autres débilités.
Une autre idée (utopique) serait de rendre les auteurs et les maisons d'éditions anonymes, histoire de lever les a priori inutiles sur les sectorisations indé/mainstream, copinages et autres débilités.
sauf qu'un style graphique c'est reconnaissable par beaucoup c'est pas de l'ecrit
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