jfmal a écrit:on peut affirmer que nous sommes là dans une zone intermédiaire entre le dessin artistique et l'assistance par IA
alambix a écrit: C'est pas du tout ce qu'il fait.
Il s'est constitué une banque d'expressions afin de les retrouver plus facilement et s'en inspirer pour coller au mieux au style Franquin quand il doit représenter telle ou telle expression [...]
alambix a écrit:jfmal a écrit:Plaisanterie... pas tant que ça!
Maintenant que l'on sait que le travail de Delaf est copieusement assisté d'informatique (attitudes des personnages scannés d'après les planches de Franquin, puis base de données dans laquelle l'auteur pioche selon ses besoins), on peut affirmer que nous sommes là dans une zone intermédiaire entre le dessin artistique et l'assistance par IA
C'est pas du tout ce qu'il fait.
Il s'est constitué une banque d'expressions afin de les retrouver plus facilement et s'en inspirer pour coller au mieux au style Franquin quand il doit représenter telle ou telle expression.
tzynn a écrit:
Dans le jargon, on dit qu'il a fait une Seron
jfmal a écrit:Plaisanterie... pas tant que ça!
Maintenant que l'on sait que le travail de Delaf est copieusement assisté d'informatique (attitudes des personnages scannés d'après les planches de Franquin, puis base de données dans laquelle l'auteur pioche selon ses besoins), on peut affirmer que nous sommes là dans une zone intermédiaire entre le dessin artistique et l'assistance par IA
Monsieur Jean a écrit:Ce serait intéressant que Delaf donne une entrevue où il expliquerait pourquoi et comment il a fait les choses.
Monsieur Jean a écrit:Ce serait intéressant que Delaf donne une entrevue où il expliquerait pourquoi et comment il a fait les choses.
Une Seron numérique, assistée par ordinateur. Pour les mains en particulier, il paraît que le rendu est exceptionnel !tzynn a écrit:alambix a écrit:jfmal a écrit:Plaisanterie... pas tant que ça!
Maintenant que l'on sait que le travail de Delaf est copieusement assisté d'informatique (attitudes des personnages scannés d'après les planches de Franquin, puis base de données dans laquelle l'auteur pioche selon ses besoins), on peut affirmer que nous sommes là dans une zone intermédiaire entre le dessin artistique et l'assistance par IA
C'est pas du tout ce qu'il fait.
Il s'est constitué une banque d'expressions afin de les retrouver plus facilement et s'en inspirer pour coller au mieux au style Franquin quand il doit représenter telle ou telle expression.
Dans le jargon, on dit qu'il a fait une Seron
alambix a écrit:Le mot de la fin pour Franquin :Quand je serai mort, je m'en foutrai totalement, je vous le promets... Je serai dans le plus grand néant et je n'aurai plus rien à foutre de tout ça ! Alors ce qui comptera quand je serai mort, c'est les vivants qui seront survivants, alors ils feront ce qu'ils voudront.
Quand je serai mort, je m'en foutrai totale-
ment, je vous le promets... Je serai dans le plus grand néant et je
n'aurai plus rien à foutre de tout ça ! Alors ce qui comptera quand je
serai mort, c'est les vivants qui seront survivants, alors ils feront ce
qu'ils voudront.
Et ici, sur facebook une fausse "preuve" de décalquage qui prouve que Delaf ne décalque pas :
Erik Arnoux a écrit:
Le rendu est bien trop propre et lisse et n'a pas d'âme pour moi, mais franchement, quand une proposition comme ça passe à ta portée, tu serais con de refuser, le challenge vaut le jus ! Le reste, je suis certain que ça lui passe au dessus et que pas un instant il n'a imaginé que ça allait coincer;
BDbilos a écrit:Mont des Oliviers ?
L'éditeur, Delaf a cru s'y fier...
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