thyuig a écrit:qui oublie aussi que le bien-être animal est à la base de la démarche vegan. Les conditions d'exploitations et d'abattage doivent évoluer.
Pouffy a écrit:thyuig a écrit:qui oublie aussi que le bien-être animal est à la base de la démarche vegan. Les conditions d'exploitations et d'abattage doivent évoluer.
C'est le travers de notre société actuelle... transformer une philosophie ou un choix de vie, en approche statistique absolue.
Olaf Le Bou a écrit:Pouffy a écrit:thyuig a écrit:qui oublie aussi que le bien-être animal est à la base de la démarche vegan. Les conditions d'exploitations et d'abattage doivent évoluer.
C'est le travers de notre société actuelle... transformer une philosophie ou un choix de vie, en approche statistique absolue.
le travers de notre société, c'est surtout de vouloir imposer aux autres ses choix de vie.
Bizarrement, parce qu'il a inclus toute la pluie tombée sur les terres sur lesquelles le bœuf a grandi, en ignorant le fait que ces averses auraient eu lieu que la bête soit en dessous ou pas.
Olaf Le Bou a écrit:le travers de notre société, c'est surtout de vouloir imposer aux autres ses choix de vie.
thyuig a écrit:Aujourd'hui si je veux acheter un steack, c'est à moi de faire la démarche de trouver une viande issue d'une bête bien traitée et bien tuée. C'est ça que tu entends par l'imposition aux autres d'un choix de vie ?
ubr84 a écrit:Article intéressant par certains points mais pas avare de défauts !
C'est un article étrange, qui effectivement oublie l'essentiel : les conditions d'élevage et d'abattage mais qui également en voulant démontrer des supercheries de chiffres se plantent dans les grandes largeurs.
Par exemple iciBizarrement, parce qu'il a inclus toute la pluie tombée sur les terres sur lesquelles le bœuf a grandi, en ignorant le fait que ces averses auraient eu lieu que la bête soit en dessous ou pas.
Le rédacteur n'a juste pas compris le concept, comme beaucoup de gens qui utilisent cette stat à mauvais escient.
Cette statistique n'a de sens qu'en réflexion globale planétaire, quand on parle de masses d'eau et d'exportation.
Parce que cette eau tombe qu'il y ait la vache ou non mais la vache crée, via l'exploitation agricole, des rejets polluants à traiter, des hectares à lui consacrer etc. Elle compte bien dans les grandes masses d'eau.
Si un pays exporte en masse de la viande il va polluer et utiliser ses masses d'eau pour une autre zone géographique et donc mettre en péril son environnement. C'est cela et uniquement cela le sens de ces chiffres.
Brian Addav a écrit:Sauf que dans l'article, plus loin, l'auteur explique bien qu'il n'y a pas qu'un seul type d'exploitation agricole, et monte en exergue les cas britanniques et irlandais où l'on remet au coeur du sujet les prairies, qui servent d'espaces d'exploitations agricoles, qui sont plus qu'intéressant en terme écologique. (captation du carbone au sol, etc...)
ubr84 a écrit:Il présente une vision un peu idéaliste je trouve. En orientant son discours presque comme si tout l'élevage était en plein champ (ce qui serait bien) il omet l'essentiel à mon sens : vu les masses de viande que l'on produit je pense que la majorité de l'élevage en volume est industriel.
Tiens ça ce serait une statistique intéressante, j'essaierai de la trouver si je trouve le temps.
thyuig a écrit:qui oublie aussi que le bien-être animal est à la base de la démarche vegan. Les conditions d'exploitations et d'abattage doivent évoluer.
ubr84 a écrit:Il présente une vision un peu idéaliste je trouve. En orientant son discours presque comme si tout l'élevage était en plein champ (ce qui serait bien) il omet l'essentiel à mon sens : vu les masses de viande que l'on produit je pense que la majorité de l'élevage en volume est industriel.
Tiens ça ce serait une statistique intéressante, j'essaierai de la trouver si je trouve le temps.
Pouffy a écrit:ubr84 a écrit:Il présente une vision un peu idéaliste je trouve. En orientant son discours presque comme si tout l'élevage était en plein champ (ce qui serait bien) il omet l'essentiel à mon sens : vu les masses de viande que l'on produit je pense que la majorité de l'élevage en volume est industriel.
Tiens ça ce serait une statistique intéressante, j'essaierai de la trouver si je trouve le temps.
On en revient à une approche économique... plus le viande est chère plus ses conditions d'élevage sont "saines" (bon ok, il y a aussi le gavage des oies). Ou alors, il reste le DIY... tu gères toi même poules, cochons etc...
Brian Addav a écrit:ou tu achètes en local, très local. Et c'est valable pour tout.
ubr84 a écrit:Article intéressant par certains points mais pas avare de défauts !
C'est un article étrange, qui effectivement oublie l'essentiel : les conditions d'élevage et d'abattage mais qui également en voulant démontrer des supercheries de chiffres se plantent dans les grandes largeurs.
Par exemple iciBizarrement, parce qu'il a inclus toute la pluie tombée sur les terres sur lesquelles le bœuf a grandi, en ignorant le fait que ces averses auraient eu lieu que la bête soit en dessous ou pas.
Le rédacteur n'a juste pas compris le concept, comme beaucoup de gens qui utilisent cette stat à mauvais escient.
Cette statistique n'a de sens qu'en réflexion globale planétaire, quand on parle de masses d'eau et d'exportation.
Parce que cette eau tombe qu'il y ait la vache ou non mais la vache crée, via l'exploitation agricole, des rejets polluants à traiter, des hectares à lui consacrer etc. Elle compte bien dans les grandes masses d'eau.
Si un pays exporte en masse de la viande il va polluer et utiliser ses masses d'eau pour une autre zone géographique et donc mettre en péril son environnement. C'est cela et uniquement cela le sens de ces chiffres.
Brian Addav a écrit:ubr84 a écrit:Il présente une vision un peu idéaliste je trouve. En orientant son discours presque comme si tout l'élevage était en plein champ (ce qui serait bien) il omet l'essentiel à mon sens : vu les masses de viande que l'on produit je pense que la majorité de l'élevage en volume est industriel.
Tiens ça ce serait une statistique intéressante, j'essaierai de la trouver si je trouve le temps.
Il oppose une vision réaliste, basée sur ce qu'il connaît chez lui, à une vision prise de manière ultra pessimiste pour en orienter son message...thyuig a écrit:qui oublie aussi que le bien-être animal est à la base de la démarche vegan. Les conditions d'exploitations et d'abattage doivent évoluer.
Ou revenir à ce qui se faisait avant.
Quand j'étais petit, les vieux, avant de saigner un lapin, lui crever un oeil. Le laisser se calmer avant de le saigner du côté aveugle pour lui éviter d'être stressé par sa fin proche. (car sinon la viande allait pas être bonne...)
Frannck a écrit:Tu peux compter l'eau pour l'irrigation et le lavage mais celle des prairies non ou alors l'élevage intensif est plus écologique que l'extensif.
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