carbonnieux a écrit:J'adule Comès mais ne suis jamais parvenu à lire Ergun, et je m'en trouve très bien
Le découvrant dans le Journal Tintin avec son Ombre du Corbeau avant de prendre la claque en Silence à la sortie de cet album ...
Tonton Calou a écrit:Je viens de lire les 50 premières pages du livre de Thierry Bellefroid et je peux déjà vous dire qu'il s'agit d'un indispensable : l'auteur était intime avec Comès - cela se sent -, la plume est fine et le travail rigoureux (l'iconographie n'étant pas en reste).
Suite de ma lecture demain !
carbonnieux a écrit:J'adule Comès mais ne suis jamais parvenu à lire Ergun, et je m'en trouve très bien
Le découvrant dans le Journal Tintin avec son Ombre du Corbeau avant de prendre la claque en Silence à la sortie de cet album ...
Edhral a écrit:Merci Cooltrane. J'ai bien en tête que Silence est reconnu comme un chef-d’œuvre de la BD, mais pour autant cela pouvait ne pas être le bon point d'entrée.
Cooltrane a écrit:je ne manquerai pas de me faire les 2 expos, même si celle sur Eva à la Maison Autrique me semble moins urgente, compatré à celle du Belvue.
L'Ombre Jaune a écrit:Cooltrane a écrit:je ne manquerai pas de me faire les 2 expos, même si celle sur Eva à la Maison Autrique me semble moins urgente, comparé à celle du Belvue.
Retex ? (La maison Autrique, c'est sympa, mais ça dépend de comment le thème est développé, j'ai personnellement bien apprécié leur expo sur Jean Ray, l'année passée.)
Mais comme tu le dis, pour Comès, je crois aussi que Belvue est plus pertinent.
Bref, y as-tu mis les pieds, et si oui, quelles seraient tes impressions ? Cette expo me tente, mais avant de m'infliger une pénible incursion dans le centre de Bx, je préfère frileusement avoir des informations incitantes (ou pas).
Cooltrane a écrit:L'Ombre Jaune a écrit:Cooltrane a écrit:je ne manquerai pas de me faire les 2 expos, même si celle sur Eva à la Maison Autrique me semble moins urgente, comparé à celle du Belvue.
Retex ? (La maison Autrique, c'est sympa, mais ça dépend de comment le thème est développé, j'ai personnellement bien apprécié leur expo sur Jean Ray, l'année passée.)
Mais comme tu le dis, pour Comès, je crois aussi que Belvue est plus pertinent.
Bref, y as-tu mis les pieds, et si oui, quelles seraient tes impressions ? Cette expo me tente, mais avant de m'infliger une pénible incursion dans le centre de Bx, je préfère frileusement avoir des informations incitantes (ou pas).
Bon, le centre non-commercial de Bxl (quartier royal, quoi) est +/- désert et j'ai trouvé une place qui juste en face de la porte du musée. Déjà Bxl sans les troupeaux d'abrutis de touristes, c'est tjs sympa, même avec un masque sur la g....
Bon, j'ai eu le temps de me faire les deux expos, et celle du Belvue est absolument renversante Et j'y retournerai avec une INT dans les mains pour comparer les planches originales et leurs mises sur papier à grande échelle. Un truc que j'ai trouvé, c'est que les noirs sur originaux ne sont pas si noirs (vieillissement??) que dans les bouquins. En fait, cette expo m'a surtout convaincu d'acheter la 2è INT ou alors me trouver les bouquins que je n'ai jamais acheté (Arbre Coeur, Maison et Iris). Rien sur les deux Ergün, par contre, juste des mentions mais pas de planches.[Révéler] Spoiler:j'ai bien aimé le groupement des albums par paire-miroir... Je n'y avais pas pensé
Gros bonus: une dizaine de planches de Pratt (Corto Tango) et qqes une de Chabouté, mais pour finir le bouquin de Belfroid nous vendait déjà la mèche.
L'expo Eva chez Schuiten à l'Autrique est franchement moins intéressante (sauf si on a jamais mis les pieds dans le bâtiment Horta) et pas vraiment essentielle - surtout que l'expo Belvue montre aussi des planches originales de cet album.
Tonton Calou a écrit:carbonnieux a écrit:Moi j'ai trouvé cela trop faible. J'y suis allé cette semaine, y'avait personne et donc c'était bien pratique.
L'exposition de Bastogne de 2016/17 m'avait laissé sur le cul , ici c'est franchement faible. Je trouves entre autre que choisir d'exposer des planches dans des vitrines horizontales, ce n'est pas le mieux pour les apprécier !
Ensuite trop peu de planches , même si cela va me faire racheter ce que j'avais moins aimé chez Comès après Eva …
OK on retrouve la planche 1 de Silence, mais les planches emblématiques manquent un peu , je trouve.
Bon point : entrée gratuite et bonus de quelques rares planches de Pratt ...
À Stavelot, il y en avait un paquet, en différents endroits de l'Abbaye.
Elles étaient regroupées par thème, avec quelques explications et une mise en scène sobre.
J'y suis resté 2 bonnes heures et j'avais vraiment apprécié.
Le Tapir a écrit:
Pour l'avoir feuilleté, c'est wishlist direct. Franchement sympa si on sait apprécier cet auteur exceptionnel.
Didier Comès : Des NFTs pour financer la restauration d’un patrimoine exceptionnel
Portez-vous acquéreur d’une copie digitale unique d’une planche de Didier Comès et financez la restauration de l’œuvre originale de l’artiste !
En collaboration avec la Fondation Roi Baudouin et Casterman, la startup belge Artts lance sa première collection de Tokens non fongibles (NFTs) avec treize planches originales de Didier Comès. Ce projet innovant est une première en Belgique et en Europe grâce à l’usage de la technologie des NFTs pour financer la restauration d'œuvres physiques, emblématiques du patrimoine belge. Chaque planche originale de l’artiste fera l’objet de dix NFTs qui sont mis en vente.
Qu’est-ce que les NFTs ?
C’est une technologie numérique innovante au service de l'art, des artistes et du public. Les NFTs sont des copies digitales uniques et authentiques grâce à un protocole technologique (ERC-721, sur la blockchain Ethereum). Chaque NFT donne à son acquéreur le droit de recevoir à domicile une copie physique authentique et numérotée, à taille réelle. Celle-ci sera livrée après la restauration des planches.
La vente de NFTs :
Dans les prochains jours, les NFTs seront mis en vente sur le site https://artts.net/home.
Une fois l’opération de vente clôturée, la restauration pourra commencer. Les copies physiques authentiques seront créées à partir de l’œuvre restaurée, avec un numéro de série unique, et une authentification par la Fondation Roi Baudouin et Casterman.
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