L'égalité des chances de quoi ?
Quelqu'un dit qu'il n'aime pas un auteur et on parle de procès d'un auteur...
C'est surtout qu'en plus j'ai jamais dit que je n'aimais pas Loisel mais que
JE TROUVAIS que de son dernier album i
ndispensable était l'ami Javin. Cela veut donc dire que jusqu'à cet album je considère sa production comme des classiques de la bd. J'adore uderzo comme dessinateur et Astérix. Ai je le droit de considérer que le dernier Asrérix indispensable date de 1976: Obélix et compagnie même si il y a eu encore quelques bons albums après. Cela ne veut pas dire que je conchie le travail d'Uderzo.
Après Monsieur Loisel dit qu'il considère que 70 % de la production est à chier et n'aurait pas dû être publiée. Je trouve qu'il dit une connerie et qu'il a un melon énorme car il n' a pas l'air de considérer que son travail a lui serait passé à la trappe.
Je rétorque que je considère que Mr Loisel participe et profite aussi de la surproduction du marché de la bd. Le nouveau cycle de la quête avait il un réel intérêt artistique indispensable? N'est ce pas purement commercial? Un coup éditorial comme on dit maintenant.
Cela n'engage que moi Si on estime comme Mr Loisel que 70 % de la production de la bd des dernières années est dispensable, je pousse le raisonnement plus loin et je me dis: quel 70% de ma collection bd enlèverais-je et quel pourcent garderais-je?
Et n'en déplaise à Mr Loisel et à ses fans, sa production de ses années n'en ferait pas partie ,
pour moi , de ce que je garderais.
Cela est mon opinion que tout à chacun est en droit de ne pas approuver.
Donc quels ayatollahs vont déterminer quels albums méritent ou non une sortie?
Parce ce que le goût et les couleurs, cela se discute. On se base sur le succès précédent ( aspect purement commercial donc pas de nouvelle tête ), sur les goûts supposés du public ( le public a adoré les tchis au ciné, sortons des bds tchi), etc.
Nous revenons à un système de prépublication avec vote des lecteurs ( qui bien entendu votent toujours pour les meilleurs séries artistiquement parlant, c'est bien connu).