Olaf Le Bou a écrit:et dans ce cas où tout le monde est riche à foison, peut-on parler d'égaux surdimensionnés ??
Olaf Le Bou a écrit:et dans ce cas où tout le monde est riche à foison, peut-on parler d'égaux surdimensionnés ??
ulys a écrit:Sinon, coup de gueule contre mon chef.
Comment fait pour qu'il s'investisse un peu dans le boulot ? Pour qu'il ne botte pas systématiquement les questions en touches.
Ca à la voiture de fonction (belle grosse berline allemande suréquipée), l'ordi et le smartphone au frais de la boîte et est souvent en home-office. Je ne parle même pas du salaire. Et pourtant ça n'en glande pas une. (mais il faut avouer qu'il sait très bien faire semblant !)
toine74 a écrit:Chino a écrit:... Or, il s'avère que si l'on a plus de 15 jours de vacances pendant les vacances, on doit se réinscrire en tant que demandeur d'emploi...
Si, en tant que chômeur, on ne peut plus prendre de vacances pendant les vacances, faut pas s'étonner que les gens soient en colères en France.
Désolé, Chino, j'ai pas pu m'empêcher . Bon courage dans tes démêlés avec l'administration (on a la même au Canada )
serendipity a écrit:Car je suis au bureau et J AI FROID!!!!
Et oui ...toujours les mêmes c.... de collègues avec leur bouffée de chaleur! Toujours ces mêmes personnes qui transforment notre bureau en frigo et qui s en fiche qu une claque des dents et grelotte!
serendipity a écrit: Toujours ces mêmes personnes qui transforment notre bureau en frigo et qui s en fiche qu une claque des dents et grelotte!
serendipity a écrit:L´été s´achève ... et vous savez à quoi je le remarque
Car je suis au bureau et J AI FROID!!!!
Et oui ...toujours les mêmes c.... de collègues avec leur bouffée de chaleur! Toujours ces mêmes personnes qui transforment notre bureau en frigo et qui s en fiche qu une claque des dents et grelotte!
Faut vraiment que je demande une augmentation pour acheter des combis de ski!
Je deteste mon boulot! Je deteste mes collègues! Par contre j aime bien mon salaire!
serendipity a écrit:L´été s´achève ... et vous savez à quoi je le remarque
Car je suis au bureau et J AI FROID!!!!
Et oui ...toujours les mêmes c.... de collègues avec leur bouffée de chaleur! Toujours ces mêmes personnes qui transforment notre bureau en frigo et qui s en fiche qu une claque des dents et grelotte!
Faut vraiment que je demande une augmentation pour acheter des combis de ski!
Je deteste mon boulot! Je deteste mes collègues! Par contre j aime bien mon salaire!
kantessekonmange a écrit:et encore moins mon salaire...
HOCHET Gabriel a écrit:40 millions d'euros pour les fameux radars "pédagogiques".... 10 milles roros pièce...
'tain... comment on nous prend pour des truffes...
Ça pue le pot de vin... Non ?
HOCHET Gabriel a écrit:40 millions d'euros pour les fameux radars "pédagogiques".... 10 milles roros pièce...
'tain... comment on nous prend pour des truffes...
Ça pue le pot de vin... Non ?
Un nouveau type d’horodateur est installé depuis lundi à Bonn. L’appareil indique l’heure, le tarif et délivre un ticket, mais n’a rien à voir avec le stationnement des voitures. Il est réservé aux prostitué(e)s qui achètent le droit d’exercer leur métier par une « sex tax ». Le ticket est à 6 euros la nuit, et la nuit, c’est précisément de 20h15 à 6 heures du matin.
Pendant cette période, des contrôles sont effectués par les autorités de la ville. Les prostitué(e)s sans ticket auront un avertissement. Au deuxième, le/la travailleur/se du sexe devra payer 100 euros d’amende.
La « sex tax », impôt de « l’équité »
La prostitution et les maisons closes étant légales dans toute l’Allemagne depuis 2002, la plupart des Land prévoient des taxes pour les prostitué(e)s travaillant dans les bordels. Ainsi, à Berlin, chaque péripatéticien(ne) donne 30 euros par jour au gérant de l’établissement.
Bonn compterait au total 200 prostitué(e)s, la moitié travaillant dans des lieux contrôlés comme les maisons closes, les bars ou saunas, et l’autre dans la rue.
Si les premiers/ères payaient déjà un forfait quotidien, les prostitué(e)s racolant dans la rue étaient jusque-là exempté(e)s. C’est pour « rétablir une équité devant l’impôt » que le Conseil de la ville de Bonn a décidé de mettre en place cette taxe quotidienne, explique Monika Frömberg, la porte-parole de la ville, au journal Süddeutsche Zeitung.
Pour Monika Frömberg, l’horodateur est la meilleure solution car, selon elle, la plupart des travailleurs/ses du sexe ne parlent pas assez bien allemand pour remplir une déclaration d’impôts. « De plus, il y a de la fluctuation », affirme-t-elle, expliquant que toutes les prostitué(e)s ne travaillent pas sur tout le mois, d’où la solution au jour le jour.
Une manière de renflouer les caisses municipales
Avec cette « taxe-trottoir », la ville de Bonn espère lever 300 000 euros par an, ce qui, en période de rigueur budgétaire n’est pas négligeable pour une municipalité. Mais Monika Frömberg affirme qu’une bonne part de cette somme sera utilisée pour la sécurité des prostitué(e)s.
Le premier horodateur a d’ailleurs été installé près d’un parking original : le Verrichtungsgelände, littéralement « terrain d’exécution ». Sous la pression des habitants de Bonn, la municipalité y a bâti six box en bois, chacun assez grand pour y faire rentrer une voiture. Les prostitué(e)s peuvent donc venir avec leurs clients et disposent d’installations sanitaires ainsi que d’un système de sécurité qu’ils/elles peuvent déclencher à l’aide d’un bouton. Coût de l’opération : 240 000 euros. Zürich compte installer des « parkings-box » similaires dans les prochains mois.
Uwe Zimmermann, porte-parole de la fédération des villes et communes allemandes, explique au Frankfurter Rundschau que l’horodateur « intéressera sûrement d’autres villes ».
De fait, si Bonn n’est pas la première ville allemande à avoir instauré une « sex tax » pour les prostitué(e)s qui font le trottoir, elle est la première à l’avoir automatisée. En effet, depuis 2004, les prostitué(e)s qui exercent dans les rues de Cologne payent, eux/elles aussi, une taxe. Ils/elles versent à la municipalité 150 euros par mois ou 6 euros par jour si ils/elles travaillent moins de 25 jours. En 2009, cet impôt avait rapporté 800 000 euros à Cologne.
Pompe à fric et règle d’or
A Dortmund, les prostitué(e)s achètent aussi un ticket pour 6 euros, mais dans une station-service à proximité de leur lieu de travail.
En 2010, dans une étude intitulée « Prostitution, le facteur économique méconnu », les professeurs de l’université de Nüremberg, Richard Reichel et Katrin Topper, avaient calculé qu’en 2003, les 80 000 prostituées présentes en Allemagne réalisaient un chiffre d’affaires de 700 millions d’euros chaque année.
Ainsi, si on appliquait le régime d’imposition prévu pour les autres métiers en Allemagne, l’Etat récolterait quelque 170 millions d’euros par an. De quoi arriver à l’équilibre budgétaire au nom de la future « règle d’or » un peu plus vite.
Maud Koetschet
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