cdmdu a écrit:merci pour le spoiler!
Oups désolé l'ami
cdmdu a écrit:merci pour le spoiler!
Brian Addav a écrit:Tu peux argumenter pour le plagiat ??? Parce que bon, moi ça ne m'est pas du tout venu à l'esprit là...
Il n'y a pas 36 solutions pour représenter des scènes de sous-marin, surtout durant la seconde guerre mondiale...
Le film se passe essentiellement dans l'atlantique nord, le styx (le sous-marin du film), a pour port d'attache la rochelle, et le climax du film consiste à essayer de passer gibraltar....
Ici, dans commando colonial, on est début dans l'océan indien, et on finit aux kerguelen, et toute la trame consiste à montrer que deux types ennemis peuvent discuter et se comprendre...
DIGNUS EST INTRARE a écrit:Brian Addav a écrit:Tu peux argumenter pour le plagiat ??? Parce que bon, moi ça ne m'est pas du tout venu à l'esprit là...
Il n'y a pas 36 solutions pour représenter des scènes de sous-marin, surtout durant la seconde guerre mondiale...
Le film se passe essentiellement dans l'atlantique nord, le styx (le sous-marin du film), a pour port d'attache la rochelle, et le climax du film consiste à essayer de passer gibraltar....
Ici, dans commando colonial, on est début dans l'océan indien, et on finit aux kerguelen, et toute la trame consiste à montrer que deux types ennemis peuvent discuter et se comprendre...
Le sous-marin ne s'est jamais appelé Le Styx.
Le titre français est tiré de la comparaison du chenal huileux qui permet de sortir du port d'attache, avec le Styx, rivière qui mène aux enfers.
Le titre français est bien trouvé car sortis du port, les sous-mariniers vont vers l'enfer.
30,000 sur 40,000 sous-mariniers de la Kriegsmarine ne sont jamais revenus.
Maintenant, cela me parait logique que l'on pense à Das Boat lorsqu'on lit un ouvrage sur les sous-marins. Ce roman (et le film également très réussi) a fortement marqué.
DIGNUS EST INTRARE a écrit:Le sous-marin ne s'est jamais appelé Le Styx.
Le titre français est tiré de la comparaison du chenal huileux qui permet de sortir du port d'attache, avec le Styx, rivière qui mène aux enfers.
Le titre français est bien trouvé car sortis du port, les sous-mariniers vont vers l'enfer.
30,000 sur 40,000 sous-mariniers de la Kriegsmarine ne sont jamais revenus.
Maintenant, cela me parait logique que l'on pense à Das Boat lorsqu'on lit un ouvrage sur les sous-marins. Ce roman (et le film également très réussi) a fortement marqué.
Brian Addav a écrit:DIGNUS EST INTRARE a écrit:Le sous-marin ne s'est jamais appelé Le Styx.
Le titre français est tiré de la comparaison du chenal huileux qui permet de sortir du port d'attache, avec le Styx, rivière qui mène aux enfers.
Le titre français est bien trouvé car sortis du port, les sous-mariniers vont vers l'enfer.
30,000 sur 40,000 sous-mariniers de la Kriegsmarine ne sont jamais revenus.
Maintenant, cela me parait logique que l'on pense à Das Boat lorsqu'on lit un ouvrage sur les sous-marins. Ce roman (et le film également très réussi) a fortement marqué.
oui, t'as raison, c'est le titre du bouquin, le styx, qui a inspiré le film.
Désolé.
Pour la trame ressemblant au film... je trouve ça gros quand même... employer le terme plagiat... m'enfin...
driepick a écrit:Je ne parle absolument pas allemand mais le choix fait par les auteurs donne pour moi tout le sel à cet album.
L'allemand m'est aussi apparu comme le seul argument qui puisse laisser une frontière entre les 2 supérieurs, sans cette nuance les 2 camps n'auraient sembler n'en faire qu'un pour les héros, et le lecteur.
On se retrouve, dans mon cas du moins, prisonnier de l'équipage allemand, étant par obligation des auteurs du coté des "héros" francophones, j'adhère !
Croaa a écrit:Pas du tout d'accord sur l'aspect traduction. Il est indispensable que nous soyons dans l'incompréhension de la langue comme l'était la majorité des francophones de cette époque et c'est entre autre une des explications du désaccord entre les deux français sur l'attitude à adopter envers le commandant du sous-marin. Quand l'un voit d'abord l'homme
l'autre est dans le refus total de communication avec le sous-marinier car il voit d'abord le soldat ennemi (même si celui-ci parle français). Bref, la non traduction est un des éléments qui fait la richesse de cet album.
Album magnifique par le type d'aventure vécue et la narration. Sans parler du dessin. Franchement, sûrement l'une des meilleures séries que je n'ai pulire depuis bien des années.
DIGNUS EST INTRARE a écrit: Petit chipotage, le major De Robbilard n'a pas besoin de réquisitionner l'île étant donné qu'elle appartient déjà à la France par un acte officiel du 31 octobre 1897, qui déclare expressément Europa dépendance française, après que le Pavillon eut été planté.
Croaa a écrit:DIGNUS EST INTRARE a écrit: Petit chipotage, le major De Robbilard n'a pas besoin de réquisitionner l'île étant donné qu'elle appartient déjà à la France par un acte officiel du 31 octobre 1897, qui déclare expressément Europa dépendance française, après que le Pavillon eut été planté.
Oui mais elle est louée avec un bail de 99 ans. Donc celui qui peut décider si oui ou non on a le droit d'y acoster, c'est bien le propriétaire du bail; La Fance n'est donc plus chez elle.
kouern a écrit:Il est vrai que l'Allemand est destabilisant, mais c'est un pari osé des auteurs et je le respecte. Ca ne fait que rajouter une part de tension à l'histoire.
Croaa a écrit:Il te suffit de ne pas le lire pour te retrouver dans la situation du commun des mortels qui entrave que dalle à la langue de Goethe.
Croaa : consultant en solution évidente.
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