Comme jolan, j'ai trouvé le récit rempli d'artifices superflus et surtout assez grossiers (Lang a montré la fatalité au travers d'engrenages plus subtils) . C'est sans doute censé dynamiser le film mais ça ne m'a pas empêché de trouver le rythme du film plutôt indolent.
jolan a écrit:Et bien sûr, en apogée, ce fabuleux plan du passage du rêve à la réalité qui est une perfection (j'ai beau revoir ce plan dix fois je ne vois pas comment ils ont fait, au niveau des vêtements surtout).
jolan a écrit:Oui, je m'étais mal exprimé, en fait je vois très bien comment ils ont fait, mais ce qui m'étonne c'est de ne pas voir le changement de vêtement au niveau du col, j'ai l'impression que rien ne bouge, et pourtant ça change.
Sinon, d'un point de vue psychanalytico-scénaristique, il me semble qu'on ne rêve que de choses où l'on est acteur ou spectateur, enfin, où on est présent, or Robinson n'est pas présent lors des scènes de la femme avec le maître-chanteur, ou lorsque ce dernier se fait tuer dans la rue.
Bon, pour la prochaine session je désigne l'homme aux dents grises Mr Degryse
l'homme aux dents grises Mr Degryse
1947 : La Griffe du passé
1952: Les Ensorcelés
1954 : Vingt Mille Lieues sous les mers
1955 : L'Homme qui n'a pas d'étoile
1962 : Seuls sont les indomptésJOLAN
1947 : La Griffe du passésgt latrique
1952: Les Ensorcelés
1954 : Vingt Mille Lieues sous les mers
1955 : L'Homme qui n'a pas d'étoile
1962 : Seuls sont les indomptésJOLAN
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