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Ciné-Club séance 83 Two Weeks in Another Town (Minnelli 62)

La politique, la musique, le cinéma, les jeux vidéos et la culture en général lorsqu'elle ne traite pas directement de bande dessinée

Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede jolan » 06/09/2021 22:17

Message précédent :
euh... si vous le dites a écrit:
jolan a écrit:Séance hommage Belmondo (début des années 60) pour la 71 ?


On peut pas faire Sonny Chiba à la place ?
Ok, je sors... :D


Tu pourras toujours nous en proposer dans une future liste ;)

Comme "Autant en emporte mon nunchaku" par exemple :fant2:
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede jolan » 08/09/2021 22:28

Si certains veulent se joindre à nous pour la prochaine séance hommage à Jean-Paul Belmondo, je résume vite fait le processus :

- Je proposerai dans quelques jours une liste de films (Des films des années 60, avant la période "Bébel")
- Chacun vote pour trois films en attribuant 3, 2 et 1 points (Films qu'il a envie de découvrir, ou de revoir)
- Chacun s'engage à regarder le film sélectionné (L'un des habitués mettra un lien pour partager le film)
- Et à venir poster un avis argumenté (avec note)

Nous finissons la séance en cours d'abord, mais vous pouvez nous faire un petit signe si vous voulez participer

[:fantaroux:2]
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede Olaf Le Bou » 09/09/2021 07:17

comme d'hab, j'ai raté le coche, lien désactivé :x

une bonne âme pour le remettre siouplait ?
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede euh... si vous le dites » 09/09/2021 19:52

Olaf Le Bou a écrit:comme d'hab, j'ai raté le coche, lien désactivé :x

une bonne âme pour le remettre siouplait ?


"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede jolan » 09/09/2021 19:55

Merci pour lui ;)

Bon, moi je le mate cette nuit
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede jolan » 11/09/2021 01:19

Asphalt Jungle (Quand la ville dort) – John HUSTON - 1950

Comme dans tout bon vieux film de braquage, le coup du siècle se transforme en fiasco intégral, menant chacun des protagonistes à sa perte. Le titre l'annonce bien, c'est la loi de la jungle urbaine qui régnera, la loi de la rue. Il y aura donc conflit entre gangsters et policiers, gangsters honnêtes et malhonnêtes, policiers intègres et policiers corrompus. Chacun perclus de vice et ne croyant qu'en un unique moyen de vivre ou de survivre, d'obtenir ou tendre vers son rêve, en obtenant toujours plus d'argent, condamnés au vol et à la fuite. "Les criminels sont comme les autres. Après tout, le crime n'est qu'une forme dégénérée de l'ambition"

Un film de gangsters, donc un film nocturne, comme je les affectionne, et comme l'indique le titre français. La nuit ne vivent que les gens du vice, les malfrats, les danseuses, les maîtresses, ou les policiers qui veillent sur tout ce beau monde ou les pourchassent. Les méfaits ne se font quand les gens tranquilles et honnêtes dorment, comme la femme et l'enfant du crocheteur. De toute façon, ils agissent dans la pénombre, et ne peuvent que finir derrière les barreaux, à l'ombre, ou à l'ombre d'une tombe. Le dénouement est sans espoir, on le comprend très vite. La seule chose que recherche Dix, c'est un peu de sursis, même s'il ne saurait quoi en faire - puisqu'il vit sans envie et sans amour, il est perdu depuis longtemps - et surtout retrouver la ferme de son enfance.

Sterling Hayden est parfait dans ce rôle de gangster froid et rustre, fermé, imperméable à tout sentiment, mais j'aurais apprécié qu'on voit un peu plus de son personnage justement, qu'il soit éventuellement un peu plus humain, plus friable, avec des fêlures apparentes, à la Widmark. Et qu'il ait une quête sentimentale, voire romantique, pas cet solitude austère qui lui tient lieu de compagne. Bon, il est vrai que Jean Hagen est un peu cloche, et un peu limitée dans son jeu d'amoureuse accrochée pleurnicharde. Contrairement à Marylin. Pas étonnant qu'elle ait percé après ce film. En deux secondes dans sa première scène, n'importe quel réalisateur digne de ce nom ne pouvait que l'engager pour de vrais rôles. Quelle beauté, quelle sensualité, quelle douceur.

Un vrai beau classique du genre, qui ne souffre d'aucun défaut majeur. Mais je n'ai pas pour autant été emballé par l'histoire, ou les personnages, ou la réalisation. C'est du film noir classique réussi, mais qui ne me fait un peu rien ressentir. La faute sans doute à son héros et le vide qu'il sème autour de lui. Ce sera donc du

3/6
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede Olaf Le Bou » 11/09/2021 07:41

merci pour le lien euh :ok:
c'est dan la boite.
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede jolan » 16/09/2021 16:58

Bon :roll:

Je lance la séance Belmondo (la partie vote) ce week-end.
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede makidoo » 16/09/2021 18:04

Patience
J’ai vu le film, mon avis suivra bientôt ;)
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede euh... si vous le dites » 16/09/2021 21:30

Asphalt jungle - John Huston (1950)

Je m'attendais à un pur film de braquage et en fait cet Asphalt jungle, ce n'est pas tant ça qu'une exploration des milieux interlopes d'une grande ville américaine (la jungle d'asphalte du titre). Et ce n'est pas pour me déplaire parce que j'ai tendance à roupiller lors des interminables scènes de préparation et d'exécution de casses des films de ce genre.
Le prologue du film met en place à merveille une ambiance de désolation urbaine magnifiée par la belle musique oppressante de Miklos Rosza. A la place du film de casse traditionnel, on a ensuite un film qui se déploie en prenant le temps de creuser ses personnages, de planter leurs motivations et de proposer des portraits contrastés, du petit malfrat à l'avocat véreux en passant par le policier corrompu et le gros dur pas à sa place.
C'est particulièrement le cas du personnage joué par Sterling Hayden que Huston se garde de rendre trop sympathique et qui, de ce fait, apparait plus réaliste.
La mécanique du scénario qui veut qu'évidemment tout foire inéluctablement petit à petit fonctionne également très bien, jusqu'à un très beau final.
Bien aimé, donc.

Ma note : 4/6
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede makidoo » 17/09/2021 08:28

Asphalt jungle, John Huston, 1950

Un polar « d’intérieur » (puisqu’il y aura très peu de scènes filmées en extérieur), axé essentiellement sur sa gallerie de personnages et leurs interractions, plutôt que sur l’action elle-même (à savoir le « casse », auquel on assistera néanmoins).

Ce milieu de la nuit, cette « jungle » urbaine avec ses protagonistes à la marge, c’est ce qui intéresse John huston dans ce film. Les personnages sont plutôt bien interprétés (mention spéciale à Dix, interprété avec justesse par Sterling Hayden), même s’il manque un certain naturel dans ce type de film qui demeure académique sur le fond et sur la forme. Il y a une belle photographie, certes, mais la réalisation demeure assez monotone. C’est ce qui fait que je suis resté plutôt en retrait face aux évènements qui s’enchaînent, sans jamais vraiment ressentir de l’empathie pour l’un ou l’autre des personnages. Pas d’ennui, mais pas d’embalement non plus. Je m’attendais peut-être à quelque chose de moins plan-plan.

Néanmoins, le flegme des personnages Emmerich et Ridenschneider ajoute un certain réalisme à l’histoire. Ici, pas de « gros dur » caricaturaux ou de petites frappes bas-du-front, tout le monde essaie de sortir son épingle du jeu avec pour objectif de se sortir plus ou moins honorablement de sa condition (la vie de famille modeste de Luis Ciavelli en est un parfait exemple).

A noter un petit rôle de Marylin Monroe, capable de bien jouer mais également d’avoir l’air de réciter son texte (la scène où le flic frappe à la porte de sa chambre :? ), mais dont la présence suffit à illuminer l’écran.

3,5/6
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede euh... si vous le dites » 17/09/2021 09:24

Quelqu'un a des nouvelles de lobo ?
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede makidoo » 17/09/2021 11:46

Non, peut-être est-il resté coincé dans le canyon de Tourneur ? :-D
Mais dernière visite le 15/09 sur le site ;)
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede sergent latrique » 17/09/2021 18:54

Asphalt jungle (Quand la ville dort) J.Huston (1950)

Le titre francophone n'est pas souvent judicieux mais dans ce cas, s'il prend d'autre termes s'attache à cette ambiance de vie nocturne, interlope de la ville. La scène d'ouverture commence d'ailleurs sur la fin d'une nuit banale en apparence, mais dont on esquisse peu à peu les événements mouvementés et qui plante le décor de cette jungle, terrain d'affrontement où se joue inlassablement une lutte entre le bien et le mal, la police et les malfaiteurs, du moins en apparence car on va découvrir que rien n'est aussi binaire.
Je pensais avoir déjà vu ce film en mais en fait je le découvrais, et il est caractéristique du film noir de gangster de l'époque, une bonne histoire, des personnages très marqués, campés par des acteurs convaincants, une tension tout au long du film, de l'action et du rythme, il n'y pas de temps mort.
Le personnage central est le maillon le plus modeste de la bande, Dix, à l'aspect solide et inquiétant d'homme de main brutal, dans son costume et avec son chapeau mou (comme tous à l'époque, même les truands savaient se tenir :-D )
Il est considéré comme un simple "hooligan" mais il se révèle plus profond qu'un simple gangster violent, et finit même par une sorte de naïveté tenace dans ses désirs de retourner dans son Kentucky natal pour y retrouver une vie simple, par inspirer une sorte de sympathie.
D'ailleurs on retrouve ce mélange dans tous les personnages et la limite du bien et du mal derrière ces façades de respectabilité est brouillée: l'avocat Emmerich, personnalité du barreau, est véreux et pour sauver sa ruine
s'engage dans un casse et le recel, le détective Cobby retourne sa veste ou bien le flic de quartier, lieutenant Ditrich est prêt à trahir le fournisseur, personnages versatiles prêtes à trahir leurs complices pour sauver leur peau et de fait plus noires que la bande de truands qui se revèlent plus solidaires entre eux (le chauffeur Gus et le perceur de coffre) .

Le doc, Riedenschneider, brillant criminel, tiré à quatre épingles au penchant pour les jeunes tendrons mexicains (il en parle plusieurs fois) et Dix forment au final, après le casse bancal, une paire d'associés hétéroclite, presque incongrue mais en toute confiance.

Les rôles féminins sont généralement limités à de ravissantes bombes sexuelles idiotes dans ce genre de film, mais Jean Hagen, sort du lot, et le petit rôle de la future star Marilyn lui donne l'occasion en quelques scènes
d'irradier l'écran. Et comme toute tragédie, le héros s'il y en a vraiment un dans ce film, meurt à la fin.

Un film de casse au premier abord mais dont le récit du cambriolage laisse place à une vision très noire et juste d'une société violente et implacable.

Ma note 5/6
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede jolan » 17/09/2021 19:07

Ah oui, les chapeaux. Ca me rappelle la scène du casse, où ils passent sous "l'oeil électronique"

N'enlevez surtout pas vos chapeaux lorsque vous faites semblant de ramper par terre, le truc est à cinquante centimètres du sol, la prochaine fois prenez un obèse avec vous, il arrivera peut-être à déclencher l'alarme...
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede jolan » 18/09/2021 17:21

La liste de la séance spéciale Belmondo années 60

Les Copains du dimanche
Sois Belle et tais-toi
A Double tour
A Bout de souffle
Classe tous risques
Moderato Cantabile
Les Distractions
La Paysanne aux pieds nus (La Ciociara)
La Novice
Le Mauvais chemin
Léon Morin, prêtre
Une Femme est une femme
Un Nommé La Rocca
Le Doulos
Cartouche
Un Singe en Hiver
La Mer à boire
Peau de banane
L'Aîné des Ferchaux
L'Homme de Rio
Cent Mille dollars au soleil
Echappement libre
Week-end à Zuydcoote
Par un beau matin d'été
Pierrot le Fou
Les Tribulations d'un chinois en Chine
Tendre Voyou
Le Voleur
Ho !
La Sirène du Mississippi
Un Homme qui me plaît

3 choix chacun :lisezmoi:
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede Aleksi » 18/09/2021 17:40

Y en a trop plein :D Dur dur de choisir

L'homme de Rio
Cent mille dollars au soleil
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede sergent latrique » 18/09/2021 18:48

Pff, quelle filmographie, y en a plein qu'on voudrait choisir ...

Alors je choisis des pas vus ou vus il y a trs longtemps

3 pts: un nommé La Rocca de Becker
2 pts: le doulos de Melville
1 pt: Le mauvais chemin (la viaccia) de Bolognini

J'ai vu peau de banane et échappement libre il y a pas longtemps. Il avait des partenaires au top le Bébel, quelle collection de souris
:bave:
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Re: *** Ciné-Club séance 70 : Asphalt Jungle (Huston 50) ***

Messagede jolan » 18/09/2021 20:45

Aleksi a écrit:Y en a trop plein :D Dur dur de choisir

L'homme de Rio
Cent mille dollars au soleil
Le doulos


Avec ces points ?

3 = L'homme de Rio
2 = Cent mille dollars au soleil
1 = Le doulos
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Re: *** Ciné-Club séance 71 hommage à Jean-Paul Belmondo ***

Messagede Aleksi » 18/09/2021 21:01

jolan a écrit:
Aleksi a écrit:Y en a trop plein :D Dur dur de choisir

L'homme de Rio
Cent mille dollars au soleil
Le doulos


Avec ces points ?

3 = L'homme de Rio
2 = Cent mille dollars au soleil
1 = Le doulos


Oui tout à fait même si le fait de me poser la question me donne envie de bouger ce classement, je reste sur ce premier choix !
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Re: *** Ciné-Club séance 71 hommage à Jean-Paul Belmondo ***

Messagede jolan » 18/09/2021 22:25

3 = Moderato Cantabile
2 = Le Mauvais chemin
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