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Ciné-Club séance 83 Two Weeks in Another Town (Minnelli 62)

La politique, la musique, le cinéma, les jeux vidéos et la culture en général lorsqu'elle ne traite pas directement de bande dessinée

Re: Ciné-Club BDG séance 64 : en attente de liste

Messagede Olaf Le Bou » 22/04/2021 12:32

Message précédent :
Mr Deeds pour moi
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Re: Ciné-Club BDG séance 64 : en attente de liste

Messagede sergent latrique » 22/04/2021 13:55

J'auris mis Mr Deeds si je ne l'avais vu récemment, alors je vote pour l'autre Capra dont je ne souviens pas
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Re: Ciné-Club BDG séance 64 : en attente de liste

Messagede jolan » 22/04/2021 17:08

Bon alors j'adore Capra, je connais ses films par coeur mais ça ne me dérangerait pas de les revoir, surtout "Mr Deeds goes to Town" qui fait partie des meilleurs.

Mais pour rester cohérent avec mon envie de découvrir de nouvelles choses, je vote "Milky Way" de McCarey
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Re: Ciné-Club BDG séance 64 : Capra ou McCarey ?

Messagede lobo » 23/04/2021 13:36

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Re: Ciné-Club BDG séance 64 : Capra ou McCarey ?

Messagede euh... si vous le dites » 23/04/2021 13:39

Je me joins à la majorité : You can't take it with you
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Re: Ciné-Club BDG séance 64 : Capra ou McCarey ?

Messagede fanche » 23/04/2021 13:57

Même avec une autre voix le film me semble choisi.
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Re: Ciné-Club BDG séance 64 : Capra ou McCarey ?

Messagede euh... si vous le dites » 23/04/2021 13:59

fanche a écrit:Même avec une autre voix le film me semble choisi.


Je posterai le lien ce soir.
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Re: Ciné-Club BDG séance 64 : Capra ou McCarey ?

Messagede fanche » 23/04/2021 14:06

Jolan a tapé pile dans celui que je ne connais pas et n'ayant jamais vu Harold Lloyd dans un parlant ça avait un peu piqué ma curiosité. Et surtout pour voir ce fantastique acteur malheureusement passé aux oubliettes face à Keaton et surtout Chaplin (c'était la minute nécessaire de réhabilitation :D )
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Re: Ciné-Club BDG séance 64 : Capra ou McCarey ?

Messagede Olaf Le Bou » 23/04/2021 14:19

fanche a écrit:Harold Lloyd dans un parlant ça avait un peu piqué ma curiosité. Et surtout pour voir ce fantastique acteur malheureusement passé aux oubliettes face à Keaton et surtout Chaplin (c'était la minute nécessaire de réhabilitation :D )


quand j'étais môme j'ai souvenir d'avoir vu des palanquées de courts métrages de Harold Lloyd à la télévision, je me demande même s'il n'y avait pas carrément une emission récurrente qui lui était dédiée, avec la fameuse scène de l'horloge en générique.
alors que Buster Keaton j'ai du voir un seul de ces films en tout et pour tout.
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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede euh... si vous le dites » 23/04/2021 21:40

Le lien pour le Capra :

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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede sergent latrique » 23/04/2021 21:44

euh... si vous le dites a écrit:Le lien pour le Capra :



[:flocon:2] Le week-end commence bien
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Re: Ciné-Club BDG séance 63 : "Le Plaisir" (Ophüls 52)

Messagede jolan » 25/04/2021 22:48

lobo a écrit:
manque plus que Lobo (tous les avis le même jour c'est rigolo)

Je viens de le (re)voir. Pour moi, c'est génial, c'est du 5,5/6. Critique plus circonstanciée suit...


On devait pas avoir une critique ? :siffle:
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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede lobo » 26/04/2021 09:16

Le plaisir (Max Ophüls, 1952)
Plus facile de critiquer que de dire pourquoi on trouve un film génial. Peut-être une adéquation parfaite entre le fond et la forme. Le fond, le caractère éphémère de la vie et l'impossibilité du bonheur qui fait qu'au plaisir se mêle ou succède la frustration voire la haine : le vieux beau qui met un masque pour prolonger sa jeunesse disparue... les bourgeois qui s'engueulent, les marins qui se battent, manières d'exprimer leur frustration de ne pas se retrouver ce soir dans les bras des cocottes, Gabin, pathétiquement amoureux de Mame Rosa (sa façon de s'excuser d'avoir été "un peu chaud"), Gélin tombé amoureux too easily et qui recherche sa liberté perdue jusqu'à l'aliénation finale... La forme, une virtuosité qu'on pourrait trouver tout much mais qui colle parfaitement à ce qui est filmé amha. Avec ces incroyables mouvements de caméra dans les escaliers du premier sketch, et cette façon de nous faire entrer dans la danse. Avec cette maison close filmée de l'extérieur à travers les vitres (Madeleine Renaud qui arrose ses géraniums, en bonne bourgeoise qui "tient" sa maison) et la promenade à la campagne. Avec les mouvements de rage du couple qui se déchire dans cette maison gigantesque et la montée et la chute finale dans le dernier sketch. La forme aussi, c'est cette mise en scène historique elle-même de la Belle Epoque, avec ses moments impressionnistes, ces moments à la Toulouse-Lautrec... J'ai vu que vous vous étiez un peu bagarrés sur la question de la qualité française. Ce film n'est pas complètement "français". Je ne sais plus qui avait parlé de mélange d'impressionnisme français et de baroque germanique. Pourquoi pas. Pour moi, c'est un des meilleurs films que j'ai vus dans ce ciné-club.
5,5/6
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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede euh... si vous le dites » 26/04/2021 23:00

Après le Capra, je propose un hommage à Monte Hellman, décédé il y a quelques jours.
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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede fanche » 26/04/2021 23:04

Ah oui!
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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede jolan » 26/04/2021 23:21

Il est monté en enfer cet homme ? (Monte Hell Man)

Alors soit, et comme de fait, cela s'impose ;)
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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede jolan » 28/04/2021 19:31

Tiens ce soir je vais me faire un petit "Pigeon" de Monicelli sur C8
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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede makidoo » 30/04/2021 08:46

Vu le Capra.
Pas aimé du tout.
J’attends un peu avant de poster ma critique... :siffle:
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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede jolan » 01/05/2021 04:15

Bon eh bien je me lance alors

You Can't Take It With You – Frank CAPRA 1938

Je serai pour ma part plus indulgent, car je ne saurais être totalement mauvais, j'adore Capra. Mon adhésion à son cinéma date du premier jour et durera toujours. L'humanisme de ses personnages et de ses sujets, l'universalité du propos, cette ode à l'entraide et la solidarité, la générosité, la bonté qui en émanent, la poésie, le romantisme, une certaine enfance éternelle, cette quête d'un bonheur idéal, d'une famille et/ou d'un lieu refuge (le Shangri-La utopique de son film précédent) qu'on désire et recherche tous. Je le considère comme l'un des cinéastes les plus importants de son époque, et je trouve que son cinéma n'a pas pris une ride.

Alors certes, c'est traité de manière très naïve, à la façon d'un conte, comme c'est souvent le cas chez Capra, il prend un thème et le décline de manière allégorique. Il faut surtout bien se rappeler dans quel contexte Capra tourne ses films, à quelle époque, ce qu'elle a de terrible, et qu'il aborde de manière détournée, comme pour y remédier. Car même s'il s'agit de cinéma et de divertissement, je crois qu'il serait faux d'occulter totalement la profondeur et la noirceur qui sont sous-jacents.

C'est donc un bon moment, amusant, original, poétique, farfelu, malicieux, inventif, dansant, charmant, revigorant, musical, artistique, enfantin, romantique, joyeusement anarchique, une recherche du bonheur, contre les forces de l'argent, envers les hommes qui se rendent malade (l'ulcère à l'estomac de Anthony P. Kirby) à force de pouvoir et de responsabilités, hors-sol, le rêve d'une vie de famille et d'amis dans une grande maison joyeusement bordélique et accueillante (on y entre sans sonner), en marge des conventions, où chacun peut s'adonner à sa passion et vivre comme il l'entend, en tout liberté, où l'unique règle est de « s'amuser ». Même la religion/spiritualité est toute relative et le grand père a sa propre façon de dire le bénédicité.

Le film souffre néanmoins d'exemples un peu légers (les locataires ne font en fait rien de leur vie et sont de parfaits oisifs assistés en plus d'être des « demeurés » caricaturaux, la mère qui écrit parce qu'elle a vu une machine à écrire, l'imprimeur qui ne voit pas la stupidité de ses tracts, la fille qui veut danser, les inventeurs dans la cave qui se prêtent à des jeux aussi inutiles que dangereux, le professeur de danse qui ne vient que pour manger, mais bon, chacun doit vivre et s'épanouir comme il le veut...) et quelques couacs inattendus (les domestiques noirs). Mais comme on est dans la fable, ce n'est pas (trop) grave.

Puis il y a le choc de la rencontre des deux familles, qui tourne inévitablement au feu d'artifices. L'artifice, c'est l'argent, ou le mensonge ? Car l'honnête James Stewart a souhaité montrer sa belle-famille telle quelle, dans sa totale vérité sans fard, alors qu'Alice (sans doute au pays des merveilles ?) voulait masquer au maximum l'excentricité des siens, qu'elle sait décalée et dérangeante « je vous ai présenté ma famille, dans toute sa prétention, pourquoi vouloir présenter la vôtre sous un faux jour ? » Les trompeuses conventions sociales les séparent puisqu'ils ne sont pas d'un même monde. Or nous sommes tous du même monde, et c'est l'argent qui sépare les êtres, par ce qu'ils croient posséder, ou ne possèdent pas. « le chômage, c'est grave émotionnellement mais pas économiquement »

J'ai donc revu ce film avec plaisir, je ne l'avais pas revu depuis bien vingt ans. Et même si, je le répète, ce n'est pas pour moi le meilleur de Capra, il y a une jolie petite histoire, qui me semble au final assez secondaire, les scènes de prison et au tribunal qui évoquent ses autres films plus politiques, et deux jolis plans-séquence, le premier avec James Stewart et Jean Arthur, dans le parc la nuit, et le second avec son père, dans le bureau, lorsqu'il lui dit qu'il s'en va.

Il me tarde de revoir tous ses films.

3/6

AMHA of course
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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede makidoo » 01/05/2021 07:03

Ok j’y vais maintenant

You Can't Take It With You, Frank Capra, 1938

Bon je vais me faire incendier parce qu’il est de bon ton d’aduler Capra, mais je n’ai pas du tout aimé ce film.

Je comprends bien les intentions du film : la créativité et les passions de chacun sont généralement étouffées, enfouies ou refoulées par la dure réalité du quotidien et les choix qu’elle engendre. Il ne tient qu’à chacun de conserver sa passion en faisant fi du quand dira-t-on pour vivre sa vie pleinement (Carpe Diem). Le problème c’est que la manière avec laquelle Capra narre son histoire est grossière et selon moi dessert le propos.

Tout d’abord le côté extrêmement manichéen me gêne : les gentils personnages doux-dingue contre les méchants capitalistes avides d’argent et de réussite.
J’ai beau avoir toujours été du côté des rêveurs, cette galerie de personnages farfelus, constamment dans l’excès, m’a plutôt fatigué et ennuyé.

On y voit dans le rôle du patriarche qui gère la maison familiale un sosie de Roger Carel un peu suffisant, condescendant, donneur de leçon. Soit, comme il le dit, réaliser ses rêves demande du courage. Mais quand on a l’air d’être à l’abris du besoin, que l’on vit dans une grande maison avec 2 domestiques (noirs bien sûr), il est bien plus aisé de faire la leçon aux autres.

On ne va pas voir le ballet (la culture c’est chiant et c’est un truc élitiste), on est bien mieux à danser avec les gens du peuple sur des airs populaires.
(Le courage c’est aussi ne pas se contenter de la médiocrité et découvrir d’autres horizons, mais bon...)

Et que dire de la diatribe démagogique contre les impôts que j’ai trouvée plus que gênante...(complètement à l’opposé des valeurs humanistes de solidarité prônées par ce film...)

Ou encore la séquence du tribunal avec le juge bienveillant qui s’amuse de la situation et qui voit d’un bon œil cette leçon offerte aux puissants par ces braves gens, simples mais forcément plus humains et justes.

Alors oui c’est bourré de bons sentiments, mais avec un humour très daté qui tombe à plat le plus souvent, le jeu des acteurs est volontairement outrancier mais pénible pour moi (et le film est beaucoup trop long, plus de 2h !)

Moi ce film m’a parfois mis aussi mal à l’aise par ce qu’il véhicule qu’un film de (oui, j’ose) Danny Boon (vous savez, les méchants parisiens, ridicules, snobs et élitistes contre les braves gens du peuple provinciaux).

Voilà, vous pouvez maintenant me jeter des tomates pourries et m’insulter.

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Re: Ciné-Club séance 64 : You Can't Take It With You (Capra 38)

Messagede fanche » 01/05/2021 09:42

C'est marrant, j'adore ce film mais je suis presque entièrement d'accord avec makidoo :lol:
Je repasserai pour mon avis
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