sergent latrique a écrit:Oui, mais j'ai du mal à suivre qui suit et qui a déjà proposé et qui n'a pas proposé mais qui n'a pas le temps...
sergent latrique a écrit:Oui, mais j'ai du mal à suivre qui suit et qui a déjà proposé et qui n'a pas proposé mais qui n'a pas le temps...
cicerobuck ?
Pour Jolan, on pourrait te surnommer oeil de lynx, tellement cette acuité à dénicher le moindre détail ou défaut technique dans les prises de vues est sidérante. Franchement, les erreurs de côté, de changement de costume ou de place au montage, les ombres polluantes, tout ces petits riens, je ne les vois que très rarement. Est-ce que c'est lié à ton métier dans la vie ?
Pour la liste, j'avais mis huit films, visiblement c'est trop, peut être qu'il faudrait se limiter à quatre ? le vote sera plus facile.
sergent latrique a écrit:C'est plus le cine-club, c'est le cinéma Paradiso ... Y a encore des gensses icite ?
euh... si vous le dites a écrit:Le film ne parle pas vraiment de jeunes en rupture avec leurs parents, même si certains peuvent l'être.
Je ne comprends pas trop ton parallèle avec Funny face. [...] Déjà, Funny face se déroule près de 10 ans plus tard et puis, je ne pense pas que le projet de Becker, au contraire de celui de Donen, soit de présenter un Saint-Germain glamour.
Les jeunes de Becker ne sont pas glamour. Leur manque de lustre, leur côté banal (désespérément banal diront les mauvaises langues), les rend à mon sens plus authentiques.
Pour ce qui est du club sordide, ben, t'as quand même un gars qui a été pendant une dizaine d'années un des piliers du band de Duke Ellington qui vient y jouer, hein... On a vu plus sordide.
lobo a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Le film ne parle pas vraiment de jeunes en rupture avec leurs parents, même si certains peuvent l'être.
Tout de même, dans le plaidoyer de Gélin, il est bien question de rompre avec les valeurs de la génération précédente, ne rien attendre de la Providence blabla mais prendre son destin en main, etc. Il y a bien la volonté du réalisateur de mettre en scène deux générations qui se distinguent par leurs métiers (industriel, boucher, prof de latin vs ingénieur du son, cinéaste, ethnologue, actrice...), leurs styles de vie, leurs looks et leurs valeurs (quand même la scène entre Gélin et son père)... Et cette mise en scène est un peu disons appuyée, je trouve.
euh... si vous le dites a écrit:Tiens sinon, je suis très peu connaisseur du cinéma français de l'époque (j'ai du mal avec le cinéma français antérieur à la nouvelle vague) mais je n'ai pas l'impression qu'il y avait beaucoup de films à l'époque qui évoquaient la jeunesse sans adopter un ton condescendant plutôt désagréable.
Les films de Becker comme ce Rendez-vous de juillet font plutôt office d'exceptions, non ?
Sinon, même si j'aime beaucoup le genre de la comédie musicale, je n'ai pas un souvenir très positif de Funny face.
Faudrait que je le revoie.
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