Alberto Breccia, l’un des auteurs de bande dessinée les plus importants du XXe siècle, a brisé les codes et révolutionné le genre. Faisant figure de précurseur, il a enrichi le neuvième art d’un sens nouveau et en a élargi les potentialités narratives. Les entretiens recueillis dans ce volume, fruit de conversations menées à bâtons rompus entre le dessinateur et le scénariste Juan Sasturain, dévoilent les multiples facettes du créateur en même temps qu'un homme au caractère intègre, tendre et doux, mais aussi têtu et caractériel. Un homme qui s’est fait tout seul et sans détours, unique et inoubliable. Longtemps restées enfouies dans les archives de Sasturain, ces confidences enregistrées sur cassettes ont depuis fait l’objet de retranscriptions fidèles, classées par thèmes : ses premiers pas dans la profession, ses relations avec confrères et éditeurs, ses intérêts, influences, sources visuelles et littéraires mais aussi la genèse de ses histoires, sa conception du travail de dessinateur et enfin sa vision de la bande dessinée comme moyen d’expression à part entière. Le tout forme un éclairage incomparable et souvent inédit à la fois sur l’artiste et sur l’homme. Les textes de Breccia sont accompagnés d’un grand nombre d’illustrations, la plupart encore jamais présentées, et d’un corpus de notes permettant de familiariser le lecteur français avec les situations et les personnages qu'y sont évoqués. Une chronologie détaillée situe pour finir l’œuvre de Breccia dans son contexte historique.
Olaf Le Bou a écrit:et la fiche BEL pour voir la bête :
une centaine de pages de plus que la version précédente tout de même, c'est pas rien.
et dans un mois sort un bouquin d'entretiens avec Juan Sasturain :Alberto Breccia, l’un des auteurs de bande dessinée les plus importants du XXe siècle, a brisé les codes et révolutionné le genre. Faisant figure de précurseur, il a enrichi le neuvième art d’un sens nouveau et en a élargi les potentialités narratives. Les entretiens recueillis dans ce volume, fruit de conversations menées à bâtons rompus entre le dessinateur et le scénariste Juan Sasturain, dévoilent les multiples facettes du créateur en même temps qu'un homme au caractère intègre, tendre et doux, mais aussi têtu et caractériel. Un homme qui s’est fait tout seul et sans détours, unique et inoubliable. Longtemps restées enfouies dans les archives de Sasturain, ces confidences enregistrées sur cassettes ont depuis fait l’objet de retranscriptions fidèles, classées par thèmes : ses premiers pas dans la profession, ses relations avec confrères et éditeurs, ses intérêts, influences, sources visuelles et littéraires mais aussi la genèse de ses histoires, sa conception du travail de dessinateur et enfin sa vision de la bande dessinée comme moyen d’expression à part entière. Le tout forme un éclairage incomparable et souvent inédit à la fois sur l’artiste et sur l’homme. Les textes de Breccia sont accompagnés d’un grand nombre d’illustrations, la plupart encore jamais présentées, et d’un corpus de notes permettant de familiariser le lecteur français avec les situations et les personnages qu'y sont évoqués. Une chronologie détaillée situe pour finir l’œuvre de Breccia dans son contexte historique.
alacoume a écrit:Où sont les dessins de Mort Cinder ? On ne dirait pas le même auteur...
alacoume a écrit:Merci pour la preview !
Et je dois dire que les dessins le refroidissent. Où sont les dessins de Mort Cinder ? On ne dirait pas le même auteur...
euh... si vous le dites a écrit:alacoume a écrit:Merci pour la preview !
Et je dois dire que les dessins le refroidissent. Où sont les dessins de Mort Cinder ? On ne dirait pas le même auteur...
Pour Buscavidas, il a décidé de noircir complètement les cases et de travailler en blanc par-dessus.
A noter que l'histoire supplémentaire par rapport à l'édition de 2001 voit Buscavidas se rendre au magasin d'antiquités d'Ezra Winston et y rencontrer Mort Cinder.
EYE OF DOOM a écrit:Bon j'ai acheté le volume tant attendu : Qui a peur des contes de fées ?
C'est quasi la cata en terme de repro. On peut juste voir que le travail de Breccia est extraordinaire. Sinon en comparant au planche dispo sur le site de Breccia (reproduit un peu plus haut sur cette pages) on voit que les jaunes sont orange et les bleus mauves. Les contrastes sont fortement atténuées . J'ai pas l'épisode publié dans Air comprimé sous la main (je suis plus sur du nom de la revue mais les vieux de la vielles voient de quoi je parle), de mémoire c'était beaucoup, beaucoup plus vif. Ils ont du partir des photos d'une edition pas extraordinaire, où alors ils ont raté leurs clichés. Je suis furieux....
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